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Séquence 2 Le fantastique

JOUBERT

Created on May 15, 2021

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Transcript

Thème 1 : La fiction pour interroger le réel: regarder le monde, inventer des mondes

Séquence 2: Une plongée dans le fantastique

Problématique : Comment la littérature fantastique bouscule-t-elle les frontières du réel ?

Index

1. Vous avez dit fantastique ?

2. Une atmosphère inquiétante dans un cadre réaliste

3. La réalité troublée, la recette du fantastique

9. CONJUGAISON : Le mode conditionnel

4. Narrateurs et points de vue narratif

10. LEXIQUE: le vocabulaire du doute et de la peur

5. Montrer sa compréhension fine et les enjeux du fantastique

11. Les figures de style

6. La description dans l’univers fantastique : l’installation de l’étrange et de la peur

12. Le fantastique au cinéma

13. Ecriture

Séance 1: Vous avez dit fantastique ? Qu'entendez-vous par là ?

Fiche "Le fantastique"
Un genre
Un mot
Une atmosphère
Des thèmes

Alma, film d'animation de Rodrogo Blaas

  • Où se passe l'action ? Que peux-tu dire du personnage principal ?
  • Quels adjectifs utiliserais-tu pour décrire l'atmosphère de cette histoire ? Justifie.
  • Quels sont les éléments qui te permettent de
comprendre qu'Alma court un danger ?
En quoi cette histoire est-elle fantastique ?
https://vimeo.com/4749536

Séance 2 : Un cadre réaliste mais une atmosphère inquiétante ...

Lecture d'un extrait de Dracula de Bram Stoker, 1897 : lignes 1 à 65 pages 121-122
Selon vous, qu'est-ce qui fait l'intérêt de ce texte ?
+ Exercices de vocabulaire et d'écriture page 122 Nathan

Gothic horror novel by Irish author Bram Stoker

Je retiens:

L'incipit d'un récit fantastique pose un cadre réaliste. Le narrateur introduit cependant quelques éléments qui offrent la promesse d'une histoire "surnaturelle", "inexplicable", par la création d'une atmosphère inquiétante, qui fait frissonner...
surnaturel ?
inexplicable ?

Séance 3 : La réalité troublée... la recette d'un récit fantastique

Lecture de la nouvelle "Le veston ensorcelé" de Dino Buzzati, 1966 : pages 123 à 128

La recette d’un récit fantastique réussi ! À partir de notre lecture et des notes prises sur le cahier, vous disposez de 10 minutes pour composer la recette pour un récit fantastique réussi.

Séance 4 : Narrateurs et points de vue narratifs

Leçon
Exercice 1 : Quel point de vue narratif permet de… 
1. ...décrire ce qu’il se passe d’un point de vue objectif, comme si la scène était filmée par une caméra ? Point de vue ______________ 2. ...connaître les pensées de tous les personnages d’un récit ? Point de vue ______________ 3. ...suivre l’évolution physique et psychologique d’un personnage en même temps que celui-ci la vit ? Point de vue _________________ 4. ...passer d’un lieu à un autre ou d’une temporalité à une autre à l’intérieur du récit ? Point de vue _________________ 5. ...éveiller chez le lecteur l’attente de savoir ce qu’il va se passer ? Point de vue ___________ 6. ...éveiller plus facilement chez le lecteur un sentiment d’identification avec le héros ? Point de vue _______________
EXTERNE
OMNISCIENT
INTERNE
OMNISCIENT
EXTERNE
INTERNE

Exercice: Quel est le point de vue adopté dans chacun de ces extraits ?

point de vue omniscient
point de vue interne
point de vue externe

Séance 5 : Poser les questions pour montrer les enjeux du fantastique

????????????

Password?

Définition :

La personnification est une figure de style donnant des caractéristiques humaines à un objet inanimé. Ex: La main, objet inerte et mort, qui semble avoir pris vie est personnifiée et apporte du fantastique dans l'histoire.

