compréhension de récit au cycle 1

compréhension du récit au cycle 1

formation remaniée pour le distanciel DSDEN 33 Pôle maternelle 33 Audrey MORENO PEMF FC

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types de lecture

le rituel culturel

Objectifs

Index

Vous pouvez cliquer sur chaque icône pour avoir accès aux parties dans l'ordre que vous souhaitez ... Personnellement je terminerai par le quiz ;-)

quelle progression

Quiz

Bibliographie

Objectifs

-Identifier les obstacles d’apprentissages et les problématiques d’enseignement de la compréhension en lecture-Mettre en œuvre une démarche d’enseignement de la lecture, au cycle 1, au regard :1. du prescrit2. de la recherche3. des obstacles identifiés en tenant compte de l’hétérogénéité du groupe-Outiller les enseignants pour organiser cet enseignement dans le cycle.

LE RITUEL CULTUREL

Devenir un être de culture c'est: prendre des appuis, prêter attention... se faire du bien avec la culture (...) construire ses goûts.

VERONIQUE BOIRON

LE RITUEL CULTUREL

Véronique BOIRON nous parle des rituels culturels

LES TYPES DE LECTURE

LES TYPES DE LECTURE

3 types de lecture pour enseigner la compréhension en maternelle:

1. Lecture à compréhension médiatisée (nous allons la détailler ci-après) 5 à 7 x /an 2. Lecture à compréhension autonome 2x/semaine 3. Lecture répertoire quotidienne

la lecture médiatisée

Le travail de planification l’enseignant avec les albums - Choisir un album - En faire une lecture experte au niveaux du texte comme des images - Construire une séquence d’enseignement - S’entraîner au racontage - Concevoir et réaliser des appuis matériels

critères de choix d'un album

Les critères de choix concernent aussi l’illustration : la reconstitution du déroulement de l’histoire dans le temps peut-elle se faire à partir des seules images et du souvenir du sens de l’histoire ? Les illustrations sont-elles interprétables par un jeune enfant ? Soutiennent-elles suffisamment la compréhension du texte pour que l’enfant puisse produire une narration de l’enchainement des évènements et non une simple description des images, une à une?

Les critères dégagés sont d’ordre linguistique : le lexique et la syntaxe du texte sont-ils accessibles à de jeunes enfants ? Les discours des personnages sont-ils introduits, pour faciliter l’identification des locuteurs ? Le texte comporte-t-il un emploi diversifié et adéquat de vocabulaire et de constructions syntaxiques simples et complexes exprimant des relations logiques? Le texte est-il un récit qui peut être compris indépendamment des illustrations lorsque l’adulte le lit à l’enfant ?

appuis materiels

Etéyage langagier

L'enseignant, médiateur et stimulateur de langage: - Se donner à voir en train de parler du récit - Pédagogie de l’écoute ( P.Peroz) - Favoriser le discours continu (E. Canut) - Parler à propos des albums - Parler à partir des albums

GRAND AMPHITHÉÂTRE DE LA SORBONNE 2019 - PIERRE PÉROZ - École maternelle - Pour une éducation durablePourquoi doit on apprendre à parler à l'EM et comment?cette vidéo est longue, elle dure 50 min. Les parties en bleues me semblent les plus intéressantes.Renart et Isengrin 11 GS REP+ - Introduction: "le langage de lécole" 0:00 à 9:57 - La première partie sur une séance de restitution collective de 9:57 à 24:30 - Des séances décrochées 24:30 à 28:50 - La 2ieme partie sur la compréhension des textes (les personnages et verbes d'états mentaux) 28:50 à 31:27 + vidéo jusqu'à 36:57 - Conclusion 36:57 à 39:00

Etéyage langagier

Modalités d’interactions à favoriser • Les offres avec extensions et expansions • Les reprises et reformulations de ce que dit l’élève • Appui sur ce qui est déjà maîtrisé + 1 • Dans des phrases complètes, explicites et structurées • Lexique/syntaxe un peu au-delà de ce que dit l’élève E- Mélanie étale le dentifrice dans sa brosse A- Mélanie étale le dentifrice sur sa brosse à dent en appuyant un petit peu sur le tube A- il appuie E- sur le bouton A- sur le klaxon quand François passe devant Tonton Karim il appuie sur le klaxon

Modalités d’interactions à éviter • Les questions fermées, les phrases avec intonation suspensives, les demandes de répétitions A - Edouard couche Nounours répète E - Edouard il couche Nounours A - Edouard couche Nounours E - Edouard il couche Nounours A - non pas il couche Edouard couche Nounours E - Edouard couche Nounours A - voilà E - Edouard il bâille • Les reprises identiques (au même niveau syntaxique) E - elle a retrouvé le chapeau de la poupée A - Lili a retrouvé le chapeau de la poupée

Etéyage langagier

Questionnement ordonné et commun de la PS à la GS: (V. Boiron) 1/ C’est l’histoire de qui? 2/ Qu’est-ce qui leur arrive? 3/ De quoi ça parle : thème? 4/ Comment s’appelle la fille, de quelle couleur est... : question de prélèvement direct d’information. 5/ Comment... Question sur l’implicite.

