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La Méditerranée antique : empreintes grecques et romaines
pichereau.loise
Created on August 12, 2021
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Thème 1 : Le monde méditerranéen : empreintes de l’Antiquité et du Moyen-Âge
Chapitre 1. La Méditerranée antique : les empreintes grecques et romaines
II. La Méditerranée romaine A. La fin de la Res Publica romana - Auguste Imperator B. Un territoire unifié - La Pax Romana - La Romanisation - La christisanisation
I. La Méditerranée grecque A. La Grèce des cités - Unité culturelle et religieuse B. Périclès et la démocratie athénienne C. La guerre du Péloponnèse
I. La mediterranée grecque
Lexique
La Grèce antique au Vème siècle av. J-.C
A. La Grèce des cités
Une unité culturelle et religieuse
B. Périclès et la démocratie athénienne
Réaliser le parcours A, pages 30-31
Schéma des institutions athéniennes (doc 2 page 29)
Doc : La construction des monuments de l’Acropole (447 av. J.-C.) Mais ce qui causa le plus de plaisir à Athènes, l’embellit le plus et frappa d’admiration le reste des hommes, l’unique témoignage qui nous prouve, aujourd’hui, que la fameuse puissance et l’antique splendeur de la Grèce ne sont pas des inventions, ce fut la construction des monuments sacrés. Cette mesure suscita, plus que toutes les décisions politiques de Périclès, la jalousie de ses ennemis. Ils l’accusaient dans les assemblées : « Le peuple, criaient-ils, est déshonoré ! Il s’est attiré les insultes de tous, pour avoir transporté de Délos1 à Athènes le trésor commun des Grecs. […] » Mais Périclès donnait au peuple les explications suivantes : « Vous ne devez aucun compte de ces sommes aux alliés, puisque vous faites la guerre pour eux et maintenez les barbares au loin. Les alliés ne fournissent pas un cheval, pas un hoplite , mais seulement de l’argent. Or l’argent n’appartient pas à celui qui le donne, mais à celui qui le reçoit, s’il fournit les services pour lesquels on le lui a versé. Puisque la cité est convenablement équipée pour la guerre, il faut qu’elle emploie ses ressources à des travaux qui lui procureront, après leur achèvement, une gloire éternelle, et durant leur exécution, une gloire immédiate. » Plutarque, « Vie de Périclès », Vies Parallèles, XII, 1-4. 1. Île de la mer Égée, siège de la Ligue de Délos.
C. La guerre du Péloponnèse
II. La mediterranée Romaine
Lexique
L'Empire romain à son apogée en 118
A. La fin de la Res Publica romana et Auguste Imperator
Lorsqu'il s'assit, les conjurés l'entourèrent, sous prétexte de lui rendre leurs devoirs. Tout à coup Tillius Cimber, qui s'était chargé du premier rôle, s'approcha davantage comme pour lui demander une faveur; et César se refusant à l'entendre et lui faisant signe de remettre sa demande à un autre temps, il le saisit, par la toge, aux deux épaules. "C'est là de la violence," s'écrie César; et, dans le moment même, l'un des Casca, auquel il tournait le dos, le blesse, un peu audessous de la gorge. César, saisissant le bras qui l'a frappé, le perce de son poinçon, puis il veut s'élancer; mais une autre blessure l'arrête, et il voit bientôt des poignards levés sur lui de tous côtés. Alors il s'enveloppe la tête de sa toge, et, de la main gauche, il en abaisse en même temps un des pans sur ses jambes, afin de tomber plus décemment, la partie inférieure de son corps étant ainsi couverte. Il fut ainsi percé de vingt-trois coups: au premier seulement, il poussa un gémissement, sans dire une parole. Toutefois, quelques écrivains rapportent que, voyant s'avancer contre lui Marcus Brutus, il dit en grec: "Et toi aussi, mon fils!" Quand il fut mort, tout le monde s'enfuit, et il resta quelque temps étendu par terre. Enfin trois esclaves le rapportèrent chez lui sur une litière, d'où pendait un de ses bras. De tant de blessures, il n'y avait de mortelle, au jugement du médecin Antistius, que la seconde, qui lui avait été faite à la poitrine. Suétone, Vie de Jules César, LXXXII, trad M. Nisard, Paris, 1855.
