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les propositions subordonnées conjonctives circonstancielles

Julien CASTEROT

Created on December 11, 2021

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Transcript

La proposition subordonnée conjonctive en fonction de complément circonstanciel

EXERCICE DE REVISION

Jouons avec la chanson francophone !

Entrainons-nous à étudier les propositions subordonnées conjonctives en fonction de complément circonstanciel avec des paroles de chansons francophones.

consignes

Dans citations extraites de chansons francophones proposées dans les pages suivantes, étudiez la négation contenue dans le titre.

Vous pourrez agrandir chaque citation en plaçant la souris sur la citation ou, mieux, sur l'image. Vous trouverez également ainsi les références de l'extrait.

Vous trouverez la correction en appuyant sur le bouton .

Vous pouvez revenir à ce sommaire à tout moment en appuyant sur le bouton .

bonus

"Tant que l'amour inondera mes matins, tant que mon corps frémira sous tes mains, peu m'importent les problèmes."

"Pour peu que le bonheur survienne, il est rare qu'on se souvienne des épisodes du chemin."

"Comme il était très musicien, il jouait beaucoup des mains."

"Même si tu revenais,je crois bien que rien n'y ferait."

"Quand vient le soir, pour qu'un ciel flamboie, le rouge et le noir ne s'épousent-ils pas ?"

"Eh toi, dis-moi que tu m'aimes, même si c'est un mensonge puisque je sais que tu mens."

"Choisis plutôt un soir de gala si tu veux danser avec moi."

"Pourquoi ces mots, si forts, si chauds, qu'ils gémissaient sur ta peau ?"

"Même si tu as des problèmes, tu sais que je t'aime, ça t'aidera."

"Même hululer sous la lune ne m'fait pas peur pouvu qu'elle veuille."

"Sortir de ses draps et de son coeur tout doucement sans faire de bruit pour pas qu'il pleure"

"Week-end à Rome, pour la douceur de vivre et pour le fun, puisqu'on est jeunes"

"Si le bonheur existe, c'est une épreuve d'artiste."

"Y a tant de vagues et tant d'idées qu'on n'arrive plus à distinguer le faux du vrai."

"Si je dois tomber de haut, que ma chute soit lente."

"Elle était tellement pour moi que je ne sais même pas si j'ai vu trembler mes doigts quand elle était là."

"Et quand bien même tu m'aimerais encore j'me passerais aussi bien de ton désaccord."

"Je m'inventerai reine pour que tu me retiennes."

"Puisqu'il faut parler, alors écoute-moi."

"Parce que c'est toi j'oserais tout affronter."

"Elle, tu l'aimes, si fort, si fort, au point, je sais, que tu serais perdu sans elle."

"J'ai tourné bien des pages, sans les lire, blanches."

"Chaque fois qu'ils m'appellent, ils me disent que je suis belle."

"Pendant que les champs brûlent j'attends que mes larmes viennent."

"On s'est aimés comme on se quitte."

BONUS
BONUS
BONUS

"Quand le temps se lasse de n'être que tué, plus une seconde passe dans ces vies d'uniformité."

"On verra quand on aura trente ans si on est devenus des grands hommes."

"Comme si je n'existais pas, elle est passée à côté de moi."

"Tant qu'on se parlera sur ce ton, je ferai baisser le son."

Bilan

Combien de bonnes réponses avez-vous obtenues ?

Comptez un point par bonne réponse pour les citations des trois premières pages et un demi-point pour les extraits de la page bonus. Vous obtiendrez ainsi une note (indicative et bonifiée) sur vingt.

Félicitations !

Nous relevons "qu'on n'arrive plus à distinguer le faux du vrai". C'est une proposition subordonnée conjonctive complément circonstanciel de conséquence, annoncée dans la principale par les deux adverbes d'intensité "tant", c'est un système corrélatif. Elle est introduite par la conjonction de subordination "que" et son verbe ("arrive") est conjugué au présent de l'indicatif.

Nous relevons "comme on se quitte". C'est une proposition subordonnée conjonctive complément circonstanciel de comparaison. Elle est introduite par la conjonction de subordination "comme" et son verbe ("se quitte") est conjugué au présent de l'indicatif.