Password?

Je retiens:

Faire peur est une des caractéristiques principales du récit fantastique, qui met en scène des éléments inexplicables faisant intervenir des forces surhumaines qui peuvent être dangereuses. Lorsqu’un événement inattendu intervient dans un univers réel bien connu, on va parler de moment fantastique. Cela se manifeste particulièrement, chez le narrateur, par un moment de doute (ce que je vis est-il vraiment réel ?). Le lecteur hésitera entre deux explications : -rationnelle : mise en scène pour faire porter la cumpabilité sur la main -irrationnelle : la main a repris vie et s'est vengée.
Carte mentale sur les ingrédients du récit fantastique

BILANQu'est ce qu'une nouvelle fantastique?

step 1

UN EVENEMENT MYSTERIEUX

UN LIEU INQUITANT

Un ANCRAGE REALISTE

UNE FIN ENIGMATIQUE

Duis autem vel eum iriure dolor in hendrerit in

+info

Séance 8 : La description dans l’univers fantastique : l’installation de l’étrange et de la peur

Cependant la rivière s'était peu à peu couverte d'un brouillard blanc très épais qui rampait sur l'eau fort bas, de sorte que, en me dressant debout, je ne voyais plus le fleuve, ni mes pieds, ni mon bateau, mais j'apercevais seulement les pointes des roseaux, puis, plus loin, la plaine toute pâle de la lumière de la lune avec de grandes taches noires qui montaient dans le ciel, formées par des groupes de peupliers d'Italie. J'étais comme enseveli jusqu'à la ceinture dans une nappe de coton d'une blancheur singulière, et il me venait des imaginations fantastiques. Je me figurais qu'on essayait de monter dans ma barque que je ne pouvais plus distinguer, et que la rivière, cachée par ce brouillard opaque, devait être pleine d'êtres étranges qui nageaient autour de moi. J'éprouvais un malaise horrible, j'avais les tempes serrées, mon cœur battait à m'étouffer ; et perdant la tête, je pensai à me sauver à la nage ; puis aussitôt cette idée me fit frissonner d'épouvante. Je me vis perdu, allant à l'aventure dans cette brume épaisse, me débattant au milieu des herbes et des roseaux que je ne pourrais éviter, râlant de peur, ne voyant pas la berge, ne retrouvant plus mon bateau, et il me semblait que je me sentirais tiré par les pieds tout au fond de cette eau noire. Maupassant, La peur

VOCABULAIRE : Exprimer le trouble et l’incertitude Exercice 1 - Faites une phrase avec chacune des expressions suivantes : a) Il me sembla que... b) On aurait juré que... c) On eût dit que... d) J’avais l’impression que... e) Je me demandai si... f) J’étais... comment exprimer cela... Exercice 2 - A quel champ lexical les mots suivants appartiennent-ils? bizarre - insolite - une silhouette singulière - mystérieux

Les figures de style du fantastique

Repérez, dans les extraits suivants les comparaisons, les personnifications et les répétitions : 1. Le gros tas d’arbres avaient l’air d’un tombeau où ma maison était ensevelie.
 2. Mes pauvres genoux vibraient comme des cymbales.
 3. Et voilà que j’aperçus tout à coup, sur le seuil de ma porte, un fauteuil mon grand fauteuil de lecture, qui sortait en se dandinant. Je tressaillis.
 4. La porte, au moment où je l’ouvris, poussa un cri plaintif de vieille femme égorgée.
 5. Toutes les chaises du salon se mirent à danser comme des démentes.
 6. Et j’avançai, perclus, agonisant d’émotion, mais j’avançai, car je suis brave, j’avançai comme un chevalier des époques ténébreuses pénétrait en un séjour de sortilèges.
 7. Il n’y avait personne dans cette demeure vaste et tortueuse comme un labyrinthe.
 8. Ah ! Mon cœur, mon pauvre cœur, il battait comme mille tambours !
 9. Pas de lune ! Quelle nuit ! J’avais peur, une peur affreuse dans ces étroits sentiers, entre deux lignes de tombes ! Des tombes ! Des tombes ! Des tombes ! Toujours des tombes ! A droite, à gauche, devant moi, autour de moi, partout, des tombes !
 10. Cette femme ressemblait à une araignée qui tissait une gigantesque toile dans laquelle elle comptait m’attirer.
Etape 1 : les figures de style en images
Etape 3 : Je mémorise
Etape 2 : les figures de style en images mais à l'inverse
Etape 4 : Je suis un expert

