QUIZ BIODIVERISTE

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Biodiversité

Testez vos connaissances et lisez les réponses !

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QUESTION 1

Quel est le pourcentage de la surface de la Terre dégradée en raison d'une pression sur les ressources naturelles ?

75 %

25 %

50 %

Vrai !

Selon l’Atlas mondial de la désertification, actualisé en 2018 par la Commission européenne, 75 % de la surface de la Terre est déjà dégradée en raison d’une pression sur les ressources naturelles "sans précédent". À l'échelle mondiale, c’est l’équivalent de la moitié de la superficie de l'Union européenne (environ deux millions de kilomètres carrés) qui est dégradé chaque année. Si rien n’est fait, c’est plus de 90 % de la planète qui se trouvera en très mauvais état d’ici 2050.

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Faux !

Selon l’Atlas mondial de la désertification, actualisé en 2018 par la Commission européenne, 75 % de la surface de la Terre est déjà dégradée en raison d’une pression sur les ressources naturelles "sans précédent". À l'échelle mondiale, c’est l’équivalent de la moitié de la superficie de l'Union européenne (environ deux millions de kilomètres carrés) qui est dégradé chaque année. Si rien n’est fait, c’est plus de 90 % de la planète qui se trouvera en très mauvais état d’ici 2050.

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QUESTIoN 2

Entre 2004 et 2017, combien de millions d’hectares de forêts ont-ils disparu ?

102 millions

13 millions

43 millions

Vrai !

Dans un rapport publié mi- janvier, le WWF estime qu’entre 2004 et 2017, 43 millions d'hectares ont été détruits sur les principaux fronts de déforestation dans le monde. Cette superficie est équivalente aux deux tiers de la surface de la France. L’Amérique latine, l’Afrique et l’Asie-Pacifique concentrent à elles seules 52 % de la déforestation tropicale. Les forêts restantes n’en sont pas moins fragilisées. Selon l'ONG, 45 % des surfaces forestières qui ne sont pas détruites sont aujourd'hui dégradées.

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Faux !

Dans un rapport publié mi- janvier, le WWF estime qu’entre 2004 et 2017, 43 millions d'hectares ont été détruits sur les principaux fronts de déforestation dans le monde. Cette superficie est équivalente aux deux tiers de la surface de la France. L’Amérique latine, l’Afrique et l’Asie-Pacifique concentrent à elles seules 52 % de la déforestation tropicale. Les forêts restantes n’en sont pas moins fragilisées. Selon l'ONG, 45 % des surfaces forestières qui ne sont pas détruites sont aujourd'hui dégradées.

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QUESTION 3

Selon vous, quand tombe le « jour du dépassement », celui qui marque le moment où l’humanité a utilisé toutes les ressources que la Terre est capable de produire en un an ?

2 octobre

15 mars

22 août

Vrai !

En 2020, le jour du dépassement de la Terre a eu lieu le 22 août, reculant de trois semaines par rapport à 2019. Mais pas de quoi se réjouir pour autant car ceci n’est que la conséquence directe du confinement. Surtout, cela signifie que malgré ces mesures exceptionnelles et l’arrêt total de l’économie pendant plusieurs semaines, nous continuons de vivre bien au-dessus de nos moyens en utilisant 60 % de plus que ce qui peut être renouvelé ou autant que si nous vivions sur 1,6 Terre…

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Faux !

Dans un rapport publié mi- janvier, le WWF estime qu’entre 2004 et 2017, 43 millions d'hectares ont été détruits sur les principaux fronts de déforestation dans le monde. Cette superficie est équivalente aux deux tiers de la surface de la France. L’Amérique latine, l’Afrique et l’Asie-Pacifique concentrent à elles seules 52 % de la déforestation tropicale. Les forêts restantes n’en sont pas moins fragilisées. Selon l'ONG, 45 % des surfaces forestières qui ne sont pas détruites sont aujourd'hui dégradées.

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QUESTION 4

Quel pourcentage des populations de vertébrés sauvages ont disparu en cinquante ans ?

92 %

68 %

76 %

Vrai !

Depuis 1970, le rapport Planète vivante du WWF, publié tous les deux ans pour suivre l'état de nos écosystèmes, a calculé que 68 % des populations de vertébrés sauvages (poissons, mammifères, oiseaux, amphibiens et reptiles) ont disparu. Et sur les huit millions d'espèces végétales et animales présentes sur Terre, près d'un million pourraient disparaître dans les prochaines décennies selon l'ONU.

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Faux !

