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L'Enfant Océan
david.rey
Created on January 3, 2021
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Transcript
L'ENFANT OCEAN
Jean Claude Mourlevat
Le Petit Poucet de Charles Perrault : un conte de 1697 qui ressemble étrangement à l'histoire de l'enfant océan.
LES PERSONNAGES des 3 premiers Chapitres.
Mme DOUTRELEAU (Marthe)
NATHALIE JOSSE
M. DOUTRELEAU (Louis)
YANN DOUTRELEAU
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RESUME N°1 Yann, lui, il sait faire la différence entre Fabien et Rémy. Il se trompe jamais et c’est bien le seul. Enfin, il s’est levé comme une flèche et il a foncé pour écouter ce que disaient les vieux. Il est revenu complètement sens dessus-dessous. On aurait dit qu’il avait vu le diable. Sans rien dire, il a ordonné à tous de se lever illico-presto. Malgré la pluie, il voulait que tout le monde sorte. La pluie allait les tremper des pieds jusqu’à la tête. Mais bon, ils sont partis. Dans la nuit noire et froide, deux phares les ont éclairés et ils sont montés dans un camion. Le gars, il a pas arrêté de poser des questions, mais bon personne n’a répondu. Arrivés au poste de police, comme tous dormaient, le chauffeur est descendu. Un officier est venu voir, il les a tous réveillés. Ben alors, les enfants se sont tous enfuis en passant sous les jambes du gendarme. Ils ne voyaient rien dans le noir, mais ils détallaient comme des lapins. RESUME N°2 Yann sait très bien faire la différence entre les deux jumeaux. D’un simple coup d’œil, il peut les distinguer et ce, quelle que soit la situation. Quand il s’est levé pour écouter les échanges argumentés des géniteurs, il en revenu totalement stupéfait. Il fallait partir au plus vite. Du coup, tout le monde s’est levé et s’est enfui, malgré la pluie. Un camionneur les a pris dans son véhicule et ils se sont tous assoupis en dépit des questions incessantes du conducteur. Arrivés à un poste de police, celui-ci est descendu sans faire le moindre bruit. Une fois de retour, il n’y avait plus personne. Entre temps, tout ce petit monde était parti. Ils couraient à travers le stade, en glissant et en tombant de tout leur haut. Il pleuvait et il faisait très froid. RESUME N°3 Yann, lui, il sait faire la différence entre Fabien et Rémy. Il se goure jamais et c’est bien le seul. Enfin, il s’est quillé comme une flèche et il a foncé pour écouter ce que disaient les vieux. Il est revenu complètement stone. On aurait dit qu’il avait vu le diable. Sans rien moufter, il a ordonné à tous de se lever illico-presto. Mais y avait la pluie dehors et il voulait qu’ils sortent, tous. La pluie allait les tremper jusqu’aux os. Mais bon, ils ont déguerpi. Dans la nuit où on voyait que dalle, il faisait un sacré froid de canard. Deux lumières les ont éclairés et ils ont grimpé dans un gros van. Le gars, il a pas arrêté de poser des questions, mais bon personne lui a répondu. Arrivés au poste de police, comme tous dormaient, le chauffeur est descendu. Un flic est venu voir, y avait plus personne bien-sûr. Tout le monde avait déguerpi comme des lapins. Et v’la ty pas qu’y couraient comme des dératés pour tracer de l’autre côté du stade. RESUME N°4 Yann, lui, il sait faire la différence entre Fabien et Rémy. Il se trompe jamais et c’est bien le seul. Enfin, il s’est levé comme une flèche et il a foncé pour écouter ce que disaient les vieux. Il est revenu complètement sens dessus-dessous. On aurait dit qu’il avait vu le diable. Sans rien dire, il a ordonné à tous de se lever illico-presto. Malgré la pluie, il voulait que tout le monde sorte. La pluie allait les tremper des pieds jusqu’à la tête. Mais bon, ils sont partis. Dans la nuit noire et froide, deux phares les ont éclairés et ils sont montés dans un camion. Le gars, il a pas arrêté de poser des questions, mais bon personne n’a répondu. Arrivés au poste de police, comme tous dormaient, le chauffeur est descendu. Un officier est venu voir, mais tous était déjà partis sous la pluie pour aller de l’autre côté du stade, dans le froid et la nuit.