ORAL

Lecture expressive d'un extrait de la nouvelle "Le Horla"

Sixième sens, 1999
Sleepy hollow, 1999
L'histoire sans fin, 1984

DEFINITION

Le moment du fantastique : Fantastique /étrange / surnaturel
 Lorsqu’un événement inattendu intervient dans un univers réel bien connu, on va parler de moment fantastique. Cela se manifeste particulièrement, chez le narrateur, par un moment de doute (ce que je vis est-il vraiment réel ?). ⬜ Si on parvient à expliquer l’origine de cet événement, on dira qu’il est étrange ; par exemple, un bruit inquiétant qui s’avérerait trahir la présence d’un animal. ⬜ Si on ne parvient pas à expliquer l’origine de cet événement, on dira qu’il est surnaturel car il renvoie à quelque chose que l’on ne connaît pas ; par exemple, un bruit inquiétant provoqué par un fantôme.
 ➔ A la fin d’un récit fantastique, le lecteur choisit entre une explication rationnelle des faits et une explication surnaturelle (d’autant que le surnaturel laisse des traces de son passage). Cette
hésitation crée un espace de doute et d’interrogation. Rappel : merveilleux (Souviens-toi, tu as étudié des récits merveilleux en 6e.)
Lorsque ces éléments surnaturels sont acceptés par le narrateur qui ne se pose pas de questions car il sait qu’il évolue dans un monde surnaturel, on parlera de merveilleux. Par exemple, Cendrillon n’est pas vraiment surprise quand sa marraine, la fée, vient lui proposer son aide pour assister au bal du prince.
La danse macabre, Camille Saint-Saëns

Séance 2: Comment mettre en appétit le lecteur ?

