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Groupe EBRA
Created on September 16, 2021
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Nancy vue du ciel
De la Place Stanislas à la Pépinière, en passant par la Place de la Carrière et la Place d'Alliance
Infographie ERV
la Place stanislas
De la Place Stanislas, à la Place Carrière, la Pépinière, à la Place d'Alliance
Infographie ERV
la place de la Carrière
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les fontaines
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sont l'œuvre de Dieudonné-Barthélemy Guibal, sculpteur de Stanislas Leszczyński.
la fontaine d'Amphitrite
Comme la fontaine Neptune, la fontaine Amphitrite était agrémentée de deux fontaines latérales, qui ont été supprimées à la fin du XVIIIe siècle pour ouvrir le passage vers le parc de la Pépinière.
Infographie ERV
les fontaines
Elles sont l'œuvre de Dieudonné-Barthélemy Guibal, sculpteur de Stanislas Leszczyński.
la fontaine neptune
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les grilles jean Lamour
Les grilles jean lamour
Les grilles, réalisées par Jean Lamour, le serrurier de Stanislas Leszczyńsk, lui ont nécessité plusieurs années de travail, de 1752 à 1755.
De fer forgé et dorées à la feuille, elles ont donné à Nancy le surnom de « Ville aux Portes d’Or ». Les grilles et les fontaines ont été les premiers éléments de la place classés monuments historiques, en 1886.
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La pép'
Un carré de 21 hectares et de 1 730 arbres.
Ancienne pépinière royale fondée par Stanislas sur l’emplacement des anciens jardins ducaux et des bastions de la Ville Vieille, la pépinière devient un parc public en 1835 et a conservé son tracé initial.
le kiosque
L'auditorium
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Le grand bassin aux jets d'eau
La statue centrale
la statue de stanislas Leszynski
Réalisé en 1831, ce monument à l'effigie de Stanislas Leszczyński est l'œuvre d'un jeune sculpteur, Georges Jacquot.
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un manteau royal
mètres de haut
Autrefois, l’emplacement était occupé par une statue de Louis XV, détruite à la Révolution.
de
tonnes
(c’est moins lourd que prévu !)
L’artiste avait proposé deux esquisses en argile : celle que l’on connaît, où Stanislas est vêtu d’un manteau royal, et une autre où le roi de Pologne arborait une allure plus guerrière.
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l'opéra-théâtre
En 1906, le Théâtre de la Comédie, qui occupe le pavillon de l’actuel musée des Beaux-Arts, est détruit dans un incendie. Il est immédiatement décidé de le reconstruire.
Le nancéien Joseph Hornecker gagne le concours d’architecte avec son projet inspiré du théâtre à l’italienne. En 1909, l’Etat prend possession du n°4, près de la fontaine Amphitrite, et donne le feu vert à Hornecker. L’Opéra national de Lorraine sera inauguré 10 ans plus tard.
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le grand hôtel de la reine
hôtel de la reine
L'Hôtel de l'intendance
De la Place Stanislas, à la Place Carrière, la Pépinière, à la Place d'Alliance
Le Grand hôtel de la Reine tire son nom de la visite qu’il aurait reçu de Marie-Antoinette elle-même, en 1769, pour y écouter des poésies de Nicolas Gilbert. Il fût la résidence de l’empereur de Russie en 1814. Hôtel 4 étoiles à l’ère contemporaine, il vise la cinquième et fait actuellement l’objet d’une rénovation, en annexant notamment les anciens locaux de la préfecture.
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le musée des beaux arts
Le musée des Beaux-Arts de Nancy est l’un des plus vieux de France (1791). Mais il ne s’est installé qu’en 1936 dans son pavillon actuel, le n°3, près de la fontaine Neptune. Du temps de Stanislas, le bâtiment abritait le Collège de médecin et de chirurgie. Sa collection regroupe certains des plus grands noms de l’art : Manet, Delacroix, Rubens, Courbet… L’Art nouveau y occupe une place particulière, Nancy oblige.
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L'hôtel de ville
98
mètres
C’est la longueur du plus grand des bâtiments de la Place Stanislas, où s’est installée la mairie de Nancy depuis la fin de sa construction en 1755.
Les basses faces
Au nord, les deux petits pavillons à un seul étage ouvrent la perspective sur l'Arc Héré et la place Carrière. Pourquoi un seul étage ? Pour des impératifs militaires : ils devaient permettre les tirs croisés d’artillerie.
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l'arc héré
1754-1756 Architecte : Emmanuel Héré (1705-1763)Cette porte monumentale fut construite au milieu des remparts qui séparaient la Ville Vieille de la Ville Neuve, pour remplacer l’ancienne porte Royale.Emmanuel Héré, son auteur, s’est inspiré des arcs romains de Constantin et de Septime Sévère. Le thème récurrent du décor est la guerre et la paix. Il fait référence à la victoire de Maurice de Saxe à Fontenoy en 1745 et à la paix d’Aix-la-Chapelle en 1748. Le sommet de l’arc est orné de statues de Cérès, Minerve, Mars et Hercule posées de part et d’autre d’un groupe en plomb, doré à la feuille d’or : la Renommée ou la Victoire qui sonne de la trompette et tient une couronne de lauriers au-dessus d’un médaillon à l’effigie de Louis XV. Sur les bas-reliefs de marbre, des scènes représentant Apollon et les Muses encadrent des allégories de la Guerre et de la Paix. Cet édifice, dédié à Louis XV, vante à la fois les mérites du prince guerrier et du prince pacifique..
