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A la découverte de NEUVY EN SULLIAS
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A la découverte de NEUVY EN SULLIAS

Histoire

Seigneuries

Eglise

Village

Trésor

Cette ancienne cité gallo-romaine était connue sous le nom de Noviacum, signifiant ''nouveau bourg''.

Sommaire

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Neuvy est à cheval sur deux régions naturelles : le Val de Loire sur 1/5e et la Sologne sur 4/5e de son territoire, s'étirant sur 10 km du nord au sud et ne faisant que 4 km de large. La commune était située sur l'une des deux voies antiques d'Orléans à Sancerre. Le village est également classé à titre de ''paysage culturel'' au patrimoine mondial de l'UNESCO et le sentier historique de la Vallée des Rois (reliant le château de Gien à celui de Chambord) traverse la commune. Lors de fouilles menées à l'Aulne, les chercheurs ont pu mettre en évidence plusieurs siècles d'occupation : l'époque du bronze final, celle du fer et l'époque gallo-romaine. Neuvy est riche en histoire.

Histoire

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En mai 1861, dans une carrière au Mothois, des ouvriers ont découvert 33 statues faites en bronze datant de l'époque gallo-romaine (-121 à 476), une quarantaine de pièces de bronzes celtes et gallo-romaines, 18 sarcophages et une vingtaine de fosses alignées d'époque mérovingienne (5e siècle au milieu du 8e siècle). Mais le ''trésor'' est l'emblématique cheval, appartenant à la période de transition entre la fin de l'époque gauloise et le début de l'époque gallo-romaine, le cheval a été réalisé à partir de la technique de la fonte dite du moulage à la cire perdue. Il est l'un des plus beaux bronzes de la Gaule romaine dédié au dieu gaulois Rodiobo (ou Rudiobus), c'est vraiment la pièce maîtresse du trésor. Pour en savoir plus :

Trésor

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Parmi les figurines trouvées en même temps, se trouvent 3 statuettes de divinités : - Esculape, dieu gréco-romain de la médecine - Hercule enfant - Mars, dieu de la guerre. Plusieurs autres objets (la trompe et les 4 enseignes) proviennent d'un contexte guerrier en rapport avec le dieu Rudiobus. Il y a aussi l'élégante danseuse ou encore le sanglier grandeur nature. En raison de leurs caractères consacrés, les objets du trésor n'ont pas été détruits mais soigneusement disposés dans une cache construite en briques, planches et terre. Mantellier, directeur du musée d'Orléans, prend possession de l'ensemble du trésor pour 7 200 Fr en juin 1862 et peut le présenter au public. Il est aujourd'hui toujours exposé au musée d'archéologie d'Orléans.

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Il s'agit du plus ancien château de la commune construit sur une motte entourée d'eau, sur 1 200 ha. Le portail et le corps de logis central datent du 17e, flanqué de 2 pavillons du 19e (au nord et au sud), les bâtiments en retour sont du 18e et 19e siècle ainsi que le pigeonnier à gauche.

Château de la Brosse (17e siècle)

Le domaine est de nouveau partagé : la Brosse (71 ha) revient à Gilbert Warnier et la Chaise (118 ha) à son frère Paul.

La société est dissoute à cause du décès d'un de ses membres. Ces mutations de propriétés, à partir des années 1850, engendrent une véritable éclosion de châteaux et de maisons bourgeoises destinés à abriter de nouveaux propriétaires.

1956

1849

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1836

1788

1767

1700

1648

Le château a souvent changé de propriétaires au cours du 19e siècle. L'évènement majeur va se produire en 1836 avec le démantèlement du domaine. Broutin du Pavillon vend à une société composée de 3 familles le château et ses dépendances (119 ha) ainsi que les métairies du Gilloy et des Bruyères (280 ha). Il ne garde que le Grand et le Petit Touffou.

Après son décès, la Brosse reviendra à sa fille Jeanne-Julie Barbé de Luz qui achètera les bois et la métairie du Gilloy.