RESUME N°1 Yann, lui, il sait faire la différence entre Fabien et Rémy. Il se trompe jamais et c’est bien le seul. Enfin, il s’est levé comme une flèche et il a foncé pour écouter ce que disaient les vieux. Il est revenu complètement sens dessus-dessous. On aurait dit qu’il avait vu le diable. Sans rien dire, il a ordonné à tous de se lever illico-presto. Malgré la pluie, il voulait que tout le monde sorte. La pluie allait les tremper des pieds jusqu’à la tête. Mais bon, ils sont partis. Dans la nuit noire et froide, deux phares les ont éclairés et ils sont montés dans un camion. Le gars, il a pas arrêté de poser des questions, mais bon personne n’a répondu. Arrivés au poste de police, comme tous dormaient, le chauffeur est descendu. Un officier est venu voir, il les a tous réveillés. Ben alors, les enfants se sont tous enfuis en passant sous les jambes du gendarme. Ils ne voyaient rien dans le noir, mais ils détallaient comme des lapins. RESUME N°2 Yann sait très bien faire la différence entre les deux jumeaux. D’un simple coup d’œil, il peut les distinguer et ce, quelle que soit la situation. Quand il s’est levé pour écouter les échanges argumentés des géniteurs, il en revenu totalement stupéfait. Il fallait partir au plus vite. Du coup, tout le monde s’est levé et s’est enfui, malgré la pluie. Un camionneur les a pris dans son véhicule et ils se sont tous assoupis en dépit des questions incessantes du conducteur. Arrivés à un poste de police, celui-ci est descendu sans faire le moindre bruit. Une fois de retour, il n’y avait plus personne. Entre temps, tout ce petit monde était parti. Ils couraient à travers le stade, en glissant et en tombant de tout leur haut. Il pleuvait et il faisait très froid. RESUME N°3 Yann, lui, il sait faire la différence entre Fabien et Rémy. Il se goure jamais et c’est bien le seul. Enfin, il s’est quillé comme une flèche et il a foncé pour écouter ce que disaient les vieux. Il est revenu complètement stone. On aurait dit qu’il avait vu le diable. Sans rien moufter, il a ordonné à tous de se lever illico-presto. Mais y avait la pluie dehors et il voulait qu’ils sortent, tous. La pluie allait les tremper jusqu’aux os. Mais bon, ils ont déguerpi. Dans la nuit où on voyait que dalle, il faisait un sacré froid de canard. Deux lumières les ont éclairés et ils ont grimpé dans un gros van. Le gars, il a pas arrêté de poser des questions, mais bon personne lui a répondu. Arrivés au poste de police, comme tous dormaient, le chauffeur est descendu. Un flic est venu voir, y avait plus personne bien-sûr. Tout le monde avait déguerpi comme des lapins. Et v’la ty pas qu’y couraient comme des dératés pour tracer de l’autre côté du stade. RESUME N°4 Yann, lui, il sait faire la différence entre Fabien et Rémy. Il se trompe jamais et c’est bien le seul. Enfin, il s’est levé comme une flèche et il a foncé pour écouter ce que disaient les vieux. Il est revenu complètement sens dessus-dessous. On aurait dit qu’il avait vu le diable. Sans rien dire, il a ordonné à tous de se lever illico-presto. Malgré la pluie, il voulait que tout le monde sorte. La pluie allait les tremper des pieds jusqu’à la tête. Mais bon, ils sont partis. Dans la nuit noire et froide, deux phares les ont éclairés et ils sont montés dans un camion. Le gars, il a pas arrêté de poser des questions, mais bon personne n’a répondu. Arrivés au poste de police, comme tous dormaient, le chauffeur est descendu. Un officier est venu voir, mais tous était déjà partis sous la pluie pour aller de l’autre côté du stade, dans le froid et la nuit.
CHAPITRE 7 mélangé : à toi de remettre de l'ordre.
François m’avait prévenu : - Tu veux du calme ? J’ai exactement ce qu’il te faut. Et par-dessus le marché, c’est un pavillon d’une beauté fulgurante. Il appartenait à mon arrière-grand-tante. Elle y est morte il y a six mois. Tu ne crains pas les fantômes ? Bien. Alors je te décris en gros : depuis la salle à manger, au décor un peu chargé peut-être mais que tu adoreras si tu apprécies la dominante marron, tu jouiras d’une vue imprenable sur le stade municipal. Ca s’est passé dans la nuit du 7 au 8 novembre. J’étais dans le pavillon depuis 3 jours donc. Il était trois heures du matin environ. (…) D’abord je me demande si je n’ai pas la berlue ou quoi : je vois des espèces de pantins désarticulés qui se cavalent sur la pelouse et se cassent la figure tous les trois pas. (…). Il me semble que les silhouettes disparaissent là-bas sous les tribunes du stade. Bizarre, vous avez dit bizarre ? Plus que jamais. Ce pavillon perdu au fin fond de la Dordogne, c’était pour moi le paradis sur terre. Le lieu idéal où j’allais enfin pouvoir écrire. Ecrire le matin, le soir sans être jamais dérangé. Ecrire jusqu’à ce que les yeux me fassent mal, jusqu’à en être courbatu. J’ai remercié François et deux jours plus tard, je sautais dans le train de Limoge avec la jubilation d’un enfant qui va découvrir la mer. Comble du bonheur, c’était au début du mois de novembre ; vous vous rappelez sûrement ces semaines de froid et de pluie qu’on a eues à l’époque. Tout le monde s’en est plaint. Sauf moi, pour la bonne raison que je n’aime pas la chaleur. Ni le soleil. Il brûle les yeux et rend futile. Et surtout il m’empêche de travailler. J’aurais dû naître en Islande, en Lettonie, dans un de ces pays où il fait nuit à seize heures, enfin j’imagine. Bref, aussitôt arrivé dans mon petit paradis, j’ai sauté avec délices dans les pantoufles de la tante Bidule, j’ai installé mon bureau sur la table de la salle à manger et j’ai commencé à écrire. Si tu as des problèmes, la gendarmerie est à 200 mètres. Excitant, non ? Et un dernier petit détail puisque tu persistes à ne pas vouloir prendre ta voiture : le premier cinéma est à 48 km. Pour y aller, tu as 2 cars, je crois me rappeler que le premier passe vers 6 h 30 du matin. Toujours partant ? Bien-sûr que j’étais partant. Entraînement tous les mercredis, match un dimanche sur deux. La cuisine (merci Formica) donne sur les pavillons voisins. Parfait. Tu n’es pas sujet à la dépression ? Parfait. La chambre maintenant : le papier peint représente des scènes de chasse, avec beaucoup de faisans si je me souviens bien. Il y en a au plafond, d’ailleurs. Voilà. Ah oui, le téléphone est coupé et il n’y a pas de télévision.
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