Aussi appelée porte Héré, elle a été dessinée par l’architecte du même nom pour remplacer l’ancienne Porte Royale construite par Louis XIV et détruite en 1752. L’arc Héré arbore un médaillon à l’effigie de Louis XV, vers lequel la statue de Stanislas pointe du doigt. D’abord en marbre blanc, il est détruit pendant la Révolution. Il sera plus tard remplacé par l’actuel, en plomb doré.
Cet édifice, inspiré des arcs romains de Constantin et de Septime Sévère est l'œuvre de l'architecte Emmanuel Héré. Il est dédié à Louis XV, vante à la fois les mérites du prince guerrier et du prince pacifique
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palais du gouvernement
Construit entre 1751 et 1753 selon les plans d’Emmanuel Héré, ce bâtiment est classé depuis 1983 au patrimoine mondial de l’UNESCO.
On l’appelle souvent à tort le « palais du gouverneur », en référence au gouverneur militaire de Nancy qui occupa le bâtiment du milieu du XIXe siècle à la fin du XXe. Il appartient désormais à la ville de Nancy, qui l’ouvre parfois au public lors d’expositions thématiques.
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Place de la carrière
La place de la Carrière fut édifiée au XVIe siècle. Jadis, on y pratique courses, tournois et autres exercices chevaleresques, qui lui donnent son nom. Stanislas Leszczyński est à l’initiative des transformations de la place au XVIIIe siècle.
Reliée à la place Stanislas par l’arc Héré, l’ensemble marque alors la réunion de la vieille ville à la ville-neuve. L’opération fut menée par Emmanuel Héré, à partir de 1751. Elle héberge aujourd’hui des événements tels que le Livre sur la Place ou bien encore les 24 h de Stan.
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Place de la carrière
Lorsque le roi de Pologne initie la rénovation de la place de la Carrière, il souhaite réaménager les façades pour plus d’harmonie, et faire ajouter deux pavillons à chaque extrémité nord des deux rangées d’immeubles.
L'Hôtel de MORVILLIERS
le pavillon Héré
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Place de la carrière
A l'entrée de la place, deux bâtiments se font face : l'Hôtel de Beauvau-Craon et la Bourse des Marchands, aujourd’hui respectivement Cour d’Appel et tribunal administratif de Nancy.
Hôtel de Craon
Hôtel de Craon
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Bourse des marchands
Place Vaudémont
Appelée « place des Chameaux », en souvenir de ces animaux exotiques importés à Nancy par le duc Léopold en 1698, on lui donna ensuite le nom de « place Vaudémont ».
En 1877, Prosper Morey agrémenta cette place d'une façade de style néoclassique surmontée de pots-à-feux à la base de laquelle s'élève une fontaine.
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Place d'Alliance
Inscrite au patrimoine mondial de l’UNESCO en 1983, elle est construite en 1750 sur l’ancien potager ducal, et d’abord appelée place Saint Stanislas. Elle tire son nom actuel du traité d’alliance franco-autrichien de 1756, entre Louis XV et Marie-Thérèse d’Autriche.
La place Saint Stanislas fut construite en 1750, sur l'ancien potager ducal. Elle fut renommée Place d'alliance en 1756, suite à La statue qui trone en son centre représente les cours d'eau des environs:la moselle, la meurthe et la meuse.
En son centre s'élève une fontaine remarquable, créée par le sculpteur et céramiste français Paul-Louis Cyfflé. Elle commémore le traité d'alliance.
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En 1877, Prosper Morey agrémenta cette place d'une façade de style néoclassique surmontée de pots-à-feux à la base de laquelle s'élève une fontaine.
le pavé secret
D'abord appelée place Saint Stanislas, elle fut construite en 1750 sur l'ancien potager ducal. Cinq ans plus tard, elle est rebaptisée place d'Alliance, suite à la signature du traité d'alliance entre louis XV et Marie thèrese d'Autriche.
Un peu de lumière sous la terre
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le pavillon Jacquet
Initialement alloué à un bourgeois de Nancy, le bâtiment est vendu comme bien national à la Révolution. Il est occupé par un magasin de mode au cours du XIXe siècle, puis la Ville en redevient propriétaire dans les années 1950. On y trouve aujourd'hui deux brasseries et un bureau de tabac. Sur la façade à l'angle de la rue Gambetta se trouve une méridienne, sorte de cadran solaire qui indique midi. Elle est l'œuvre de l'horloger de Stanislas, Michel Ransonnet.
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