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Aurélie Boulom

Created on March 25, 2021

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Mythes & Légendes

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Mercredi 25 mars 2020

À plus ! 😁

J'espère que le prof va me mettre une bonne note, j'ai travaillé dur sur ce projet 😅

Je croise les doigts pour toi !

Aurélie

Messages

Contact

17 h 42 -

Dans un couloir de l’Université Paris Diderot

À la sortie des cours, une jeune étudiante allumait son portable.

Son amie l’attendait impatiemment à l’entrée de la faculté et le lui faisait comprendre de manière...

Tu fous quoi ? Je vais rater mon bus !

légèrement pressante.

Pars sans moi, je dois aller à la bibliothèque pour réviser.

La jeune étudiante lui répondait très simplement.

Ah oui ! Ton partiel en Histoire et Civilisations en Asie ?

Son amie se rappelait soudainement.

Révise bien, à demain !

Pour passer à la suite, envoyez le message

Merci, à demain !

À vous de jouer !

Objectif : Trouvez la bibliothèque !

Dissertation "Agrforesterie"

L’agroforesterie est un système qui associe la plantation d’arbres et l’activité agricole. Ce système est fortement encouragé aujourd’hui par le GIEC (groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat) pour résoudre le problème du changement climatique. Effectivement, la réinsertion d’arbres sur des parcelles agricoles favorise le développement et la protection de la biodiversité. Pour faire un parallèle avec l’actualité, les épidémies ont tendance à se développer si la biodiversité est bouleversée. Les maladies infectieuses apparaissent la plupart du temps dans l’environnement d’un animal sauvage. La transmission d’une maladie entre un animal sauvage et un animal domestique constitue donc un risque pour la contamination de l’espèce humaine. Le Covid-19 représente bien cette idée : si l’animal porteur du virus n’a pas encore été officiellement découvert, Serge Morand (chercheur au CNRS-CIRAD) pense que les chauves-souris sont à l’origine de la propagation de l’épidémie.

  • Finir l'exposé en anglais
  • Commencer les révisions pour le partiel " Anthropologie de la mort et du deuil "
  • Envoyer la dissert au prof

Consulte mon livre quand tu veux, et bonne chance pour ton examen !

Tu as devant toi mon livre sur les mythes et légendes en Asie.

Ça ne te dérange pas que je t'accompagne dans le livre ?

Il est À MOI. Mais je veux bien te le prêter.

En échange, tu devras donner ton âme à mon ami le Diable.

Ça me semble être un bon compromis.

...

Bienvenue âme mortelle.

OK ! On fait comme ça alors !

Je plaisante, je PLAISANTE !

Lire

Chapitre 4 Mythes et Légendes d'Asie

Ce chapitre répertorie quelques mythes et légendes communes que l'on peut retrouver sur le continent asiatique. En voici une liste non-exhaustive :

孫悟空

водяной

九尾狐

狐狸精

桃太郎

구미호

Gesar Khan

ผีตายโหง

เห้งเจีย

леший

손오공

河童

सनातन धर्म

Lelaki harimau

Алпомиш

凤凰

56

57

Son Wukong

Sun Wukong (chinois simplifié : 孙悟空 ; chinois traditionnel : 孫悟空 ; pinyin : Sūn Wùkōng) traduit en français par le Roi des Singes ou le Roi Singe est l’un des personnages fictifs le plus connue de la littérature classique chinoise. C’est le héros principal du roman de Wu Cheng'en, La Pérégrination vers l'Ouest. Il s’agit du premier disciple de Sanzang, un moine chargé de rapporter en Chine depuis l’Inde les écrits sacrés du Bouddha. Il est accompagné dans son périple de Longwang sanjun (un dragon garde du corps), de Zhu Bajie (un homme à tête de cochon) et de Sha Wujing (un ogre). Sun Wukong est un singe doué de parole, connu pour sa force, sa rapidité, son espièglerie, son passé trouble-fête, mais également pour ses pouvoirs magiques extraordinaires. Au japon il est connu sous le nom de Son Gokū (孫悟空) », en coréen Son Ogong (coréen : 손오공 / 孫悟空), en vietnamien : Tôn Ngộ Không (孫悟空), en thaï : Heng Chia (เห้งเจีย) , en malaisien : Sun Gokong et en indonésien : Sun Go Kong.