La terre de la Brosse et ses dépendances seront vendues à Mme du Vivier de la Grange. Le domaine a doublé en 30 ans grâce à son extension avec l'acquisition des fermes de la Guette Brûlée et des Bruyères.

Nicolas de Dinan en est le propriétaire jusqu'à ce que ses héritiers le vendent en 1739 à Joseph Legrand.

La plus ancienne mention d'un seigneur de la Brosse remonte en 1648 : Jean-Baptiste de Prévost. Le château de la Brosse est construit sur le même plan que celui de Beauregard à Viglain : plan en quadrilatère sur une plate-forme mais avec des matériaux différents (briques pour le corps du logis, pans de bois pour les communs). Les vestiges du châtelet d'entrée existent encore.

Touffou

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- Au 17e siècle, Touffou est absorbé par la seigneurie de la Brosse, dont le château est attesté depuis le début du 17e siècle. - La métairie de Touffou retrouvera un certain lustre lorsque Broutin de Pavillon, qui a cédé ses autres propriétés en 1836, y fait construire un pavillon de plaisance, près de l'ancienne métairie, achevée en 1838. - En 1882, Touffou se trouve de nouveau réuni à la Brosse par acquisition de Marie Adolphe Lasneau de Latigny avec le pavillon de plaisance et les fermes dont la toute récente basse-cour. - 10 ans plus tard, sa veuve vend Touffou au propriétaire de Montisambert. - Puis son fils vend à son tour la demeure en 1908 à un horticulteur Ernest Levavasseur. Désormais le nom de Touffou disparaît au profit de la Roseraie.

La maison de maître est acquise par Emile Lambert (pharmacien à Jargeau) ainsi que la ferme et les 120 ha de la propriété : le 1er d'une longue lignée. En effet, en 1934, la famille Lambert est toujours propriétaire mais seulement de 97 ha.

1869

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1853

1842

1781

1719

Fin XVIe siècle

La Mainferme

Les héritiers Fouqueau-Desbois vendent la Mainferme à Léon Frédéric Riballier, marchand tapissier et de meubles à Orléans, marié à Marie Louise Espérance Chouppe, soeur du peintre orléanais Jean Henri Chouppe. Les époux font construire "le Château" ou plutôt le pavillon de plaisance (1860). Ils y vivront avec leur fils Henri, peintre.

Bail à M. Aignan Denis Pommier.

Achat du domaine par un notaire royal de Jargeau : Me Jérôme Vrain Desbois. Il n'existe plus que 2 locatures, celle du Bois des Hastes a été détruite. La superficie totale est d'un peu plus de 526 arpents (environ 204 ha). Les bêtes appartiennent à un fermier qui les a achetées en 1777.

Achat de la propriété et des dépendances par Pierre Couet, marchand commissionnaire en vins à Orléans. Grosse métairie.Pour en savoir plus :

Ythier de Vernoy (grenetier du grenier à sel de Sully) puis sa veuve Jeanne Gouault en sont les propriétaires.Par héritage, le domaine revient aux Gravet, pendant plus d'un siècle. Durant ce laps de temps, le domaine s'est agrandi avec l'acquisition de la Grande et de la Petite Noue au début du 17e siècle.

L'origine du nom vient de notarial ou qui signe de main ferme, c'est l'une des seigneuries les plus anciennes de Neuvy. La Mainferme est composée de plusieurs corps de bâtiments servant à l'exploitation de la métairie avec 3 locatures annexées.

