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EPI 2019-2020
Archéologie
de la
Mémoire
" Oradour-sur-Glane"

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Archéologie de la Mémoire - EPI - 2020

LECTRIX

Created on June 6, 2020

3èmes Diapason et Ocarina

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Transcript

EPI 2019-2020

Archéologie de la Mémoire

" Oradour-sur-Glane"

Lire et comprendre le passé dans les ruines parmi les objets, Les figer par la photographie, Les mettre en mots...

Un projet Histoire-Lettres-Arts Plastiques Classes de 3ème. 2019-2020

Elena

Brisées...

Voiture! Ta destruction n’est pas justifiable Toi qui es si sociable Comment peut-on te faire du mal? Ce jour là Tu ne signales pas Alors tu restes là Et ne bouges pas Toutes ces blessures Ta structure Ton allure Et tes brûlures Seule ta carrosserie Nous témoigne De ta fin de vie Et de ta longue agonie Toi seule connais l’histoire de ta rue Toi seule n’as pas tenté de t’enfuir Tes vitres sont comme ta vie et celle que tu guidais Brisées

La Bicyclette, pourtant symbole de liberté La Bicyclette, liberté d’aller, de penser Des milliards de cœurs endeuillés Face à la Liberté rouilléeContre un mur de briqueNoirci par les flammes de la haine Repose cet objet cyclique Martyr de la pire des violences déclarée vaineSoixante dix ans en placeDans ce village où flotte encore du brulé l’odeur âcre Elle en porte encore les traces La bicyclette, toi, la vaine rescapée de ce massacre

Jules B.

Cette voiture a vu plusieurs propriétaires mais aujourd’hui ils ne sont plus là. Elle a vu des enfants s’amuser avec elle en essayant de la conduire comme des pilotes de formule 1. Mais aujourd’hui elle est seule et ne ressent que de la haine. La voiture commence à se vider de son essence et elle ne peut plus remplir son réservoir. Tu as chanté à tue-tête du Rythmes and Blues et maintenant tu ne t’arrêtes pas de crier. Tu es même passée à un moment dans ta vie au cimetière des voitures et tu y es encore mais tu y reposes avec apaisement avec les autres, tout comme toi elles sont remplies de haine et ne veulent que crier. Elles ont toutes comme toi vu des habitants heureux et gais jusqu’au jour où tout a basculé Où les humains ont commis l’inconcevable et l’irréparable ! Le temps est passé plus vite qu' hier et tu n’as plus de propriétaire. Tu n’as presque plus d’essence le vent souffle fort et le ciel est rouge ! De toi il ne reste que la peau, ton moteur est bientôt détruit par la haine Tu n’as plus d’essence et tu meurs, souviens-toi tu resteras un souvenir.La ville est noire et tu n’es plus un véhicule, de toi il ne reste qu’un tas de rouille orange sans formes, sans âme

Poème en prose

La VOITuRE

La Voiture

Une église Un cimetière Une place Des maisons vides, sans vie Des ruinesDes voitures brûlées Des enseignes d’une vie passée Des meubles déformés Rails de tramway Village d’acierDe lourds souvenirs Des vies bouleversées Un long silence Quelques larmes dans ce paysage dévasté Une pensée pour ne pas oublier.

La cloche

Voiture brûlée au coeur

Voiture brulee au coeur

Laurine

Toi voiture brûlée au cœur Tu n'as plus de fumée Plus de rires Tu a reçu un orage de flamme Tu es réduite en ruine Toi voiture, tu portes en soute Vide comme le désert Toi voiture avec des souvenirs horrifiques Toi voiture tu as subi la terreur des Waffen Toi voiture qui pleures de souffrance Massacrée Lieu du supplice du docteur Tu parles des souvenirs douloureux Tu crias hurlas jusqu’à ta mort Anéantie tuée par ce malheur Tu n’as plus de fenêtres plus de roues Rien. Vide.

Mael

13:45

La MONTRE

10 juin 1944

Cette montre a vu les heures sombres Brillant dans le noir, Sentant le sang Un clic qui parle dans la pénombre Un cadran montre l’ espace du monde Tout souvenir des décombres Tu me dis l’ heure de l’ histoire Tu me chantes les cris les hurlements et tu t’ arrêtes soudain.

