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dispo_presentation_video

Corinne Bourdenet Vi

Created on August 22, 2020

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Transcript

Sous quelLEs formes exposer l'image projetée et/ou diffusée (art vidéo, numérique, mapping, diapositive, ...) ?

Petite histoire de l'art vidéo

Qu'est-ce qu'un dispositif en art ?Ensemble d’éléments (espace architectural, éléments de design, luminosité, mise en scène, décors, discours, ...) agencés pour une oeuvre en vue de donner à penser, à voir et à parler. Qu'est-ce qu'un dispositif de présentation ? Ensemble d'éléments penser pour donner à voir une oeuvre au public, pour l'exposer, la mettre en valeur, la montrer. Synonyme : dispositif d'exposition, dispositif de monstration. La présentation, en arts plastiques, c'est tout ce qui fait qu'une œuvre existe, est là devant moi. C'est le résultat d'un processus, d'une mise en espace, d'une mise en scène par un éclairage, des socles, des modes d'accrochage, des axes de circulation d'un spectateur... Etudier la présentation c'est découvrir les dispositifs et les stratégies conçus par les artistes, commissaire d'exposition et scénographe pour donner à voir et à ressentir l'oeuvre par le spectateur

Définition du dispositif de présentation

Une co-réalisation de Céline Maadini et Corinne Bourdenet Vicaire, enseignantes en arts plastiques à Nancy-Metz

Dispositifs de présentation : exemple avec des oeuvres projetées et/ou diffusées en lien avec des expositions de William Kentridge

Untitled, 2010, Installation de 4 films, exhibition view Galerie Campagne Premiere Berlin, 2011

Breadbox, 2003 Boite à pain métallique sur base en bois, miroir, écran plat HD et lecteur multimedia

Image donnée à voir sur l'interface d'un appareil

découvrir des dispositifs pour des oeuvres de William Kentridge et quelques autres artistes vidéastes et/ou contemporains

Isolé sous forme de sculpture ou de tableau ou intégré à une installation, à un environnement : des exemples dans l'oeuvre de William Kentridge et d'autres artistes

https://www.nytimes.com/video/t-magazine/100000002494511/on-view-no-it-is-by-william-kentridge.html

Image projetée, à distance sur différents supports (écran, drap, murs, ...)

Dalle /Tablette/Téléphone

Projecteur arrière et support encadré

Ecran plasma

Téléviseur

Sous quelles formes exposer les images projetées et/ou diffusées (vidéo, diapositive, oeuvre numérique, ...) ?

DES DISPOSITIFS DE PRESENTATION : « Donner à voir » dans un espace muséal ou pasQuelle taille ? Quel format ? Quelle hauteur ? Une série ?...Quelle échelle (rapport au spectateur, rapport au lieu) ? Quelle ambiance dans la pièce ? Quelle durée ? Sonorisée ou pas ? Quels impacts sur le spectateur ?

Mise en scène, en espace

In Situ

Projection / diffusion sur le spectateur

Le spectateur déambule entre les projections / diffusions

Projection / diffusion sur des supports suspendus ou au sol

Spectateur immergé dans un environnement

Projection / diffusion de petite taille, intimiste

Plusieurs diffusions simultanées

Sur un mur entier

Comme un tableau (plusieurs exemples)

Sommaire

Exemples :

Paramètres à prendre en compte :

  • taille et format de l'écran
  • hauteur d'accrochage
  • rapport d'échelle avec le mur
  • proximité avec autres oeuvres
  • distance (recul) du spectateur
  • éclairage de la pièce (effet lumineux de l'écran)
  • sonorisation

Schéma

Projection / interface accrochée au mur, dans un écran, comme un tableau (cadre noir, point de vue frontal).