Un cadre spatio-temporel réaliste

Mais aussi, déjà, de l'étrange !
On faisait cercle autour de M. Bermutier, juge d’instruction qui donnait son avis sur l’affaire mystérieuse de Saint-Cloud. Depuis un mois, cet inexplicable crime affolait Paris. Personne n’y comprenait rien. M. Bermutier, debout, le dos à la cheminée, parlait, assemblait les preuves, discutait les diverses opinions, mais ne concluait pas. Plusieurs femmes s’étaient levées pour s’approcher et demeuraient debout, l’œil fixé sur la bouche rasée du magistrat d’où sortaient les paroles graves.
Imaginez la suite immédiate de cet incipit. Vous devrez employer les mots suivants : un crime fort habilement conçu, fort habilement exécuté -une affaire où semblait se mêler quelque chose de fantastique - je ne crois qu'aux causes normales - inexplicable - surnaturel - insatiable besoin d'épouvante -les femmes frissonnaient
On faisait cercle autour de M. Bermutier, juge d’instruction qui donnait son avis sur l’affaire mystérieuse de Saint-Cloud. Depuis un mois, cet inexplicable crime affolait Paris. Personne n’y comprenait rien. M. Bermutier, debout, le dos à la cheminée, parlait, assemblait les preuves, discutait les diverses opinions, mais ne concluait pas. Plusieurs femmes s’étaient levées pour s’approcher et demeuraient debout, l’œil fixé sur la bouche rasée du magistrat d’où sortaient les paroles graves. Elles frissonnaient, vibraient, crispées par leur peur curieuse, par l’avide et insatiable besoin d’épouvante qui hante leur âme, les torture comme une faim. Une d’elles, plus pâle que les autres, prononça pendant un silence : - C’est affreux. Cela touche au "surnaturel". On ne saura jamais rien. Le magistrat se tourna vers elle : - Oui, madame, il est probable qu’on ne saura jamais rien. Quant au mot "surnaturel" que vous venez d’employer, il n’a rien à faire ici. Nous sommes en présence d’un crime fort habilement conçu, fort habilement exécuté, si bien enveloppé de mystère que nous ne pouvons le dégager des circonstances impénétrables qui l’entourent. Mais j’ai eu, moi, autrefois, à suivre une affaire où vraiment semblait se mêler quelque chose de fantastique. Il a fallu l’abandonner, d’ailleurs, faute de moyens de l’éclaircir. Plusieurs femmes prononcèrent en même temps, si vite que leurs voix n’en firent qu’une : - Oh ! dites-nous cela. M. Bermutier sourit gravement, comme doit sourire un juge d’instruction. Il reprit : - N’allez pas croire, au moins, que j’aie pu, même un instant, supposer en cette aventure quelque chose de surhumain. Je ne crois qu’aux causes normales. Mais si, au lieu d’employer le mot "surnaturel" pour exprimer ce que nous ne comprenons pas, nous nous servions simplement du mot "inexplicable", cela vaudrait beaucoup mieux. En tout cas, dans l’affaire que je vais vous dire, ce sont surtout les circonstances environnantes, les circonstances préparatoires qui m’ont ému. Enfin, voici les faits [...]
On faisait cercle autour de M. Bermutier, juge d’instruction qui donnait son avis sur l’affaire mystérieuse de Saint-Cloud. Depuis un mois, cet inexplicable crime affolait Paris. Personne n’y comprenait rien. M. Bermutier, debout, le dos à la cheminée, parlait, assemblait les preuves, discutait les diverses opinions, mais ne concluait pas. Plusieurs femmes s’étaient levées pour s’approcher et demeuraient debout, l’œil fixé sur la bouche rasée du magistrat d’où sortaient les paroles graves. Elles frissonnaient, vibraient, crispées par leur peur curieuse, par l’avide et insatiable besoin d’épouvante qui hante leur âme, les torture comme une faim. Une d’elles, plus pâle que les autres, prononça pendant un silence : - C’est affreux. Cela touche au "surnaturel". On ne saura jamais rien. Le magistrat se tourna vers elle : - Oui, madame, il est probable qu’on ne saura jamais rien. Quant au mot "surnaturel" que vous venez d’employer, il n’a rien à faire ici. Nous sommes en présence d’un crime fort habilement conçu, fort habilement exécuté, si bien enveloppé de mystère que nous ne pouvons le dégager des circonstances impénétrables qui l’entourent. Mais j’ai eu, moi, autrefois, à suivre une affaire où vraiment semblait se mêler quelque chose de fantastique. Il a fallu l’abandonner, d’ailleurs, faute de moyens de l’éclaircir. Plusieurs femmes prononcèrent en même temps, si vite que leurs voix n’en firent qu’une : - Oh ! dites-nous cela. M. Bermutier sourit gravement, comme doit sourire un juge d’instruction. Il reprit : - N’allez pas croire, au moins, que j’aie pu, même un instant, supposer en cette aventure quelque chose de surhumain. Je ne crois qu’aux causes normales. Mais si, au lieu d’employer le mot "surnaturel" pour exprimer ce que nous ne comprenons pas, nous nous servions simplement du mot "inexplicable", cela vaudrait beaucoup mieux. En tout cas, dans l’affaire que je vais vous dire, ce sont surtout les circonstances environnantes, les circonstances préparatoires qui m’ont ému. Enfin, voici les faits [...]