Une cloche, la cloche

Une cloche, la cloche

Cette cloche a vu des femmes, des hommes Même des enfants Faite entièrement de bronze Suspendue au-dessus de l’église d’Oradour Tu as été l’un des nombreux objets témoins Tu es maintenant détruite à jamais Fondue sur le sol de ton église Il y a près d’une centaine d’années Tu nous observais du haut de tes dix mètres Tu voyais des centaines de personnes chaque jour, Qui sont morts devant tes yeux Maintenant, c’est toi qui es morte Et nous qui te regardons Toi, la cloche d’Oradour, nous ne t’oublierons jamais ...

le berceau

Le Berceau

Souviens toi ! Toi qui m’as porté pendant longtemps, Berceau de mon enfance qui m’as tant servi, Souviens toi ! Le Berceau usagé par le temps, Et ce terrible massacre qu’on a subi, Qui nous terrifie de plus en plus et malgré nous, Et cette Souffrance qui nous dévore intérieurement, Souviens toi ! Témoin, de ce terrible Enterrement, Moi Témoin muet du massacre d’Oradour, La ville martyr où j’ai tant vécu avec toi, Toi, qui avais tellement d’amour à partager, Mais eux, tant de haine à donner, Aujourd’hui, la ville martyr est en deuil pour toi, Pour que la guerre disparaisse de notre Terre, Oh Berceau d’Oradour, ne quitte jamais notre Terre. Elise

« Nous le savons, l’Homme est un être raisonnable mais les hommes le sont-ils ? » Raymond Aron Dimensions de la conscience historique

Clara

POeme à la maniere de prevert

Oradour

une statue scindée en deux un cœur volant de ses ailes vers les cieux une fleur blanche qui naît une fleur noire qui meurt une croix et … plusieurs papillons pourpres.

une quinzaine de voitures carboniséesune balance de chez le marchanddeux bonbonnes de gaz cinq cuillères deux fourchettes une plaque de cuisson une table huit clés une cruche trois ciseaux trois tondeuses dix-huit montres à gousset trois paires de lunettes poussiéreuses un morceau d’horloge un jouet en forme d’âne une petite poussette pour poupée deux assiettes fleuries une assiettes blanche un bol une coupelle un verre une trentaine de couteaux suisses une marmite une grande poêle une pompe à essence un bout de ferraille par-ci un bout de ferraille par-là un douloureux souvenir un jour au mauvais endroit une semaine au mauvais moment une année mortelle et agitée puis un éternel silence et … neuf ou dix petits papillons pourpres

Une pierre un portail deux vélos une quarantaine de roues trois maisons trois ruines un petit papillon pourpre une huitaine de machines à coudre une bassine un lit rouillé un chandelier trois chaises deux vases brisés une statue aux pieds nus un autre petit papillon pourpre un puits peureux qui pleure cinq pancartes en suspension une quinzaine d’enfants dans une école douze encriers de pupitres d’écoliers une pompe à eau des gouttières un seau l’isoloir de la ville une chaussure une scie une fauche

Lilo

La poussette

La Poussette

Toi qui portais un enfant Tu n’es qu’une preuve De cette triste douleur De ce village accueillant Tu témoignes la mort Anéantie, seule et sans couleurs Toi qui as vu tant de pleurs Tu es comme une bête morte Dans cette église, qui n’est que ruines Où tant de femmes ont perdu la vie Dans les murs, tu entends les cris De ces enfants qui ont cessé de rire S’exténuant en quelques secondes Tu n’es plus qu’une ombre

Voiture, squelette demembré

Témoin muet à jamais

Toi, la voiture poussiéreuse, sale, rouillée. Toi qui pleures, tu as vu les gens qui ont été assassinés. Tu as été brûlée ! Tu ne peux plus bouger, tu n’as plus de pieds, plus de coeur. Il ne te reste que ta peau ! Cette carcasse rouillée, il ne te reste que ça tu es dépouillée. Tu ne brilles pas, tu ne peux pas briller avec ce que tu as vécu. Tu es effondrée sur le sol, tu as subi le même sort que les habitants. Toi le témoin muet de ce massacre ! Toi voiture, squelette démembré, témoin muet à jamais.

642

25

15

100

10

80

800 000

huit-cent milles pierres quatre vingt maisons quatre garages automobiles dix paires de lunettes retrouvées quinze voitures cent tombes vingt cinq fourchettes trois landeaux trois puits une église six-cents quarante deux victimes six rescapés vingt cachés un mémorial un arrêt de tram

Erwan

Maya

Voiture embleme

Voiture emblème

Toute rouillée Comme indignée De ce sort funeste Où plus personne ne reste Une tragédie Qui n’est jamais finie Témoin d’atrocités sans nom La voiture est restée là sans pouvoir dire non.