Exemples :

Bill Viola, Emergence, 2002. Vidéo en couleurs. Dimensions de l'image projetée 200 x 200 cm. Acteurs Weba Garretson, John Hay, Sarah Steben © Bill Viola and Kira Perov Extrait de 5 min sur 11 min 49

Vittore Carpaccio, Pietà, vers 1488-1490. Huile sur bois. 60, 1 x 82, 2 cm. Museo Correr, Venise

Oeuvre

Vittore Carpaccio et Bill Viola en dialogue, Exposition Renaissance, espace Louis Vuitton, Venise, 2014

Exemples :

Le montage et la post-production des vidéos ont été réalisés par Dara Birnbaum en collaboration avec Michael Saia. Les deux compositions sonores ont été spécialement créées pour cette œuvre par Neil Benezra. Le Psaume 29(30) chanté par un chœur de moines de l’ordre des Chartreux est la source principale de la composition à l’extérieur de la pièce de projection. A l’intérieur, la partition originale de Benezra s’inspire de la musique syrienne et combine différent éléments sonores comme des cloches d’église ou des sonorités de la nature.

Dara Birnbaum, Psalm 29(30), 2016Installation vidéo, cinq écrans, une projection, son, couleur, 8 minutes, en boucle Marian Goodman, Paris

Oeuvre

Vidéo accrochée au mur, dans un écran, comme un tableau (cadre noir, point de vue frontal).

Oeuvre 2

Oeuvre 1

Exemples :

Vidéo projetée sur un support posé sur un chevalet, comme un tableau (cadre, point de vue frontal, incliné).

Vue de l'exposition au MOMA

Learning The Flute, 2003 film d'animation de 35 mm transféré sur vidéo et projeté sur tableau noir, 8,2 minutes Tableau noir : 128 x 166,5 cm L'ensemble de l'installation : 208 x 166,5 x 100 cm MOMA New York pages 149-150 du catalogue de l'exposition au Jeu de Paume, 5 thèmes, en 2010

William Kentridge

Making of The Head and the Load (la Tête et la Charge), 2018, vidéo de 4 h et 14 minutes.

Oeuvre 1

Oeuvre 2

Exemples :

Vidéo projetée sur un support posé sur un chevalet, comme un tableau (cadre, point de vue frontal, incliné).

Enceinte sonore placée sous le dispositif de présentation (sorte de chevalet) Système de projection par l'arrière sur support transparent.

Vues de l'exposition au LaM de Villeneuve d'Ascq, Août 2020

William Kentridge

Paramètres à prendre en compte :

  • adéquation avec les proportions du mur (cimaises construites selon les besoins)
  • aspérités du mur (granulosité)
  • faisceau de projection (distance focale) / spectateur
  • video projecteur visible ou pas
  • projection par devant (ombre du spectateur présente ou pas)
  • proximité avec autres oeuvres sur autres murs
  • distance (recul) du spectateur
  • éclairage de la pièce (effet lumineux de la projection)
  • sonorisation

Schéma

Projection sur un mur entier(point de vue frontal).

Oeuvre

Exposition William Kentridge Fruitmarket Gallery (galerie d'art contemporain à Édimbourg, en Écosse), 2017

Paramètres à prendre en compte :

  • rapports d'échelle entre les vidéos et la pièce et entre les vidéos entre-elles (même taille et format ou pas ?)
  • emplacement du spectateur : son regard peut-il voir toutes les vidéos à la fois ? sachant qu'il ne pourra en regarder qu'une seule à la fois
  • sont-elles sonorisées ? les sons sont-ils audibles ou mêlés ?
  • sont-elles pensées en série, en suite, en polyptyque, indépendamment les unes des autres ?

Schéma

Plusieurs projections simultanées ou écrans dans une même pièce

Projection arrière ou transparence :

O Sentimental Machine, 2015Environnement avec 5 vidéos : 4 en projection par l'arrière (portes), 1 sur écran

Oeuvre

Exposition William Kentridge Exposition au LaM de Villeneuve d'Ascq, Août 2020

Paramètres à prendre en compte :

  • rapports d'échelle entre la vidéo et la pièce
  • emplacement du spectateur : comment la regade-t-il ? peut-il s'en approcher ?
  • comment est-elle mise en valeur ?
  • comment penser l'espace autour d'elle, sans donner l'impression qu'elle est perdue dans un grand espace vide, sans l'étouffer par d'autres oeuvres plus grandes ?

Schéma

Projection de petite taille, intimiste

Le rapport au livre explique le format de cette vidéo présentée sur tablette.La caisse en bois isole, protège et, posée sur la table, elle permet une hauteur et inclinaison comme sur un pupitre.