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Ce chêne, vieux d'environ 450 ans, est partiellement tombé dans la nuit du 2 au 3 novembre 2020. Situé au lieu-dit "La Main Ferme", il appartient depuis toujours aux descendants de la même famille.Son effondrement est dû à un champignon. Cet arbre représentait le symbole de la famille depuis des générations, à tel point que Dominique Girard, l'actuel propriétaire, avait inventé une légende pour rendre hommage au colosse. Pour connaître la légende : Pour connaître une anectode :

Gros chêne du XVIIe siècle

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La Guette Fleur, avant de devenir propriété de l'Hôtel-Dieu de Jargeau au milieu du 18e siècle, Marie-Anne Cahouet avait fait l'acquisition de La Guette Fleur en 1712 puis la métairie a appartenu à la famille Chartier du début 17e au début 18e siècle. La Vacherie est rachetée par l'abbaye de St Benoît en 1671. Cette grosse métairie située au sud, consiste en une maison à demeure, granges, étables, bergeries, toits à vaches et à porcs, 80 arpents de terre, près, pâtures et bois. Elle est vendue à Marie Poullin et à son fils en 1774 pour 12 ans. La Vacherie et ses alentours, a conservé ses 350 ha. La Tuilerie de la Vacherie a été construite pour le chantier du château du Luet, dont elle dépend depuis le début du 19e. Elle atteint son maximum en 1836 avec Louis Beaudouin, son fils et 4 ouvriers ainsi qu'un charretier. La tuilerie se maintient jusqu'à la fin du 19e (1886 - 1891) mais n'existe plus depuis 1902. Aucune brique marquée à son nom n'a pu être retrouvée.

Autres métairies

Le bois de Bouan et Fort Envié, propriété de la famille Franger depuis le début du 17e siècle, sont acquis par Balthazar Phélypeaux en 1692. Les deux domaines resteront dans la même famille jusqu'en 1793, date à laquelle, le Bois de Bouan devient la propriété de Mme Marie Adelaïde de Bourbon Penthièvre qui l'a hérité de son père décédé en 1793. La métairie, mise sous séquestre comme domaine national, sera reprise par Antoine Mesnier, son acquéreur. En 1772, Agnan Pommier épouse la veuve du précédent métayer du Bois de Bouan. Il sera le premier de la lignée des Pommier qui marqueront l'histoire du village jusqu'à nos jours. Pour en savoir plus :

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Le château du Gillois a été construit en 3 étapes : en 1837 et 1854 près de la métairie par Louis Bernard Hallier qui en était le propriétaire. Et une extension entre 1872 et 1875 par Michel Edouard Hazard, son gendre, maire de Neuvy. Cet élégant château à cinq travées est construit sur un soubassement de pierres en petit appareil. Sur la façade principale un balcon à garde-corps de pierre surmonte la porte d'entrée. L'étage des combles est égayé de hautes lucarnes à frontons coiffées d'un toit à quatre rampants.

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1811

Début XIXe siècle

Entre 1793 et 1795

Après 1771

XIe siècle

Eglise

Le curé Edouard Dennery tire de nouveau la sonnette d'alarme pour les travaux nécessaires à effectuer. Le conseil municipal décide d'entreprendre un certain nombre de travaux en les répartissant sur des années afin d'équilibrer le budget (remplacement de pierres, réfection de la couverture en ardoise à certains endroits).

L'église est dans un mauvais état. En 1810, réparation de la couverture de la nef et du porche.

L'exercice du culte fut interrompu à cause de la Révolution.

Les paroisses qui relevaient de St Benoît furent attribuées à l'évêque d'Orléans.

Le moine Arnault fit élevé une église paroissiale en pierre. Dédiée à Saint Jean-Baptiste, elle faisait partie du diocèse d'Orléans.

Charles le Chauve, roi de France (843 - 877) avait attribué aux moines bénédictins les domaines de Guilly et Neuvy pour subvenir à leurs besoins.Gauzlin (1004 - 1030), Abbé de Fleury et Archevêque de Bourges qui rendit la prospérité à l'abbaye, racheta l'église de Neuvy qui était tombée aux mains des laïcs suite aux invasions normandes.