Son Wukong en Asie

D’après la légende, le renard à neuf queues serait une créature originaire d’Inde. Cette créature revêt souvent l’apparence d’une femme dites pernicieuses et de mauvais conseil. En Corée, le Gumiho est un renard qui à l’âge de mille ans obtient la capacité de se transformer en humain, souvent en femme, afin de pouvoir séduire et dévorer le coeur des hommes. Malgré l’apparence humaine revêtue par la créature, il reste toujours une élément de son apparence qui rappelle le renard. Il existe aussi plusieurs variantes de ces légendes : une variante japonaise appelée Kyûbi no kitsune. En chinois, cette légende se nomme Jiu wei hu. La femme-renarde (chinois : 狐狸精 ; pinyin : húlíjīng) est une renarde tantôt décrite comme étant bienfaisante, tantôt dangereuse, qui se transforme en jeune fille afin de séduire les héros. C’est un personnage récurrent des contes intitulés Liáozhāi zhìyì. Les zenko (bon renard 善狐) sont associé au dieu japonais Inari (shinto et bouddhisme), se sont les messagers de ce dieu.

Le renard à neuf queues

Le renard à neuf queue en Asie

Momotarô

Momotarô est un héros du folklore japonais. Son personnage est repris dans beaucoup de productions japonaises (films, séries, dessins animés). Ce nom signifie « garçon de pêche ». Tarō est un prénom de garçon japonais très populaire et Momo signifie pêche. Selon la légende datant de l'époque d’Edo, Momotarō est venu sur Terre dans une pêche qui descendait une rivière. Découvert par une vieille femme qui y lavait son linge, cette dernière l'adopta et l'éleva avec son mari. Momotarō leur explique qu'il a été envoyé par les cieux pour être leur fils. Cependant, Momotarō était paresseux et trouvait des excuses pour ne pas travailler. Quand il se décidait à aller chercher « un peu » de bois, il revint avec un arbre. Il attira sur lui l'attention du seigneur qui lui demanda de quitter ses parents pour aller combattre des démons sur l'île d'Onigashima. En chemin, Momotarō rencontre un chien, un singe et un faisan avec lesquels il se lie d'amitié. Ils vaincront les démons et leur chef, Ura.

Momotarô en Asie

Kappa

Le Kappa est un monstre du folklore japonais, présenté comme une tortue anthropomorphique, il est connu pour chercher à attirer les humains ou les animaux dans l'eau, son habitat naturel et les faire obéir à sa volonté. Mesurant la taille d’un enfant, il est représenté avec des cheveux, un trou au milieu du crâne qui stocke l’eau (dont il tire sa puissance) et un bec d’oiseau. Pour prévenir les attaques des kappas, les habitants du nord du Japon avaient pour coutume de jeter des concombres dans les rivières. Une fois rassasiés, ces derniers ne se montraient pas dans les villages. Une autre manière de se débarrasser d’un kappa consiste à être poli et à le saluer (en se courbant). La créature se courbera à son tour et fera renversé l’eau stockée dans son crâne.

Le kappa en Asie

Phi Tai Hong

Phi Tai Hong est un fantôme et esprit vengeur du folklore thaïlandais. L’origine de son histoire provient généralement d'une personne décédée subitement et/ou de manière violente, souvent sans observer les rituels funéraires appropriés. Selon la tradition orale thaïlandaise, les Phi Tai Hong sont très dangereux car ils sont pleins de ressentiment et peuvent facilement tuer des personnes. L'esprit cherchera à se venger de ses meurtriers, ainsi que les personnes proches d'eux. La culture thaïlandaise considère cet esprit mortel comme l’un des fantômes qui hante le plus les maisons et l’un des plus difficiles à exorciser. Les exorcismes peuvent être très compliqués, impliquant des cérémonies religieuses. La figure de Phi Tai Hong est notamment reprise dans la pop culture : nombreuses séries thaïlandaises adoptent cette figure comme élément perturbateur dans les scénarios.

Phi Tai Hong en Asie

Vodianoï

Le Vodianoï est un personnage de la mythologie slave qui vit dans l’eau. Le mot est formé d’après le radical voda « eau » et signifie littéralement « aqueux ». En Russie, c’est un esprit malveillant dont la principale fonction est de noyer les gens et les animaux. Au pluriel, ils représentent les elfes aquatiques, ou les ondins, qui ont la vilaine habitude de se saisir des imprudents qui s’approchent de la berge en les tirant vers le fond, puis de capturer et stocker leurs âmes dans des petits bocaux (à l’exception des pêcheurs qui savent qu’il faut faire une offrande de tabac et des meuniers qui tirent leur subsistance du moulin à eau). Ils ressemblent aux humains mais avec une peau verdâtre et ils ont des nageoires aux pieds. Ils parlent le langage des animaux aquatiques et celui des humains. Certains sont supposés avoir plusieurs centaines d’années. Ils aiment fumer la pipe en méditant, assis au bord de l’eau ou sur des branches proches.