Maude

Les ruines

LES RUINES

Quand ils sont arrivés ! Cachés derrière leurs armes ! Ils sont décidés, motivés ! Il nous semble impossible de leur échapper ! Les soldats commençaient à toucher les murs innocents ! Les chambres elles-mêmes tombent ! Les murs sans cœur d'armure ! Les rires des soldats allemands face aux pleurs ! Des enfants terrifiés discutent avec les murs couchés ! Des femmes abattues devant leurs enfants ! Des hommes pris de terreur ! Des souffrances dans le malheur ! Les cloches commencent à fondre ! Les voix des femmes assourdissantes face au Trépas ! La chair des hommes en cendre ! Ville-morte !

Maxime D.

Des ruines Des rues désertes Une ville détruite Sans couleur Sans fleurs Un papillon De l’acier dans toutes les maisons Une cloche brûlée Vingt survivants Des portes sans murs Des murs sans portes Un autre papillon Des vies disparues Douze carcasses de voitures Six cent quarante deux personnes exécutées Une ville déserte...

Inventaires

Chloé

des voitures brûlées des bâtiments en ruine un cimetière un mémorial des machines à coudre puis une église asphyxiée un grand arbre rescapé un grand silence peu de survivants des centaines de gens tués un village incendié des hommes sans cœur des hommes sans peur des proches en pleurs des cœurs pleins de rancœur

Kenzo FABULET

Au revoir, petite bricole

Machine a coudre

Cette machine à coudre. Les habitants l’adoraient Mais pourtant, malheureusement, elle a subi le même sort Elle, aussi, a crié pendant le massacre Tous les habitants pleuraient pour elle Elle, pleurait pour les habitants Elle, ne pouvait plus se servir de ses capacités Elle trébuche, tombe, roule dans tous les sens Elle s’endort, meurt, s’exténue Les gens, les personnes, les habitants L'aimaient beaucoup Et elle les aimait, les adorait aussi Au revoir, petite bricole

Nolan

LE PUITS

Ce puits a vu paysans et commerçants Eclats de pierre, de ciment et de granit Dégradés à la demande de la cruauté Commanditée par qui n’a point de pitié Avançant dans l'obscurité de l’absurdité Arme au poing, n'ayant aucun regret Ces Odieux tuèrent sans adieu ils tuèrent, tuèrent sans pitié Sans regarder derrière eux Aujourd’hui comme pour témoigner Rien n’a bougé, le récit du massacre est entier figé, Pauvre village heureux dévasté a tout jamais figé, Aujourd’hui qu’il repose en paix Dans un sommeil éternel on peut enfin vivre en paix Oradour nous ne t’oublierons jamais

Océane

objet martyrisé

Brûlée, carbonisée

Voiture ! Entassée, brûlée, carbonisée Toi qui nous sers tous les jours, A nous déplacer, à voyager, à découvrir, Parcourir le monde ! Toi qui es gage de liberté ! Et pourtant objet martyrisé, Tu as été torturée puis brûlée ! On t’entend encore hurler de douleur ! Pauvre objet martyr. Maintenant grâce à Toi Nous pouvons nous souvenir. Toi le témoin muet de ce massacre Tu as consommé la chaleur des flammes T’envahir petit à petit, Ronger le bleu de ta carrosserie, Exploser tes pneus à peine dégonflés ! Là retentit Ton dernier cri, Avant de t'embraser ! Plus de soixante dix ans que tu es ici Pour ne pas tomber dans l'oubli Pour qu'un crime comme celui-ci Ne soit à jamais reconduit.

sonnet tel pour la derniere fois

Sonnait-elle pour la derniere fois

Une cloche en bronze Fondue par le massacre d’Oradour Une cloche en bronze Accrochée au dessus de l’église Si belle et si douce Tout le contraire de ce massacre Celle qui sonnait avec sa mélodie Qui devenait sans doute un cauchemar Sonnet tel pour la dernière fois ? Cette grande et magnifique cloche Cette cloche de dix mètres de haut Qui tombe si brusquement. Ce massacre Qu’elle a vu. Elle a fondu dans cette église Les cris qu’elle a entendus résonneront à jamais

Baptiste

Montre à cadran

La montre. Si fragile en apparence Si résistante à l’intérieur Abîmée par les horreurs vécues Si terrorisée par le vécu Qu’elle en pleure toutes les aiguilles de son cadran La montre fragilisée par les souvenirs Mais renforcée par le traumatisme Les visiteurs le regardent Comme l’objet d’une horreur, Les aiguilles trempées de larmes La chaine coupée de vieillesse La montre rouillée par le temps Et la Mémoire qui dure et perdure

SOUVIENS-TOI

Dont la carcasse nous menace et dit :

