François Villon copie

Francois villon

Présentation

François Villion, est un poète francais du XVe siécle.Malgré le fait qu'il soit le poète le plus célèbre de son époque, les seuls éléments connus sur sa vie sont ses propres écrits littéraires. Dans cet exposé, nous allons retracer les grandes étapes de sa vie: - Enfance - Scolarité - Voleur - Criminel, gracié - Le cambriolage - Poète à la cour du duc d'Orléans - Emprisonnement - Condamnation - Testament

SOn enfance

"Francois des Loges" ou"de Montorbier", "dit de Villon" (doc 4) serait né "à Paris prés de Pontoise"(doc 5)."Povre" (doc 12), il a très tôt perdu sa mère (doc 20), qui a été "condamnée et enterrée vivante dans la fosse au chiens" (doc 20). Orphelin, il a été receuilli par "Maitre Guillaume de Villon" (doc 2 et 20), un prêtre de "L'église Saint Benoit" (doc 15,17 et 20) son "plus que père", qui lui "a été plus doux que mère" (doc 2), et qui l'a secouru de "maint bouillon". Jeune, il a passé beaucoup de temps à chaparder dans les rues. (doc 8)

sa scolarité

François a été "écolier à l'Eglise Saint Benoit" (doc 9), qui se situe à côté du collége de la Sorbonne (doc 17: plan de l'église et du collège de sorbonne), dont il entendait "la cloche de Serbonne, qui tousjours a neuf heure sonne"(doc 11) Il a poursuivi ses études à "l'Université" de Paris (doc 6). A la fin de ses études, Villon devient "clerc" (doc4: "le clerc poéte...").

françois voleur

A l'université, en bande avec d'autre étudiants, Villon "s'amuse à dérober chez une noble ", une grosse pierre portant le nom de"Pet-au-Diable"(doc 4 et 21). Il réussit à s'échapper avant que la police arrive.

françois criminel, et gracié

Le 5 juin 1455, à neuf heure du soir, François tue le prêtre Sermoise au cours d'une bagarre. D'aprés les "lettres de rémission", Sermoise rejoint Villon pour lui "chercher querelle", il le frappe à coups de dague et lui fend la lévre. Villon se défend d'un coup de dague qui atteint son agresseur "à laine ou autour". Ce coup fut fatal pour Sermoise. De peur, il fuit la capitale. Grâce à son statut de clerc, il obtient des "lettres de rémission" accordées par le Roi Charles VII, et il reviendra à Paris en janvier 1456.

LE cambriolage

En "janvier 1456" (doc 4), de retour à Paris, François se lie d'amitié avec sire "Colin Cayeux" (doc 19) membre de la confrérie de"coquillards" (doc 19). Ensemble, ils vont commettre "un vol au collège de Navarre"(doc 21). Le collège s’étendait en haut de la montagne "Sainte-Geneviève"(doc 16).Villon doit alors à nouveau fuir Paris . Plusieurs années aprés ce crime, François, "perdit Colin de Cayeux" (doc 8), ce dernier accusé du vol au collége de Navarre a été éxécuté par la justice.

poète à la cour du duc d'Orléans

On perd sa trace plusieurs années et on le retrouve "au château de Blois, chez Charles d'Orléan". Le duc qui avait été "capturé à Azincourt", était resté emprisonné chez les Anglais durant toute sa jeunesse (doc 18). A son retour en France, il invite François à sa cour, car la "compagnie du poète" le console un peu de sa "vie gâchée". Cependant François n'arrive pas à s'intégrer : "je meurs de soif auprès de la fontaine...en mon pays je suis en terre étrangère... bien acceuilli, rejeté par chacun" (doc 18). Il finit par perdre la protection de son mécène et quitte le château.

son emprisonnement

François, "en l'an de son trentiéme âge" (doc 14) va être "privé" de "son clérgie" par l'évêque Thibaut d'Aussigny qui lui reproche son passé, " meurtre d'un prêtre et vol au collége de Navarre", et l'accuse du "vol d'un calice à l'église de Baccon" (doc 22). Thibault le fait emprisonner tout un été dans une "dure prison", ou il a presque "laissé sa vie"(doc 7), seulement nourri "d'une petite miche et de froide eau tout un été" (doc 14).A la fin de l'été, enfin libéré, il est de "retour" (doc 7) à Paris.

sa condamnation

Sa libération fut de courte durée car à son retour à Paris, il est à nouveau mêlé à des affaires louches. Il est condamné à être pendu, mais il échappe à la mort en faisant appel. Il est finalement une fois de plus banni de la ville de Paris (doc 10).

son testament

Fin 1461, François rédige son oeuvre principale "Le Testament" (doc 2), dans lequel il rend hommage à son père "Maître Guillaume de Villon". Dans ce récit, il s'amuse à lèguer des biens imaginaires, sa "librairie" et "le roman du Pet du diable", à ses ennemis. Aprés cette oeuvre nous perdons sa trace.

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FIN