Oeuvre

Exposition William Kentridge au LaM de Villeneuve d'Ascq, Août 2020

Paramètres à prendre en compte :

  • rapports d'échelle entre les vidéos et la pièce
  • adéquation entre la taille des murs et les vidéos
  • les angles des murs sont-ils raccord avec les vidéos ou indépendants ?
  • emplacement du spectateur : immergé. Comment regarde-t-il les différentes vidéos ?
  • la luminosité est-elle celle des projections ou une supplémentaire ?
  • le son participe-t-il à l'immersion ? ou est-il extérieur à la pièce ?

Schéma

Le spectateur immergé dans un environnement vidéo

8 projecteurs vidéo HD et de 4 mégaphones. L’installation délimite le champ de vision des spectateurs. Une envoûtante et poétique procession se déroule sur des écrans du sol ou plafond et sur près de 40 mètres de longueur. Mêlant dessins au fusain, animations graphiques et personnages filmés, « More Sweetly Play the Dance » évoque les danses macabres médiévales mais aussi un cortège à la fois joyeux et lugubre, une manifestation politique ou sociale ou encore un affligeant défilé de réfugiés…

More Sweetly Play The Dance, 2015, 15 minutes de projectionLes spectateurs sont assis, regardent les vidéos et ferment la boucle créée par celles-ci. Chaque projection est une suite de la précédente, avec parfois des "faux" raccords, ou une "fausse" continuité entre deux vidéos.

Oeuvre

Exposition William Kentridge à la Fondation LUMA Arles, 2016

Paramètres à prendre en compte :

  • relations entre les vidéos et le décor : harmonie ou opposition, prolongement ou rupture ?
  • ambiance, atmosphère, scénario, narration recherchés ? quel est le scénarimage de la mise en scène ?
  • emplacement du spectateur : comment regarde-t-il la vidéo ? dans quel décor ?
  • le son et l'éclairage participent-t-ils à la mise en scène ?
  • existe-t-il plusieurs mises en espace différentes de la même vidéo ? Ex avec Bruce Nauman.
  • Qui et qu'est-ce qui a déterminé le choix de la mise en scène ? artiste, scénographe, curateur, galeriste, conservateur, commanditaires, ...

Schéma

Mise en scène, Mise en espace

Le titre de l’œuvre, O Sentimental Machine, fait allusion aux théories de Léon Trotski selon lequel les êtres humains sont des « machines sentimentales mais programmables ». Inspiré par un film inédit découvert en 2015 : un discours de Léon Trotski filmé en 1933 après que le révolutionnaire russe, exilé en Turquie, s’était vu refuser un visa pour se rendre à Paris, où il devait initialement prononcer ce discours. L'installation est une « mise en scène d’archives ».

William Kentridge, O Sentimental Machine, 2015, Courtesy de l’artiste & Marian Goodman Gallery, New York / Paris / Londres

Installation de William Kentridge LaM Villeneuve d'Ascq

Entre art contemporain et religieux, l’artiste rend à l’œuvre d’art toute sa sacralité et commente son dispositif ainsi : « Les deux thèmes de Marie et des Martyrs symbolisent certains mystères profonds de l’existence humaine. L’un renvoie à la naissance, l’autre à la mort ; l’un au confort et à la création, l’autre à la souffrance et au sacrifice. Si je réussis, les œuvres finies fonctionneront ensemble comme des objets esthétiques d’art contemporain tout comme des supports traditionnels de contemplation et de dévotion ».

https://www.connaissancedesarts.com/musees/tate-modern/bill-viola-complete-et-acheve-son-oeuvre-pour-la-cathedrale-saint-paul-1149772/

Oeuvres

Installation vidéo de Bill Viola Cathedrale St Paul , Londres, 2014

au Musée Jan Fabre, exposition Bacon Nauman Face à Face, 2017, Genre du portrait et autoportrait. Les contorsions des faciès de Nauman font écho aux déformations dues à la touche mouvementée de Bacon. Le cri, très présent, dans leurs visages, symbolise l’anxiété d’une époque.