Depuis 1970, le rapport Planète vivante du WWF, publié tous les deux ans pour suivre l'état de nos écosystèmes, a calculé que 68 % des populations de vertébrés sauvages (poissons, mammifères, oiseaux, amphibiens et reptiles) ont disparu. Et sur les huit millions d'espèces végétales et animales présentes sur Terre, près d'un million pourraient disparaître dans les prochaines décennies selon l'ONU.

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QUESTION 5

Lequel de ces trois animaux est-il le plus en danger ?

Le dauphin de l'Orénoque

Le panda géant

Le bison d'Europe

Vrai !

Le dauphin de l’Orénoque est le plus menacé des trois, classé dans la catégorie « en danger » sur la liste rouge de l’Union internationale pour la conservation de la nature (UICN). Le panda géant se trouve dans la catégorie « vulnérable » tandis que le bison d’Europe, qui se porte mieux, passe dans la catégorie « quasi-menacé ». Au total, 128 918 espèces ont été évaluées à ce jour, dont plus d’un quart sont menacées d’extinction. La perte d’espèces est maintenant entre 100 et 10 000 fois plus rapide que le taux d’extinction naturel.

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Le dauphin de l’Orénoque est le plus menacé des trois, classé dans la catégorie « en danger » sur la liste rouge de l’Union internationale pour la conservation de la nature (UICN). Le panda géant se trouve dans la catégorie « vulnérable » tandis que le bison d’Europe, qui se porte mieux, passe dans la catégorie « quasi-menacé ». Au total, 128 918 espèces ont été évaluées à ce jour, dont plus d’un quart sont menacées d’extinction. La perte d’espèces est maintenant entre 100 et 10 000 fois plus rapide que le taux d’extinction naturel.

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QUESTION 6

Quelle est la principale cause de la perte de biodiversité ?

L'exploitation des ressources fossiles

L'alimentation

Le changement climatique

Vrai !

Le régime alimentaire occidental, de plus en plus globalisé, en occasionnant des changements d’utilisation des sols et une surpêche, est la première cause de perte de biodiversité dans le monde, selon l’IPBES, la Plateforme intergouvernementale pour la biodiversité. Depuis 1970, il y a eu une augmentation de 300 % de la production agricole. Celle-ci représente un tiers des surfaces émergées quand plus de 55 % de la zone océanique est couverte par la pêche industrielle.

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Le régime alimentaire occidental, de plus en plus globalisé, en occasionnant des changements d’utilisation des sols et une surpêche, est la première cause de perte de biodiversité dans le monde, selon l’IPBES, la Plateforme intergouvernementale pour la biodiversité. Depuis 1970, il y a eu une augmentation de 300 % de la production agricole. Celle-ci représente un tiers des surfaces émergées quand plus de 55 % de la zone océanique est couverte par la pêche industrielle.

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QUESTIoN 7

En France, quelle est la part d’aires protégées marines ?

42 %

12 %

23,5 %

Vrai !

Les aires protégées marines recouvrent 23,5 % du territoire français, tandis que les aires protégées terrestres représentent 29,5 % du territoire. La France vise à préserver 30 % du territoire marin et terrestre dès 2022, dont 10 % sous protection forte. Aujourd’hui, seul 1,6 % de l'espace maritime français bénéficie d'un statut de protection forte. 80 % de cette protection forte est concentrée dans les terres australes et antarctiques françaises contre seulement 0,1 % en Méditerranée, là où les pressions sont les plus fortes.

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Faux !

Les aires protégées marines recouvrent 23,5 % du territoire français, tandis que les aires protégées terrestres représentent 29,5 % du territoire. La France vise à préserver 30 % du territoire marin et terrestre dès 2022, dont 10 % sous protection forte. Aujourd’hui, seul 1,6 % de l'espace maritime français bénéficie d'un statut de protection forte. 80 % de cette protection forte est concentrée dans les terres australes et antarctiques françaises contre seulement 0,1 % en Méditerranée, là où les pressions sont les plus fortes.

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QUESTION 8

Quel est le coût lié à la perte de biodiversité à l’échelle de la planète chaque année ?

268 milliards de $

479 milliards de $

140 milliards de $

Vrai !

Le WWF estime le coût économique du déclin de la nature dans 140 pays à 479 milliards de dollars par an jusqu’en 2050, soit près de 15 000 milliards de dollars au total. Cela reviendrait à effacer les PIB cumulés du Royaume-Uni, de la France, de l'Inde et du Brésil. La France arrive à la dixième place des pays les plus touchés avec une perte de 8,4 milliards de dollars par an, dont 5 milliards dus à l’érosion des côtes et à la perte de ressources halieutiques.