QUELLE PROGRESSION

QUELLE PROGRESSION

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Pistes proposées par Véronique Boiron: -Construction de la notion de personnage -Construction de réseaux littéraires autour d’une pratique du quotidien puis d’un thème puis d’un auteur -Construction du récit oral -Construction du récit écrit et illustré

QUELLE PROGRESSION

TPS et PS

D’abord - Des supports construits avec eux (albums-echos de Philippe BOISSEAU) exemple: le livre des doudous de la classe, de la journée, de la famille, de la séance d’activité physique… - Des activités de contage sans supports, contes « simples » exemple: La poule rousse, quel radis dis donc …. PUIS - Des scénarios très simples (vie quotidienne) - Des personnages récurrents On privilégie: des lectures individuelles des lectures en tout petit groupe

QUELLE PROGRESSION

MS

PS

GS

QUELLE PROGRESSION

le recit graphique, sans texte

la bande dessinée

Construction progressive du récit à partir de la lecture d’images

En atelier ou projetée

Le voleur de poules de B.RODRIGUEZ

QUELLE PROGRESSION

les univers d'auteurs

Olga LECAYE

Claude BOUJON

Tomi UNGERER

Frederic STEHR

DES REPERES QUANTITATIFS

Programmer des contages et lectures répétées de plus en plus espacées. Passer de lectures expressives à des lecture plus neutres (à partir du milieu de la MS)

au minimum 8 lectures ou contages du même récit

PS: jusqu'à 3 fois dans la meme journée.MS GS: de 3 à 6 fois dans la même semaine

tous types de lectures confondus: pas plus de 20 à 25 récits différents par an

un contage ou une lecture quotidienne

Plus on lit, plus on augmente le degré de compréhension. On ne s’interdira donc pas de reposer les mêmes questions au fil des lectures, ce qui permettra à tous les enfants de construire et de formuler les réponses.

UN TRAVAIL D'EQUIPE

Programmer en équipe les racontages comme les lectures : - Progression spiralaire: en PS des contes et récits repris en MS, en MS des contes et récits repris en GS, et idem en CP - construction d’un archétype ( le loup, le renard, la princesse…) - Construction d’une culture commune, socle nécessaire à l’entrée en littérature de jeunesse qui détourne ou réinterroge les contes - Construire une bibliothèque mentale

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UN TRAVAIL D'EQUIPE

Un outil pour vous aider

document disponible sur le padlet

INTERROGER UN OUTIL: NARRAMUS

Une méthode engagée

Travailler le vocabulaire de l’histoire pour mieux la comprendre et la réstituer seul :Un temps d’enseignement explicite du vocabulaire de l’histoire avant la lecture (mots et expressions, le vocabulaire des émotions avec l’appui d’images, d’animations sonorisées, …) Le travail sur le vocabulaire est dissocié de celui sur la lecture On peut s’appuyer sur des images distinctes de celles de l’album ( le loup et non le loup de l’histoire) On garde trace du vocabulaire (affichage, boite, sac, collectif, individuel) On varie les activités (prononcer les mots nouveaux en chœur, en parlant comme, répéter en début de chaque séance, seul, à deux, mimer, catégoriser, intégrer ces mots nouveaux dans d’autres activités de la classe...) Différentes modalités de restitution du récit (tapis à histoires, marottes, masques...)

INTERROGER UN OUTIL: NARRAMUS

une organisation à questionner

20 moments de travail sur chaque semaineBeaucoup de contes en randonnée, situation répétitive (mais les nouvelles parutions « une petite oie pas si bête » et « trois courageux petits gorilles » ne sont pas des contes en randonnée et "trois courageux petits gorilles" est particulièrement complexe pour la PS) Pas de méthodologie concernant le travail de construction de séquence à partir du texte : quels sont les obstacles de compréhension? Beaucoup de séances collectives en grand groupe Pas de convocation du sujet lecteur (et toi, qu’en penses-tu ? Qu’est ce que tu aurais fait ? As-tu déjà rencontré cette situation ?

QUIZ

pour un petit bilan

START

QUIZ

QUESTION 1/5

pour aider mes élèves à comprendre un récit:

je lis un texte oralisé

je prépare des images séquentielles

je raconte l'histoire

QUIZ

RIGHT!

NEXT

QUIZ

QUESTION 2/5

La littérature, c'est avant tout:

des contraintes

une zone d'inquiétude

un travail d'équipe

QUIZ

RIGHT!

NEXT

QUIZ

QUESTION 3/5

la compréhension d'un récit est fondée sur:

les inquiétudes des enseignants concernant ses élèves

la capacité d'empathie des élèves

les études des chercheurs

QUIZ

RIGHT!

NEXT

QUIZ

QUESTION 4/5

la compréhension d'un récit repose sur:

les illustrations

la fréquentation de la bibliothèque municipale

des lectures partagées aux modalités variées

QUIZ

RIGHT!

NEXT

QUIZ

QUESTION 5/5

la compréhension, à l'oral comme à l'écrit, est fondée sur:

l'acquisition du lexique, liée à celle de la syntaxe.

la lisibilité des illsutrations

le choix de l'auteur

QUIZ

RIGHT!

NEXT

QUIZ

RESULTATS

1/5

2/5

1 correct

2 correct

5/5

3/5

4/5

3 correct

4 correct

5 correct

BIBLIOGRAPHIE

outils d'éditeurs

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