Vodianoï

Liéchi

Le Liéchi est un esprit de la forêt et des arbres dans la mythologie slave. Gardien de la forêt et de ses habitants. Le Liéchi a une apparence humaine, mais il n'a pas d'ombre et a le pouvoir de se faire aussi petit qu'une souris ou aussi grand qu'un arbre. Sa peau est bleue comme son sang, sa barbe et ses cheveux sont en mousse et porte des vêtements en fourrure. Il est capable de se transformer en n'importe quel animal ou n'importe quelle plante de la forêt et peut apparaître à sa guise. Tous les animaux lui obéissent. Le Liéchi aime égarer les voyageurs et les chasseurs dans la forêt. Cependant, il est possible de s'attirer ses faveurs en respectant la forêt. De même, il sera très content si on lui laisse un cadeau sur une souche, par exemple un œuf, en particulier un œuf rouge, ou une tranche de pain saupoudré de sel. Il enlève parfois en bordure de forêt des nouveau-nés ou de jeunes enfants, et même des jeunes femmes. On peut se prémunir contre ses méfaits en faisant le signe de croix, en prononçant une incantation, en retournant ses vêtements (et en mettant son pied droit dans son soulier gauche) ou en rebroussant chemin hors de la forêt.

Liéchi

Le panthéon hindou

Le concept du Principe Suprême (Brahman), équivalent de Dieu, selon le Sanatana Dharma (सनातन धर्म) (ou Tradition primordiale) dont l'Hindouisme classique et l'ancienne tradition védique (Bharata Dharma) sont la forme indienne, a deux aspects principaux : - Le premier est l’aspect absolu, non manifesté et inconditionné (nirguna brahman). Il est le substrat de l’univers. - Le second est son aspect qualifié et conditionné (saguna brahman), principe de la manifestation cosmique. C'est la personnalité divine ou Seigneur (Ishvara). Le Brahman apparaît à ses adorateurs sous la forme qu’ils vénèrent. Selon cette conception, Dieu choisit également de s’incarner parmi les humains selon les nécessités, pour les guider ou pour restaurer un équilibre perdu (dans ce second cas, il ne peut s’agir que d’une incarnation de Vishnu). Une telle incarnation peut être plénière (Purnavatara) ou partielle (Amshavatara), voire une incarnation temporaire de ses pouvoirs à travers un individu (Aveshavatara). Le terme générique utilisé, même en Occident, est "Avatar". Ces formes diverses sont cependant comprises comme étant des facettes de la nature éternelle et non manifestée de la divinité. C’est pourquoi chacune des divinités est vénérée comme "le très haut", Ishvara, le souverain de l’univers, celui qui est au-delà de toutes ses manifestations.

Le panthéon hindou

Alpamych

Alpamych (en ouzbek: Alpomish/Алпомиш, en kazakh: Алпамыс, en russe : Алпамыш, en tatar: Алпамша) est une épopée turcophone, composée en majeure partie entre le XIVe et le XVIIe siècle. Le personnage éponyme d'Alpamych se retrouve dans de nombreux récits de peuples turcophones, de la Bachkirie jusqu'à l'Altaï. L'épopée donne de nombreux détails concrets de la vie des nomades centre-asiatiques : relation privilégiée de l'homme au cheval, prix du cheval, courses de chevaux, tir à l'arc et lutte gréco-romaine pour le mariage. L'épopée se divise en deux parties : le mariage ainsi que la Captivité et le retour. Le mariage raconte l'histoire d'amour chevaleresque d'Alpamych qui réussi à obtenir la main de sa bien aimé Barchine. Dans captivité et retour, le royaume du notre héros est au main de son frère tyrannique, alors qu'Alpamych est retenu prisonnier. Alpamych parvient tant bien que mal à retourner sur son territoire, à le réunifier et à l'administrer sagement.

Alpamych

Le phénix et le dragon

Le fenghuang (chinois simplifié : 凤凰 ; pinyin : fènghuáng) ou phénix chinois est un oiseau mythique qui règne sur tous les autres oiseaux. On dit qu'il est le plus doux et le plus sage des oiseaux. Les mâles sont appelés feng (鳳) et les femelles huang (凰). Cette distinction des sexes est parfois éclipsée pour ne former qu'une seule entité féminine. En effet cet oiseau est souvent associé au dragon (dont il est parfois considéré comme le parent) qui est son pendant masculin. Il était d'ailleurs l'emblème personnel de l'impératrice (celui de l'empereur étant le dragon), et apparaissait pour annoncer, comme le qilin, la naissance d'un grand philosophe.