L'horloge a été offerte par les enfants de Paul Hazard, selon sa volonté (il était conseiller municipal et propriétaire du Gillois).En 1982, remplacement du coq en haut de la flèche et une partie de la couverture a été refaite avec 2 600 ardoises.

1921

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1897

27 septembre 1868

Entre 1861 et 1868

1857

1848

Le conseil municipal vote les conditions financières pour reconstruire le clocher. En mars 1899, auront lieu les travaux avec la démolition du proche, de la flèche et de la cloison du pignon Ouest de la nef. La nouvelle tour carrée, placée dans l'axe de la nef, sert de porche et est haute de 19 mètres.Pour en savoir plus :

L'église est bénite solennellement. Le lendemain l'autel a été consacré et les reliques des saints Félix, Aimé et Désiré ont été déposés. En 1869, le chemin de croix est installé ainsi que 4 vitraux qui proviennent de l'atelier Lobin de Tours (St Jean-Baptiste / la sainte Vierge / St Jean l'Evangéliste / Le Bon pasteur).

La reconstruction de l'église finit par s'imposer à cause de sa vétusté. Elle subira un agrandissement avec une superficie passant de 237 m² à 386 m².Plus de détail :

Le curé Chambolle écrit : "L'église est dans un tel état de dégradation qu'elle a besoin d'être refaite à neuf."

Le 17 septembre, a eu lieu la bénédiction de 2 cloches nouvellement fondues. La 1ère pesant 395 kg a été nommée Thérèse Laurence (avec une frise composée de feuilles et de grappes de vigne). La seconde pèse 271 kg a été nommée Anne Marie.

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Le cimetière entourant l'église était devenu trop petit à cause de l'extension de l'église et de l'augmentation de la population. Finalement, ce n'est qu'en 1939 qu'un nouveau cimetière verra le jour. La croix monumentale place du bourg (en fer forgé, socle en pierre de taille) a été déplacé au cimetière, suite à un incident.

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La Révolution n'a pas bouleversé fondamentalement la structure du village : le seigneur de la Brosse, Jean Michel Barbé de Luz continue d'être le maire; seul le curé Jean Marchand sera victime de cette période en refusant de prêter serment. Il fut déporté mais retrouva sa paroisse en 1802 avant de mourir en 1806. Au début du 20e siècle, la situation des terres n'a guère évolué. En 1834, moins de 20% des terres appartiennent aux habitants de Neuvy. En effet, plus de 1 500 ha (soit 43% du territoire) incombent à 3 grands propriétaires et 1 615 ha (soit les 2/3 restant) reviennent à des propriétaires plus modestes comme des magistrats, avocats, etc. Les artisans et commerçants, entre 1800 et 1950, augmentent peu et certains disparaissent avant 1900 comme les tisserands, les cercliers, les tuiliers. Pour en savoir plus :

Village

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Elle a été construite entre 1838 et 1855 mais il n'existe pas d'archives précises. Ce qui est sûr, est qu'en juin 1861, le trésor est d'abord déposé dans la "maison commune" avant d'être confié à l'instituteur pour plus de sûreté.La mairie est un bâtiment modeste dont la façade à 3 pans donne sur la place et s'orne d'un fronton au-dessus de la porte. Le 1er maire de Neuvy est Jean Michel Barbé de Luz (propriétaire de la Brosse) jusqu'en 1822. 2 catégories de maires se partagent le pouvoir municipal : les propriétaires châtelains au 19e et les laboureurs au 19e - 20e siècle. Inauguration de la nouvelle mairie (la 3e de l'histoire) le 2 juillet 2010. Elle montre à la fois le souci de préserver le patrimoine en réhabilitant l'ancien presbytère et la volonté de se tourner vers l'avenir en l'agrémentant d'un préau futuriste.