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Le WWF estime le coût économique du déclin de la nature dans 140 pays à 479 milliards de dollars par an jusqu’en 2050, soit près de 15 000 milliards de dollars au total. Cela reviendrait à effacer les PIB cumulés du Royaume-Uni, de la France, de l'Inde et du Brésil. La France arrive à la dixième place des pays les plus touchés avec une perte de 8,4 milliards de dollars par an, dont 5 milliards dus à l’érosion des côtes et à la perte de ressources halieutiques.

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QUESTION 9

Selon vous, lequel de ces animaux perçoit le plus de fonds européens dédiés à la biodiversité ?

Le papillon de jour

L'ours brun

Le saumon d'Atlantique

Vrai !

Selon une étude, publiée en décembre dernier dans la revue Proceedings of the Royal société, c’est l’ours brun d’Europe qui arrive numéro un, alors qu’il n’est pas classé parmi les espèces les plus en danger. Les chercheurs dénoncent un biais lié à la popularité des animaux. Entre 1992 et 2018, la protection des vertébrés (mammifères, oiseaux, reptiles ou poissons) a ainsi mobilisé 970 millions d'euros de la part du programme européen LIFE, contre 150 millions pour les invertébrés, comme les insectes, les araignées ou les crustacés. Pourtant, le rythme d'extinction des insectes est huit fois supérieur à celui des mammifères.

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Faux !

Selon une étude, publiée en décembre dernier dans la revue Proceedings of the Royal société, c’est l’ours brun d’Europe qui arrive numéro un, alors qu’il n’est pas classé parmi les espèces les plus en danger. Les chercheurs dénoncent un biais lié à la popularité des animaux. Entre 1992 et 2018, la protection des vertébrés (mammifères, oiseaux, reptiles ou poissons) a ainsi mobilisé 970 millions d'euros de la part du programme européen LIFE, contre 150 millions pour les invertébrés, comme les insectes, les araignées ou les crustacés. Pourtant, le rythme d'extinction des insectes est huit fois supérieur à celui des mammifères.

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QUESTIoN 10

Pourquoi la perte de biodiversité est-elle invoquée dans l’émergence de zoonoses telles que le Covid-19 ?

La perte de biodiversité nous pousse à consommer plus de viande de brousse

La perte de biodiversité n’a rien à voir dans l’émergence des zoonoses

La perte d’habitats naturels accroît les interactions entre animaux sauvages, animaux domestiques et humains

Vrai !

Pour la Fondation pour la recherche sur la biodiversité (FRB), il existe un consensus au sein de la communauté scientifique sur le constat que la perte de biodiversité augmente le risque de développer des zoonoses, ces maladies qui se transmettent de l’animal à l’Homme, telles que le Covid-19. Parmi les causes, les experts pointent la perte des habitats naturels des animaux sauvages liée à la déforestation, mais aussi l’urbanisation galopante, le développement de l’élevage intensif ou encore le réchauffement climatique. Tous ces phénomènes augmentent les interactions entre animaux sauvages, animaux domestiques et humains. En outre, une faible diversité biologique entraîne une moindre résilience face aux agents infectieux.

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Faux !

Pour la Fondation pour la recherche sur la biodiversité (FRB), il existe un consensus au sein de la communauté scientifique sur le constat que la perte de biodiversité augmente le risque de développer des zoonoses, ces maladies qui se transmettent de l’animal à l’Homme, telles que le Covid-19. Parmi les causes, les experts pointent la perte des habitats naturels des animaux sauvages liée à la déforestation, mais aussi l’urbanisation galopante, le développement de l’élevage intensif ou encore le réchauffement climatique. Tous ces phénomènes augmentent les interactions entre animaux sauvages, animaux domestiques et humains. En outre, une faible diversité biologique entraîne une moindre résilience face aux agents infectieux.

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RESULTATS

Moins de 2 bonnes réponses

Plus de 8 bonnes réponses

3 à 5 bonnes réponses

6 à 8 bonnes réponses

De bonnes bases !

Belle perf, car il y avait des questions difficiles!

Un stage intensif est nécessaire ! Mais rien n'est perdu, les replays de Thalassa et Ushuaia sont faits pour toi !

Bravo tu es quasi incollable sur la biodiversité (ou alors tu as triché ...) ! Greta Thunberg n'a quà bien se tenir

Si tu veux améliorer ta connaissance de ce qui t'entoure, découvre la nature pas à pas avec Ecobalade