à la Tate Modern, Londres. Lumière chaude, tamisée, oeuvre regroupée dans un angle de la pièce

à la documenta IX, 1992, Kassel, Allemagne. Lumière froide, éclairage aux néons, oeuvre isolée dans toute la pièce

à la Fondation Cartier, 2015, Paris. Black Box, éclairage des projections, lumière chaude, oeuvre cohabite avec son Carousel dans la pièce.

Bruce Nauman aime provoquer des réactions fortes chez le spectateur, comme si nous étions les cobayes de ses expériences. C’est pourquoi il crée parfois des œuvres difficiles à supporter. À l’endroit, à l’envers, sur petit ou sur grand écran, il crie des ordres contradictoires : « feed me/eat me (nourris-moi/mange-moi) ! » et « help me/hurt me (aide-moi/blesse-moi) ! »

Installation vidéo de Bruce Nauman Anthro/socio rinde facing camera , 1992

  • relations entre les projections et espaces de circulation
  • parcours recherché ? guidé, contraint, libre, unique, multiple
  • emplacement du spectateur : comment regarde-t-il la vidéo ? assis, debout, statique, en mouvement

Le spectateur déambule entre les projections

Paramètres à prendre en compte :

Schéma

Avec Peter Galison, et à l'initiative de David Edwards, le fondateur du Laboratoire. Galison est historien des sciences et professeur de physique à Harvard. Il est notamment l'auteur de L'Empire du Temps, les horloges d'Einstein et les cartes de Poincaré, mais également fervent défenseur du rapprochement entre les sciences et les arts. La relativité, la simultanéité, la synchronie ou encore la vitesse du temps : toutes ces pistes nourrissent le travail de Kentridge. En ce printemps, la galerie parisienne présente les premiers résultats d'un projet qui débouchera sur un spectacle vivant à la documenta de Kassel, en juin 2012. Accompagnés du compositeur Philip Miller, les deux hommes interrogent le temps, son histoire et sa musique autour d'une question centrale : "Comment rendre visible ce dont on connaît l'existence mais qu'on ne voit pas ?" Le défi n'est pas d'illustrer le passage du temps, mais d'interroger ses différentes formes et, surtout, le rapport que nous entretenons avec elles. L'exposition fonctionne ainsi comme un carnet de croquis : les dessins, les objets et le film révèlent les étapes de la pérégrination artistique menée depuis plusieurs mois pour trouver le mode d'expression le plus abouti, entre la performance et l'installation, l'opéra et la conférence.L'installation se parcourt, quelques sièges permettent de s'y attarder, le regard passe d'une projection à une autre, tentant de tout saisir, de tout voir, mais cela est impossible.

Refus (ou la Négation) du Temps, 2020, LaM Villeneuve d'Ascq

Oeuvres :

Installation de William Kentridge

Entre images de captations de matchs, images de vidéo surveillance, le spectateur déambule et visionne des fragments de séquences vidéos, il se re-fait le film, librement, dans ordre précis, selon son parcours.

Zidane : un portrait du 21ème siècle, 2006Installation multimédia lors de l'exposition de Philippe Parreno, Anywhere, Anywhere, Out Of The World au Palais de Tokyo, à Paris, en 2013.

Oeuvres :

Installation de Douglas Gordon & Philippe Parreno

Les oeuvres sous forme de mapping vidéo répondent à cette caractéristique car le lieu, avec ses formes, ses pleins, ses vides, ses reliefs, ses creux, interagit avec la projection vidéo, qui si elle est déplacée ailleurs ou projetée sur une surface plane, elle perd tout son sens (ce qui est bien la définition d'une oeuvre in situ).

  • relations entre les vidéos et le lieu
  • relation entre le lieu, la projection et le point de vue du spectateur
  • oeuvre éphémère, pérenne ou à matérialité intermittente (projetée tous les étés, puis stockée le reste de l'année)
  • le mapping vidéo a-t-il le statut d'oeuvre d'art ? ou est-ce un travail de graphiste dans le cadre d'un spectacle son et lumière ?