Mairie

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A partir de 1791, les autorités nationales affirment la nécessité d'une école primaire dans chaque commune. Cela reste néant car l'argument est le suivant : "Les enfants sont la majeure partie de l'année employés aux travaux indispensables de l'agriculture. L'hiver, saison où les travaux suspendus permettent le plus de fréquenter les écoles, les communications entre les communes sont impossibles à cause du mauvais état des chemins."Ainsi Neuvy n'a pas d'école sous l'Ancien Régime ni dans les premières décennies du 19e siècle. Mais le vote de la loi Guizot en 1833, fait obligation à toutes les communes d'ouvrir une "maison d'école" dans un délai de 6 ans. La difficulté est de trouver une maison à louer pour faire l'école mais le conseil municipal s'y penche dès 1836. Pour en savoir plus :

Ecole

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Neuvy avait 6 moulins à vent (moulin pivot ou "chandelier" comme celui de Guilly) près du bourg et 2 moulins à eau (au château de la Brosse et au Petit Touffou) au 19e siècle et seulement 3 moulins à vent au début du 20e siècle. Le meunier achète les différentes céréales aux paysans des alentours : blé ou froment, seigle, avoine, orge, méteil, mouture. Soit le meunier fournit de la farine, du son, etc. ; soit il transforme les produits qu'on lui apporte (il moud le blé, le seigle, etc.).

Moulins

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Cette rivière prend sa source à Sully, traverse d'Est en Ouest la commune de Neuvy avant de se diriger vers Tigy, Vienne en Val, etc. pour finir à Olivet, au parc floral. Son parcours dans la commune était de 2 648 m mais le cours de la rivière a été plusieurs fois modifié. Le problème du curage est récurrent et fait l'objet de nombreuses délibérations municipales. Le Conseil Municipal obtient du préfet la construction d'un barrage de 15 cm de haut, à l'entrée du bras principal du Leu pour maintenir un minimum d'eau en été dans le bras secondaire où sont construits le lavoir public (au Gué de la Forge) et des lavoirs particuliers. Le lavoir public a été aménagé en 1908 mais en 1935, il a été décidé de le déduire dû à son état de délabrement et le peu d'utilisation. Les matériaux récupérés serviront à la construction du préau dans la cour de l'école des garçons.

Le Leu

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En 2014, une stèle commémorative est inaugurée. Elle rend hommage à l'équipage américain suite au crash de l'avion B17 mitraillé par l'aviation allemande. La forteresse volante américaine B17 a été abattue au-dessus de Neuvy le dimanche 30 avril 1944 vers 10h, près de la Vacherie. Un avion perdant de la vitesse a soudain décroché. A mi-descente, la carlingue s'est brisée et à ensuite disparue dans les bois. Le co-pilote (Joseph B. Regan) a sauté de l'appareil avant le crash en parachute. Il sera le seul survivant.

Stèle commémorative JF Regan

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Le problème des carrières d'extraction de sable et de jard se pose à plusieurs reprises : difficulté de trouver une carrière de jard car celles qui existaient sont épuisées. En 1905, le conseil municipal demande l'expropriation d'un terrain appartenant à Ambroise Deschamps pour ouvrir la carrière dite "de gravelage" au Mothois, près du lieu de découverte du Trésor de Neuvy. En 1924, le conseil décide d'acquérir un terrain situé au Climat du Mont, pour en faire la carrière municipale. Depuis 1983, la Ligérienne Granulats est autorisée à exploiter une carrière au lieu-dit les Avant-Gardes. Le choix de ce site dans le lit majeur de la Loire anticipait la décision ministérielle d'interdire l'extraction de sable dans le lit mineur de la Loire en 1993.

Carrières

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Avant-guerre, la ferme de l'Orme était exploitée par Octave Ducloux puis, dans les années 1958 - 1960, devient Domaine de l'Orme, toujours dans le conditionnement des oeufs.Actuellement, la société produit 200 millions d'oeufs par an et compte 53 emplois permanents. Le domaine de l'Orme applique les nouvelles normes européennes qui améliorent essentiellement les conditions de vie des poules pondeuses.

Domaine de l'Orme