HGGSP Connaissance

THEME 6 : L’ENJEU DE LA CONNAISSANCE

INTRODUCTION : DES « SOCIÉTÉS DE LA CONNAISSANCE » ?

Qu'est-ce que le savoir ?

Qu'est-ce que la connaissance ?

https://www.youtube.com/watch?v=WnxqoP-c0ZE&feature=youtu.be

INTRODUCTION : DES « SOCIÉTÉS DE LA CONNAISSANCE » ?

Dans quelles mesures la connaissance constitue-t-elle un enjeu majeur pour les Etats et les sociétés ?

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Le prix Nobel : une institution et son impact sur l'histoire des sciences L'alphabétisation des femmes dans le monde, quels enjeux ?

Le rôle et l'histoire des services secrets en France et à l'étranger Les technologies de l'information et de la communication, au service des Etats ? Les programmes d'échanges étudiants dans la construction de la puissance

Les cyberattaques, un nouveau type de conflictualité ?Les théories complotistes et la désinformation sur les réseaux sociaux

Axe 1 : Produire et diffuser des connaissances

I-Accéder à la connaissance depuis l'époque moderne

Saint Jean-Baptiste de La Salle, né le 30 avril 1651 à Reims et mort le 7 avril 1719 au manoir de Saint-Yon, dans les faubourgs de Rouen, est un ecclésiastique français et un innovateur dans le domaine de la pédagogie, qui a consacré sa vie à éduquer les enfants pauvres.

II- L'alphabétisation des femmes du XVIe siècle à nos jours.

Né au château de Fénelon, en Périgord, le 6 août 1651. Précepteur du Dauphin, le duc de Bourgogne, petit-fils de Louis XIV, en 1689. Lorsqu’il se présenta à l’Académie, il n’avait composé qu’un ouvrage, de l’Éducation des Filles ; il fut élu le 7 mars 1693 en remplacement de Pellisson, et reçu par Bergeret le 31 mars 1693 ; il avait eu deux boules noires contre son admission. Il fut nommé archevêque de Cambrai en 1695. Fénelon prêcha à quinze ans, fut un écrivain religieux et un philosophe chrétien mystique. Il a laissé cinquante-cinq ouvrages, dont deux au moins le placent au premier rang de nos gloires littéraires, le Traité de l’existence de Dieu et Télémaque. Ami de Bossuet, il eut plus tard avec lui une controverse qui dura trois ans et au bout de laquelle il succomba sous l’accusation de quiétisme que portait contre lui son terrible adversaire ; condamné par la cour de Rome, Fénelon accepta ce jugement avec une admirable humilité (1699). Il fut exilé de la cour et se retira dans son archevêché ; malade de la commotion ressentie dans un accident de voiture, il en mourut six jours après. Son éloge a été écrit par La Harpe et par d’Alembert. L’Écossais Ramsay, le cardinal de Bausset et l’abbé Gosselin ont écrit chacun une Histoire de Fénelon ; Villemain lui a consacré une Notice. Mort le 8 janvier 1715.

Jules Ferry en 1869. Jules Ferry est né à Saint-Dié dans les Vosges le 5 avril 1832 d’un père avocat. Il semble d’abord vouloir suivre les traces de ce dernier en se lançant dans l’étude du droit et en s’inscrivant au barreau de Paris. Il plaide dans quelques affaires mais très vite se tourne vers le journalisme où l’on remarque son talent. Journaliste d’opposition, sa célébrité est acquise grâce à un article du Temps : " Les comptes fantastiques d’Haussmann ". Medaille 1870Sa carrière politique commence en 1869 lorsqu’il est élu député de la 6ème circonscription de la Seine sur un programme radical, anti-centralisateur et anti-militariste – il s’oppose d’ailleurs à la déclaration de guerre contre la Prusse. Après la défaite de Sedan, il entre au gouvernement de défense nationale et devient maire de Paris où sa circulaire du 10 décembre exigeant des restrictions alimentaires lui vaut le surnom de " Ferry la famine ". Il quitte Paris pour Versailles pendant l’insurrection communarde, après avoir été élu député des Vosges le 8 février 1871, mandat qu’il détiendra jusqu’en 1889. Le gouvernement Thiers l’envoie en Grèce comme ministre plénipotentiaire, mais dès la chute de celui-ci il revient à la Chambre où, avec Gambetta et Grévy, il devient une figure de l’opposition. Chef de la Gauche républicaine, il fait naturellement partie des 363 et se fait remarquer par de violentes altercations avec le duc de Broglie et le général de Rochebouët après la crise du 16 mai 1877.

III-Les sciences au coeur de la production de connaissance

Projet Manhattan

Débat sur nucléaire

Axe 2 : La connaissance, enjeu politique et géopolitique

I-LA CONNAISSANCE, LEVIER DE LA PUISSANCE ÉCONOMIQUE DES ÉTATS

EuRopean Action Scheme for the Mobility of University Students

II-LE RENSEIGNEMENT : UN OUTIL (GÉO)POLITIQUE AU SERVICE DES ÉTATS

Axe conclusif : Le cyberespace : conflictualité et coopération entre acteurs

https://www.lefigaro.fr/secteur/high-tech/dossier/serie-d-ete-les-plus-incroyables-cyberattaques-de-l-histoire-tech-et-web

La cyberingérence russe constitue-t-elle une véritable menace pour les institutions démocratique ?

CONCLUSION Objet de toutes les utopies libertaires, le cyberespace est aussi un lieu de tensions et d'affrontements entre acteurs publics et privés aux intérêts divergents. Espace virtuel de la libre circulation de la connaissance, il contribue à la mise en place de sociétés de l’information. Espace d'expression des cybermenaces et des politiques de cyberdéfense des États, il est le moyen et l’objet d’un contrôle de plus en plus étroit des citoyens par les grandes entreprises et les gouvernements, et donne naissance à des sociétés de la surveillance obsédées par la cybersécurité. Seule la coopération internationale peut limiter les conflits du cyberespace. Elle passera par la création d’un droit international dédié pour combler le vide juridique actuel. Ce qui nécessitera que les États abandonnent leur désir d’assurer leur souveraineté sur le cyberespace, et donc qu’ils cessent de l’envisager comme un territoire au sens classique du terme.