Projection vidéo in situ : projection créée pour un lieu précis

Paramètres à prendre en compte :

Schéma

En 2019, à l’occasion de la Nuit blanche, au musée d’art et d’histoire du Judaïsme (mahJ, Paris), William Kentridge a proposé « un parcours en trois temps, qui entraînait le public au sein de la collection du mahJ pour s’achever dans la galerie contemporaine ». - « Dans la salle médiévale, The Flood (L’Inondation, 2016) dépeignait des réfugiés montant sur un vaisseau romain antique évoquant les embarcations de migrants, œuvre issue d’un mural réalisé sur les rives du Tibre en face du ghetto juif de Rome ». - « Dans la cabane de Soukkot, des Silhouettes (2014-2015) de carton aux motifs végétaux (comme la toiture des cabanes à travers laquelle on doit apercevoir les étoiles) faisaient écho à la précarité des Hébreux dans le désert après la sortie d’Égypte ». « Dans la cour des écuries ou galerie contemporaine, Shadow Procession (Cortège d’ombres, 1999, 7 min), recourait aux techniques d’animation chères à l’artiste en convoquant une ribambelle de personnages dans une procession de mineurs et de portefaix où l’on peut aussi voir l’exode de populations à différentes périodes de l’histoire. Sur la musique d’Alfred Makgalemele, Kentridge y déploie une ribambelle de personnages, qui renouvellent la tradition du théâtre d’ombres, dans une procession de mineurs et de portefaix où l’on peut aussi voir l’exode de populations à différentes périodes de l’histoire ». Ces oeuvres n'ont pas été conçues pour cet espace d'exposition, mais elles sont été choisies et mises en scène, en lien avec l'histoire de ce lieu et son contexte.

Lieu investit par William Kentridge

Projet mené par Simon Geilfus, Yannick Jacquet et Thomas Vaquié

Mapping du centre Pompidou Metz Nuit Blanche Metz 2012 : Paleodictyon

https://www.miguel-chevalier.com/work/voutes-celestes-2016

Oeuvres

Voûtes Célestes, Installation de réalité virtuelle générative et interactive Nuit Blanche 2016, Eglise Saint-Eustache, Paris, France

Installation de Miguel Chevalier

Projections sur des supports suspendus ou au sol

  • relations entre les vidéos, le plafond, le sol, les espaces de circulation, les espace autour (gauche, droite, au-dessus, en dessous)
  • à quelle(s) hauteur(s) se trouvent les projections ?
  • les suspensions sont-elles mobiles ? sensibles aux déplacements d'air
  • suspension = fragilité ?

Paramètres à prendre en compte :

Schéma

Oeuvres :

https://www.guggenheim-bilbao.eus/en/exhibition/the-veiling

The Veiling (Le voile), Installation vidéo/sonore Deux canaux de projections vidéo couleur des côtés opposés d'une grande galerie sombre à travers neuf grands voiles suspendus au plafond ; deux canaux de son mono amplifié, quatre haut-parleurs Taille d'un voile : 2,4 x 3,3 m Dimensions de la pièce : 3,5 x 7,4 x 11,5 m 30:00 minutes Musée Guggenheim, Bilbao, Espagne

Installation de Bill Viola

Oeuvres :

http://www.quaternaire.org/fr/william-kentridge/sibyl

SIBYLThéâtre et performance Première partie 1 : The Moment Has Gone Deuxième partie : Waiting For The Sibyl Opéra de chambre de 42 minutes Waiting for the Sibyl a 00:40 minutes dans cet extrait vidéo, le rideau se lève.

Décor de William Kentridge

Projections sur le spectateur

  • relations entre la vidéo, le spectateur-support et les autres spectateurs
  • comment le spectateur comprend qu'il est le support de projection ?

Paramètres à prendre en compte :

Schéma

Waiting for the Sibyl, Opéra à Rome, 2019

Dans les mises en scène théâtrales de William Kentridge, les ombres projetées des acteurs (lumière projetée sur eux) dialoguent avec le décor et les projections (double présence matérielle et immatérielle, à échelle humaine et monumentale) :

Mise en scène de William Kentridge

http://www.claire-gastaud.com/artist/Bertrand-Gadenne

Installations de Bertrand Gadenne

Oeuvres

Les Papillons, 1988.Dans cette oeuvre, l'image projectée est issue d'une diapositive (et non une vidéo) mais c'est un exemple très connu, je fais donc le choix de placer cet exemple ici. Une variante numérique est présentée sur le compte Instagram de l'artiste.