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ines dahmane. typographies
Mimi Ines
Created on March 7, 2022
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Transcript
définition
Classification Typographique
Définition l'anatomie des caractères :
Adaptée aux textes longs ?
NON
OUI
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Décorative
Les décoratives sont des polices de titrage, conçues pour être utilisées dans de gros corps et donc inadaptées au textes longs (en petits corps). Remarque : certaines familles « classiques » comme les Italiennes ou les Manuaires ont des caractéristiques qui les rendent souvent peu adaptées aux petits corps. Elles peuvent donc être considérées comme des sous-familles des Décoratives.
Manuelle, calligraphique
NON
OUI
est 201
A empattement triangulaires ?
NON
OUI
est 201
Elzévir
est 201
Contraste et verticalité ?
NON
OUI
est 201
Old style influence de l'écriture manuelle ?
NON
OUI
est 201
Humane
Les humanes sont des caractères créés par les imprimeurs vénitiens en s’inspirant des manuscrits humanistes du XVe siècle. Elles présentent des empattements courts et épais, un faible contraste entre pleins et déliés, une forte inclinaison qui se concrétise souvent de façon flagrante par une traverse du e inclinée.
Garaldes
Les garaldes sont une évolution des humanes au cours des XVIe et XVIIe siècles (Renaissance). Elles s’en distinguent par la disparition des éléments rappelant les manuscrits. Leur contraste est plus marqué, leur axe moins incliné (traverse du e horizontale), leurs empattements plus fins.
Réale
Les réales sont une évolution des garaldes vers la rationalité qui se développe au XVIIIe siècle. On les appelle également transitionnelle car elles sont considérées comme une transition graphique entre les garaldes et les didones. Leur contraste est plus marqué que les garaldes, leur axe vertical.
Moderne
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Avec empattements?
NON
OUI
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Forme des empattement ?
Rectangulaire
Filiforme
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Didone
Aboutissement de la rationalisation graphique du XVIIIe siècle, les didones sont également le fruit de l’évolution de la qualité du papier à cette époque qui a permis la reproduction d’éléments très fins. Leur contraste est extrême, leurs empattements filiformes, leur axe vertical est très marqué. Généralement, elles présentent des oreilles/gouttes arrondies.
Mécane
Les mécanes sont apparues en Angleterre au début du XIXe siècle et nommées ainsi pour marquer leur ancrage dans le siècle de la révolution industrielle. Les Clarendon ne sont qu’une ébauche de l’évolution des typographies à l’époque dite moderne qui tend à faire disparaître tout contraste (que ce soit chez les mécanes ou chez les linéales). Elles sont donc également appelées mécanes de transition (entre les didones et les égyptiennes). Elles affichent un contraste moins marqué que chez lez didones, des empattements épais. Selon les cas, on peut avoir des empattements rectangulaires, des empattements inclinés, des transitions arrondies, et, parfois, la persistance de gouttes/oreilles arrondies…
Contraste nul, chasse fixe, simule le rendu des machine à écrire ?
NON
OUI
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Typewriter
Les typewriter sont inspirées de la dactylographie (XIXe siècle) plutôt que de la typographie. Leur contraste est nul ou très faible, elles présentent une chasse fixe (tous les caractères occupent la même largeur), leurs empattements sont longs avec des terminaisons parfois arrondies. Dans un souci de simulation réaliste des machines à écrire, certaines présentent des imperfections (ondulations, bouchage...).
Empattement beaucoup plus épais que les autres traits ?
NON
OUI
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Italienne
Apparues en Angleterre dans les années 1820, les italiennes sont des mécanes construites sur le principe du contraste inversé (par rapport au didones) ; elles peuvent être considérées comme une sous-familles des décoratives car peu adaptées aux textes longs en petits corps. Elles présentent un très fort contraste, les empattements, généralement rectangulaires, étant beaucoup plus épais que les hampes.
Contraste (même faible), transitions arrondies (empattement) ?
NON
OUI
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Égyptienne
Les égyptiennes sont l’aboutissement de l’évolution de didones à l’époque moderne. Leurs empattements sont rectangulaires, sans transition et affichent un contraste nul (ou très faible) avec les fûts et les traverses. Leur construction est généralement géométrique (basée sur des formes simples).
Très faible
Linéale contraste
Très important
Faible mais sensible
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Linéale double-graisse
Contrairement aux autres linéales, la linéale double-graisse a pour caractéristique principale un très fort contraste. Au début du XXe siècle, elle est construite comme une didone à laquelle on aurait supprimé les empattements. Par la suite, des exemples plus humanistes sont produits, le Peignot en étant l’archétype.
Influence de gravure ?
NON
OUI
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Linéale Grotesque
Les linéales sont une évolution, au XIXe siècle, des didones par ablation des empattements. Elles sont généralement conçues avec une approche beaucoup plus fonctionnaliste qu’esthétique. Les linéales grotesques en sont le premier avatar. Elles présentent un faible contraste (mais existant), des terminaisons des capitales souvent inclinées, une boucle inférieure du g parfois encore fermée.
Linéale Humaniste
Apparues au début du XXe siècle, les linéales humanistes sont inspirées des incises antérieures à la typographie et des classiques (auxquelles on aurait enlevé les empattements). Elles ont connu leur véritable essor au dernier quart du XXe siècle (notamment grâce à Adrian Frutiger) en réaction au succès de linéales néo-grotesques comme Helvetica et Univers. Elles affichent des contrastes subtiles, des évasement ou des amorces d’empattement et souvent, des éléments asymétriques.
Construction géométrique contraste nul ?
NON
OUI
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Linéale Néogrotesque
Apparues à partir des années 1950, elles sont conçues comme une évolution des grotesques (notamment d’Akzidenz Grotesk). Elles revendiquent une grande rationalité, voire une « neutralité graphique ». Elles n’ont quasiment aucun contraste, leurs terminaisons sont presque toujours horizontales ou verticales (en particulier sur les capitales), la boucle du g est ouverte.
Linéale Géométrique
Elles représentent l’aboutissement de l’évolution des grotesques vers la simplicité. Elles n’ont aucun contraste, leur construction est basée exclusivement sur des formes géométriques simples (à l’origine des cercles et des traits horizontaux ou verticaux), les terminaisons sont horizontales ou verticales, la boucle du g est ouverte, le G n’a pas d’éperon.