Nous relevons "pour qu'un ciel flamboie". C'est une proposition subordonnée conjonctive complément circonstanciel de but. Elle est introduite par la locution conjonctive de subordination "pour que", élidée devant une voyelle, et son verbe ("flamboie") est conjugué au présent du subjonctif. Nous relevons aussi "quand vient le soir". C'est une proposition subordonnée conjonctive complément circonstanciel de temps. Elle est introduite par la conjonction de subordination "quand" et son verbe ("vient") est conjugué au présent de l'indicatif.

Nous relevons "même si c'est un mensonge". C'est une proposition subordonnée conjonctive complément circonstanciel de concession. Elle est introduite par la locution conjonctive de subordination "même si" et son verbe ("est") est conjugué au présent de l'indicatif. Nous relevons également "puisque je sais que tu mens" une proposition subordonnée conjonctive complément circonstanciel de cause. Elle est introduite par la conjonction de subordination "puisque" et son verbe ("sais") est conjugué au présent de l'indicatif. La proposition "que tu mens" est un conjonctive complétive, CO.D. du verbe savoir.

Nous relevons "pourvu qu'elle veuille". C'est une proposition subordonnée conjonctive complément circonstanciel de condition. Elle est introduite par la locution conjonctive de subordination "pourvu que", élidée devant une voyelle, et son verbe ("veuille") est conjugué au présent du subjonctif.

Nous relevons "si le bonheur existe". C'est une proposition subordonnée conjonctive complément circonstanciel de condition. Elle est introduite par la conjonction de subordination "si" et son verbe ("existe") est conjugué au présent de l'indicatif.

Nous relevons "pour que tu me retiennes". C'est une proposition subordonnée conjonctive complément circonstanciel de but. Elle est introduite par la locution conjonctive de subordination "pour que" et son verbe ("retiennes") est conjugué au présent du subjonctif.

Nous relevons "pour peu que le bonheur survienne". C'est une proposition subordonnée conjonctive complément circonstanciel de condition. Elle est introduite par la locution conjonctive de subordination "pour peu que" et son verbe ("survienne") est conjugué au présent du subjonctif.

Nous relevons "que je ne sais même pas si j'ai vu trembler mes doigts". C'est une proposition subordonnée conjonctive complément circonstanciel de conséquence, annoncée dans la principale par l'adverbe d'intensité "tellement", c'est un système corrélatif. Elle est introduite par la conjonction de subordination "que" et son verbe ("sais") est conjugué au présent de l'indicatif. Elle contient une proposition subordonnée interrogative indirecte ("si j'ai vu trembler mes doigts") introduite par la conjonction de subordination "si". Elle contient également une proposition subordonnée conjonctive complément circonstanciel de temps ("quand elle était là"). Elle est introduite par une conjonction de subordination ("quand") et son verbe ("était") est conjugué à l'imparfait de l'indicatif.

Nous relevons "commesi je n'existais pas". C'est une proposition subordonnée conjonctive complément circonstanciel de comparaison, qui s'appuie sur une hypothèse. Elle est introduite par la locution conjonctive de subordination "comme si" et son verbe ("existais") est conjugué à l'imparfait de l'indicatif. Par ailleurs, elle contient une négation totale.

Nous relevons "puisqu'on est jeunes". C'est une proposition subordonnée conjonctive complément circonstanciel de cause. Elle est introduite par la conjonction de subordination "puisque", élidée devant une voyelle, et son verbe ("est") est conjugué au présent de l'indicatif.

Nous relevons "pour pas qu'il pleure". C'est une proposition subordonnée conjonctive complément circonstanciel de but. Elle est introduite par la locution conjonctive de subordination "pour que", élidée devant une voyelle, et son verbe ("pleure") est conjugué au présent du subjonctif. La proposition est de forme négative, ce qui explique que l'adverbe de négation "pas" soit intercalée dans la locution conjonctive de subordination. Nous remarquons que c'est une négation de registre familier puisque le discordantiel est omis.

Nous relevons "tant qu'on se parlera sur ce ton". C'est une proposition subordonnée conjonctive complément circonstanciel de temps (on peut aussi accepter la condition). Elle est introduites par la locution conjonctive de subordination "tant que", élidée devant une voyelle, et son verbe ("parlera") est conjugué au futur de l'indicatif.

Nous relevons "qu'ils gémissaient sur ta peau". C'est une proposition subordonnée conjonctive complément circonstanciel de conséquence, annoncée dans la principale par les deux adverbes d'intensité "si", c'est un système corrélatif. Elle est introduite par la conjonction de subordination "que" et son verbe ("gémissaient") est conjugué à l'imparfait de l'indicatif.