Le dragon oriental est l'un des deux grands types de dragons et s'oppose au dragon européen du fait de son apparence physique particulière longue et sans ailes et de ce qu'il symbolise. Il représente les forces de la nature et dès lors doit ê tre considéré avec précaution car, comme la nature, il peut être dangereux. À travers les cultures orientales se retrouve la symbolique du dragon en tant que représentant de l'empereur ou du représentant du pouvoir. Il existe dans l'astrologie chinoise un signe du dragon, que l'on retrouve de fait, les mêmes années, dans l'astrologie coréenne, japonaise, mongole, tibétaine et vietnamienne.

Monstre

Gesar khan

Il y a fort longtemps, sous forme humaine, la marmotte aurait tué six des sept soleils qui desséchaient et brulaient la terre, provoquant la famine et amenant la misère à tous les êtres. Afin d'échapper à une flèche, le septième soleil se mit à tourner autour de la terre, ce qui expliquait qu'il se couche et qu'il se lève et qu'obscurité et lumière alternent. Tous les Mongols savaient que le corps de la marmotte comportait de la chair humaine, un mets dont la consommation était taboue. En 1577, Altan Khan promulgua le premier édit contre les pratiques chamaniques. L'épopée de Gesar Khan conserva la mémoire de nombreuses divinités chamaniques antérieures. On disait que Gesar Khan était né d'un œuf blanc marqué de trois taches en forme d'yeux qui sortirent de la couronne de la tête de sa mère. Sa naissance rappelle les mythes chamaniques des origines. Il arriva sur terre entouré d'excellents présages, avec trois yeux, mais sa mère terrifiée lui en arracha un en le mettant au monde.

Gesar khan

Les hommes-tigres

Il faut savoir qu’en Malaisie les tigres sont des êtres humains qui prennent la forme de l’animal pour atteindre leurs fins. On les appelle les hommes-tigres. Ils ont leurs propres villages et la charpente de leur maison est faite d'ossements humains, les murs tapissés avec de la peau humaine et le toit couvert avec des chevelures de femmes. Un jour, on a demandé à des Malais comment ils pouvaient prouver que l'homme devenait réellement un tigre. Ils ont cité le cas d'un villageois qui avait des dents aurifiées, plombées et recouvertes avec de l’or, et qui avait été tué accidentellement pendant qu'il était sous sa forme de tigre : on a découvert, dans la gueule du félin, la même aurification, les mêmes plombages, que le villageois avait. En Malaisie, on ne choisit pas d’être homme-tigre, on l’est de naissance ou par contagion. Un enfant le devient en mangeant les restes du riz de son père qui est loup-garou... Tout ce qui a été au contact de la salive d'un homme-tigre transmet la contagion. On peut aussi être contaminé en appuyant la tête contre un morceau de bois où un loup-garou a posé la sienne. Pendant que le homme-tigre ou autre "loup-garou" dort, son "intérieur", son démon quitte son corps, et rôde sous la forme d'un tigre, d’un singe ou même d'un crocodile en quête d'une proie...

Les hommes tigres

Tanuki

Le tanuki est souvent considéré comme symbole de bonne fortune dans la folfklore japonais. Le tanuki est connu pour être un maître du déguisement capable de changer de forme à volonté, tout comme les kistune (renards mythologiques). Dans certaines traditions, il leur est nécessaire de placer une feuille sur leur tête pour pouvoir se transformer. Son apparence rebondie et ses gros testicules sont des signes de prospérité et de réussite. L'image du tanuki se serait développée durant la période Edo. Les céramistes de Shigaraki réalisent des statues de terre cuite, reprenant les formes mythiques de la créature : chapeau en paille de riz et gourde de saké, bedaine et testicules imposants, bipédie. Une des particularités du tanuki dans la mythologie japonaise et ce, dès les premières représentations, est d'avoir des testicules imposants, signes de prospérité et de réussite (les chiens viverrins ont en effet un scrotum fort développé dû à la forte compétition au sein des populations). Cela a inspiré de nombreuses représentations humoristiques. On y voit les tanuki avec leurs testicules par-dessus l'épaule comme des baluchons de voyageurs, s'en servir comme parapluie, filet de pêche, moyen de défense ou encore les utiliser comme des tambours. Le son produit par ce tambourinage se transcrit par l'onomatopée "ponpoko".

Tanuki