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Portrait chinois
pagnot.hugo
Created on February 20, 2021
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Transcript
Effroyables jardins - Michel Quint
1. Si c'était un plat?
« Des tartines avec du pâté et des cornichons dessus peut-être ceux de la cave ». p.53 Ce sont les tartines avec lesquelles jongle le soldat allemand et qu’il fait tomber exprès. C’est le dernier repas des condamnés. C’est drôle qu’à ce moment tragique, il pense que ce sont les cornichons de la cave où ils ont été capturés.
2. Si c'était une ville?
Ce pourrait être n’importe quelle petite ville de province. Dans le roman il y peu de référence à part des villes du Nord de la France : Douai (c’est la ville du transfo et la ville de Nicole) et Lille (la gare où finalement meurt le père)
3. Si c'était une chanson ?
3- J’imagine une musette et j’ai choisi la foule d’Edith Piaf qui me fait penser à cette époque et l’oncle évoque cette musique quand il parle du sabotage : « on l’a fait aérien façon musette, doigts de fée sur le piano à bretelles et allegretto. » p. 36
4. Si c'était un vêtement ?
Ce serait un chapeau. Le fils reconnait la valeur de son père : « avec sa perruque carotte, mon père a vécu chapeau bas. Dans les deux sens de l’expression puisqu’il n’a jamais porté de couvre chef » p.76 Quand on dit chapeau à quelqu'un on veut dire: bravo. je pense que le roman est un hommage au père et aux autres résistants. Et même, aux allemands comme Bernard ayant montré leur dignité.
5. Si c'était un chiffre ?
Ce serait 30. 30 mètres carrés. Le père avait calculé comme il est instituteur le diamètre du ravin où ils sont prisonniers. p.45. « résultat trente mètres carrés ». C'est une ironie puisqu' il pense que c'est la taille de leur tombe et qu'ils vont la partager à quatre.
6. Si c'était une devise ?
Ce serait la phrase du soldat allemand : « à l’hôtel des courants d’air, le déjeuner c’est du vent ». p.56. c'est sa réponse quand le père, comme une blague, demande qu'est ce qu'on déjeune? Pour moi l'humour rend le monde meilleur et la vie plus supportable.
7. Si c'était une couleur ?
Ce ne serait pas une mais toutes les couleurs de l’arc en ciel, après l’orage, car le livre montre que les choses ne sont pas blanches ou noires et que le gris est trop triste et ne donne pas d’espoir. Peut-être aussi le rouge: de la grenade, du sang de la guerre, du nez du clown, et de la honte du fils pour son père clown.
8. Si c'était un adjectif ?
Ce serait « tragi-comique » car dans les pires moments du livre, il y encore de l’espoir et du comique. Comme nous le montre le soldat allemand qui les fait rire sachant leur mort proches. En plus le narrateur reconnait : "qu'avant de savoir que les clowns étaient destinés à faire, les clowns m'ont déclenché le chagrin." p15
9- Si c’était un objet ?
Cela serait la valise du père dans laquelle il range les affaires de clown et que le narrateur emporte quand lui aussi veut faire le clown de son mieux et perpétuer ce qu’a fait son père. « ta valise je l’ai papa » p.77
10. Si c'était une odeur ?
L’odeur des roses du jardin des grands-parents dont on en parle souvent dans le roman ; mais aussi l’odeur de brûlé du transfo saboté par le père et l’oncle.
11. Si c'était un bruit ?
Le bruit mélangé des pleurs et du rire car tout au long du roman se mélange les événements tragiques et drôles. Par exemple Bernard le soldat qui essaye de faire rire les quatres prisonniers avant leurs morts. Les prisonniers pleurent de rire et de tristesse en même temps..
12.Si le héros était un défaut ?
Pour moi il y a cinq héros et un narrateur : le père, l’oncle Gaston, le soldat Bernhard, l'homme qui travaille au transfo et sa femme et qui se dénoncent pour sauver les prisonniers. J’ai choisi le père du narrateur. S’il faut trouver un défaut ce serait le fait d’être silencieux. Il n’avoue jamais pourquoi il a décidé d’être clown. Il n’avoue jamais avoir fait le sabotage (il se sent responsable du sort du travailleur?), et ce n’est pas non plus lui qui raconte la vérité à son fils.
13. Si le héros était une qualité ?
La reconnaissance. En effet, il est reconnaissant au soldat allemand et veut, se souvenir de ce qu’il a fait, faire plaisir aux autres et rendre hommage à cet homme capable de faire rire même dans les moments dramatiques.
14- Si le héros était un personnage de BD ou de dessin animé ?
Ce serait certainement le dessin animé Bozo le clown, car comme le père, Bozo désire rendre les gens heureux en les faisant rire. Une des phrases de la musique du génerique du dessin animée rappelle la devise du père La vie est belle, les enfants ! Il faut jamais pleurer. Il faut toujours rire
15- Si le héros était un fruit ou une fleur ?
Il serait une grenade, elle apparait dans la citation de l’extrait du poème d’Apollinaire qui donne son titre au roman. Le père cite ce poème et ce fruit quand il est jeté dans le ravin p.44 ; « c’est là, il a parlé de grenade et d’effroyables jardins ». Une grenade c'est aussi une bombe de main, ce qui fait penser à la guerre, c'est un mot a double sens.
16- Si le héros était un personnage de série télé ?
J'ai plutôt choisi un film, Guido dans"La vie est belle" me rappelle Bernard le soldat allemand car comme lui il essaye de faire rire et de faire oublier la dure réalité à son fils dans le camp de concentration,pour Guido et pour Bernard les quatre détenus dont notre héros le père qui va s'inspirer de lui pour sûrement, à son tour changer les idées des gens et réparer les blessures suite à la guerre.
17- Si le héros était un animal ?
Il serait un éléphant car l’éléphant est un animal de cirque qui accompagne parfois les clowns mais surtout c’est un animal connu pour sa mémoire : « à toi papa qui n’a jamais perdu la mémoire » p.80
Titre 1
18- Si le héros était un instrument de musique ?
Il serait une trompette, la trompette des fanfares, des cirques, des moments joyeux mais aussi de la musique militaire. «il tenait son fusil comme une trompette (…) il soufflait dans le canon en imitant un petit air » p.58.