Nous relevons "au point, je sais, que tu serais perdu sans elle". C'est une proposition subordonnée conjonctive complément circonstanciel de conséquence, annoncée dans la principale par les deux adverbes d'intensité "si", c'est un système corrélatif. Elle est introduite par la locution conjonctive de subordination "au point que" et son verbe ("serais perdu") est conjugué au présent du conditionnel, à la voix passive. La proposition "je sais" est une incise, intercalée.

Nous relevons "quand bien même tu m'aimerais encore". C'est une proposition subordonnée conjonctive complément circonstanciel de concession. Elle est introduite par la locution conjonctive de subordination "quand bien même" et son verbe ("aimerais") est conjugué au présent du conditionnel.

Nous ne relevons rien, "sans les lire" est un complément circonstanciel de manière mais ce n'est pas une proposition subordonnée conjonctive, "sans" est une préposition, c'est donc un groupe verbal prépositionnel.

Nous relevons "parce que c'est toi". C'est une proposition subordonnée conjonctive complément circonstanciel de cause. Elle est introduite par la locution conjonctive de subordination "parce que" et son verbe ("est") est conjugué au présent de l'indicatif.

Nous relevons "comme il était très musicien". C'est une proposition subordonnée conjonctive complément circonstanciel de cause. Elle est introduite par la conjonction de subordination "comme" et son verbe ("était") est conjugué à l'imparfait de l'indicatif.

Nous relevons "si tu veux danser avec moi". C'est une proposition subordonnée conjonctive complément circonstanciel de condition. Elle est introduite par la conjonction de subordination "si" et son verbe ("veux") est conjugué au présent de l'indicatif.

Nous relevons "quand le temps se lasse de n'être que tué". C'est une proposition subordonnée conjonctive complément circonstanciel de temps. Elle est introduite par la conjonction de subordination "quand" et son verbe ("se lasse") est conjugué au présent de l'indicatif. Elle comporte une négation restrictive.

Nous relevons "même si tu as des problèmes". C'est une proposition subordonnée conjonctive complément circonstanciel de concession. Elle est introduite par la locution conjonctive de subordination "même si" et son verbe ("as") est conjugué au présent de l'indicatif.

Nous relevons "tant que l'amour inondera mes matins" et "tant que mon corps frémira sous tes mains". Ce sont deux propositions subordonnées conjonctives compléments circonstanciels de condition (on peut aussi accepter le temps). Elles sont introduites par la locution conjonctive de subordination "tant que" et leurs verbes ("inondera" et "frémira") sont conjugués au futur de l'indicatif.

Nous relevons "pendant que les champs brûlent". C'est une proposition subordonnée conjonctive complément circonstanciel de temps, qui exprime la simultanéité Elle est introduite par la locution conjonctive de subordination "pendant que" et son verbe ("brûlent") est conjugué au présent de l'indicatif.

Nous relevons "même si tu revenais". C'est une proposition subordonnée conjonctive complément circonstanciel de concession. Elle est introduite par la locution conjonctive de subordination "même si" et son verbe ("revenais") est conjugué à l'imparfait de l'indicatif.

Nous relevons "quand on aura trente ans". C'est une proposition subordonnée conjonctive complément circonstanciel de temps. Elle est introduite par la conjonction de subordination "quand" et son verbe ("aura") est conjugué au futur de l'indicatif. La proposition "si on est devenu des grands hommes" est une proposition subordonnée interrogative indirecte.

Nous relevons "chaque fois qu'ils m'appellent". C'est une proposition subordonnée conjonctive complément circonstanciel de temps. Elle est introduite par la locution conjonctive de subordination "chaque fois que", élidée devant une voyelle, qui exprime la fréquence, et son verbe ("appellent") est conjugué au présent de l'indicatif.

Nous relevons "puisqu'il faut parler". C'est une proposition subordonnée conjonctive complément circonstanciel de cause. Elle est introduite par la conjonction de subordination "puisque", élidée devant une voyelle, et son verbe ("faut") est conjugué au présent de l'indicatif.

Nous relevons "si je dois tomber de haut". C'est une proposition subordonnée conjonctive complément circonstanciel de condition. Elle est introduite par la conjonction de subordination "si" et son verbe ("dois") est conjugué au présent de l'indicatif.