Séance 3: Un récit dans le récit

Un jeu sur les narrateurs

Je retiens:

Le personnage principal a repris le rôle du narrateur en donnant une nouvelle situation initiale correspondant à son récit passé (récit dans le récit). Il explique qu’il se trouvait à Ajaccio pour le travail, et après deux ans, sa vie quotidienne a été perturbée par l’arrivée d’un nouveau personnage anglais Sir John Rowell.
récit dans le récit ?
point de vue ?
narrateur ?

Séance 4 : L'irruption de l'insolite

Bizarre, bizarre...

Je retiens:

Tous les indices nous portent étrangement vers l’objet insolite trônant dans son salon : la fameuse main de son ennemi. Cela suscite une grande peur chez le juge mais aussi un frisson chez le lecteur.

Je retiens:

La main qui se trouve dans le salon de Sir John Rowell est un objet non pas surnaturel mais inexplicable : il n’est pas habituel de posséder cela chez soi et c’est étrange de l’exposer ainsi. A travers sa description déployant de nombreux adjectifs, l’auteur arrive à transmettre le dégoût et la crainte que ressentent les personnages en la voyant.
synonymes d'insolite?
synonymes de surnaturel ?

Séance 6 : La fine barrière entre rêve et réalité : une fin énigmatique

Or, une nuit, trois mois après le crime, j’eus un affreux cauchemar. Il me sembla que je voyais la main, l’horrible main, courir comme un scorpion ou comme une araignée le long de mes rideaux et de mes murs. Trois fois, je me réveillai, trois fois je me rendormis, trois fois je revis le hideux débris galoper autour de ma chambre en remuant les doigts comme des pattes. Le lendemain, on me l’apporta, trouvé dans le cimetière, sur la tombe de sir John Rowell, enterré là ; car on n’avait pu découvrir sa famille. L’index manquait.
 Voilà, mesdames, mon histoire. Je ne sais rien de plus. »

????????????

Question n°1 – Que remarquez vous sur la temporalité par rapport au décès ? Question n°2 – Relevez le champ lexical illustrant la thématique du « rêve ». Sur quel genre de rêve sommes-nous ? Justifiez votre réponse. Question n°3 – A quoi est comparée la main ? Quel est le point commun entre les éléments ? Quel est le chiffre évoqué à plusieurs reprises ? Pourquoi ? Question n°4 – Commentez le rêve qu’il fait. Quel est le lien entre le rêve et la réalité ? Question n°5 – Comment se termine ce récit dans le récit ?

Séance 7 : La chute

e sais écouter et mémoriser ...

Les femmes, éperdues, étaient pâles, frissonnantes. Une d’elles s’écria : 
- Mais ce n’est pas un dénouement cela, ni une explication! Nous n’allons pas dormir si vous ne nous dites pas ce qui s’était passé, selon vous.
 Le magistrat sourit avec sévérité :
 - Oh ! moi, mesdames, je vais gâter, certes, vos rêves terribles. Je pense tout simplement que le légitime propriétaire de la main n’était pas mort, qu’il est venu la chercher avec celle qui lui restait. Mais je n’ai pu savoir comment il a fait, par exemple. C’est là une sorte de vendetta.
 Une des femmes murmura :
 - Non, ça ne doit pas être ainsi.
Et le juge d’instruction, souriant toujours, conclut :
 - Je vous avais bien dit que mon explication ne vous irait pas. Maupassant - La main

Question n°1 – Relevez les informations données sur les femmes écoutant l’histoire. Question n°2 – Quelle est l’idée du juge ? Pourquoi évoque-t-il la notion de « vendetta » ? Question n°4 – A la fin du récit, que peuvent ressentir les femmes ?

Je retiens:

L'énigme se poursuit, les coîncidences sont troublantes, le rêve rejoint la réalité, toutes les frontières entre réel et surnaturel sont bousculées. Dans un récit fantastique, le narrateur, le personnage et le lecteur doutent, se questionnent, hésitent entre une explication rationnelle et une explication irrationnelle.