Le premier triumvirat est une alliance politique privée de la fin de la République romaine rassemblant Jules César (Caius Iulius Caesar), Crassus et Pompée le Grand.
Auguste Imperator
[Après la mort de César, en 44 av. J.-C.] Octave gouverna la république d'abord avec le concours d'Antoine et de Lépide […]. Son alliance avec Antoine avait toujours été chancelante et incertaine. Après de fausses réconciliations, il la rompit enfin […]. Peu de temps après, il le vainquit à la bataille navale d'Actium. […] Puis il gagna l'Égypte par l'Asie et la Syrie, assiégea Alexandrie où Antoine s'était réfugié avec Cléopâtre, et s'en rendit bientôt maître. Antoine voulut parler de paix ; mais il n'était plus temps. Auguste le contraignit à se tuer, et il le vit mort. […] Il soumit, ou par lui-même, ou par ses généraux, les Cantabres, l'Aquitaine, la Pannonie, la Dalmatie, avec toute l'Illyrie. […] Il rejeta les Germains au-delà de l'Elbe, il reçut la reddition des Suèbes et des Sigambres et les transporta dans la Gaule sur les bords du Rhin. Il assujettit encore d'autres peuples indociles. Il ne fit jamais la guerre à aucun sans raison ou sans nécessité. Il avait tellement peu l'ambition d'augmenter à tout prix son empire ou sa gloire militaire, qu'il obligea plusieurs rois barbares à lui jurer, dans le temple de Mars Vengeur, qu'ils seraient fidèles à la paix et à l'alliance qu'ils lui demandaient. […] Tant de sagesse et de modération détermina les Indiens et les Scythes, peuples que l'on ne connaissait que de nom, à solliciter par des ambassadeurs son amitié et celle du peuple romain. […] Le temple de Janus Quirinus, qui n'avait été fermé que deux fois avant lui, depuis la fondation de Rome, le fut trois fois sous son règne, dans un bien moindre espace de temps. La paix était établie sur terre et sur mer. […] Il songea deux fois à rétablir la république, […] mais il se décida à garder le pouvoir. […] La beauté de Rome ne répondait point à la majesté de l'empire : elle était exposée aux inondations et aux incendies. Il l'embellit tellement, qu'il se vanta avec raison d'avoir trouvé une ville de briques et d'en avoir laissé une de marbre. Suétone, Vie des douze Césars, début du IIe siècle apr. J.-C.
B. Un territoire unifié
1) La Pax Romana
Hadrien
B. Un territoire unifié
2) La romanisation
Claude
Caracalla
B. Un territoire unifié
3) La christianisation
Constantin
Problématique : comment Périclès met l’empire au service de la démocratie athénienne ? étape 1 : lire le sujet + numérotez les lignes du texte + lecture x2 du texte → surligner les informations qui semblent importantes étape 2 : définir les termes du sujet → quel est le personnage historique étudié ? son rôle ? → quel est le rapport entre l’empire maritime et la démocratie athénienne ? étape 3 : réfléchir à un plan afin de structurer son analyse → utiliser plusieurs couleurs afin de rassembler les éléments par thématique (étape 1) → dégager 2 thématiques dont parle le texte étape 4 : réaliser un tableau/ brouillon afin d’analyser le texte → plan détaillé
Les tyrannicides
Harmodios et Aristogiton, qui ont assassiné en 514 le prince Hipparque, frère du tyran Hippias d’Athènes, ouvrant ainsi la voie plus ou moins légendaire à la fondation de la «démocratie» par Clisthène. La célébrité, littéraire comme iconographique, des Tyrannicides et de leur représentation, donne lieu à de multiples références au cours de l’époque classique et hellénistique.
https://www.slate.fr/story/97379/vie-oeuvre-statues-micro-histoire