Clément

Voiture ! machine complexe, impressionnante, durable, Dont la carcasse nous menace et dit : « Souviens-toi » Les douleurs placées dans ton coeur rempli de froid Te reviendront et te seront plus honorables, Cette voiture a vu passer femmes et hauts garçons Reflétant les rayons du soleil sur son verre, Te rappelleront tes premiers pas sur terre à l’époque Où marchent petites filles et garçons Aujourd’hui la rouille impressionnante de cette voiture te montre Ses anciennes et ses douloureuses blessures Ses souvenirs affreux et sans aucune pitié

Calligramme

axel

Tristan

Nature morte

Un village incendié Des homme brûlés Des véhicules détruits Des cœurs brisés Des souvenirs enfouis Des villageois meurtris Un village de silence Des soldats sans pitié Des vélos rouillés Des puits condamnés Des maisons en ruines Une nature morte

Mina

Morgan

Cercueil ! Toi qui les emmènes au ciel, Toi qui les mènes au Paradis, Avec une douce odeur de miel, Toi qui leur ôtes la vie. Là où reposent les morts, Là où leurs âmes reposent, Là où reposent les corps, Pour eux tout se finit en prose. Aujourd’hui vos vies se terminent, Même si vous n’avez pas bonne mine, A la mort vous faites face. En essuyant mes yeux par la mort endormis ? Adieu, chers compagnons, adieu, mes chers amis, Dans les cieux je prends place.

La VOITURE

La VOITURE

La VOITURE

Calligramme

Mathilde

Tu es brûlée, consumée, rouillée Feuille battue par la sécheresse. Comment peut-on imaginer Que tu as vécu une telle détresse ? Ton sinistre cadavre Témoigne de cet affreux massacre Aujourd’hui plus aucun voyage tu ne feras. A jamais tu resteras dans ce village Seule sur ce Champ de foire Comme une bête de foire Tu es la gardienne de ce souvenir De cette journée de souffrance Qui a éteint tout sourire Tu es la voix du Silence

Lino

Le puits

Le Puits

Ce puits qui pleura de joie Qui pleura de larmes Le puits de la vie Le puits donne l’eau Le puits donna la fraîcheur au habitants Le puits donne lui même de l’eau rouge. Le puits, cette mine d’eau Des papillons y sirotent jusqu’à la navette Les pierres sont cassées Les pierres sont fatiguées On n’entend plus rien qui coule. Ou bien est-ce tous ces pleurs ? Et les pleurs du ciel qui remplissent les puits de pluie Et les pleurs de nos sœurs remplissent l’ aigreur de nos cœurs

Calvin

Le monde peut être si cruel Comment des personnes peuvent réagir ainsi, Les femmes crient en partant en fumée Les enfants pleurent L’Église disparaît de plus en plus vite La paix qui était installée disparait Toutes les personnes furent horrifiées La cloche tomba, fondue par le feu Tout le monde mourut C’était devenu un endroit sinistre Sinistre, sinistre comme un cimetière

Eglise paisible

Augustin

Eglise

Oh toi église paisible qui as vu mort et tristesse Toi église qui as vu tant de choses que tu ne sais plus où donner de la tête Rares sont les survivants Lieu sacré profané par les SS Lieu sacré de recueillement détruit par ces satanés Pourquoi faire tout cela Ne plus jamais recommencer Guerre horrible Le reste du monde s’en souviendra Et surtout toi église qui as vu ce massacre Ces personnes sans cœur Cette église en ruine lieu de tristesse et de recueillement Détruite de l’intérieur.

La Vie de la Machine à coudre

Alexandre

La Vie de la Machine à coudre

Léo

Inventaire

Cinquante carcasses de voitures Soixante dix maisons Une cloche brûlée Vingt couteaux rouillés Douze machines à coudre Une baignoire un puits une église Une poussette Huit montres Quatre camions soixante onze ruines Une rame de métro Une croix Deux boulangeries Trois cafés une pharmacie Le noir peignant les murs des rues désertes

Calligramme

Calligramme

Clément R.

PAUVRE ORADOUR

Un corbeau Trois magasins détruits Cinq machines à coudre Et une église en ruine Une vingtaine de voitures brûlées Une cloche fondue Deux garages et beaucoup de pneus Un grand cimetière Encore des corbeaux Trois fleurs Et 642 morts

Pascale

Tu frissonnes, tu trembles

Mon Puits,tu es là, seul...

Mon puits, tu es là, seul. Cela fait tellement de temps. On t’a abandonné, il y a longtemps. Tu es oublié, seul, triste ! Tout cela par peur de ta profondeur insondable, considérable, maximale, abyssale ! Les gens te prennent maintenant en photo comme une œuvre d’art, un mémorial ! Alors que tu reposes ici et tu pleures. Tu n’es pas un «objet mémoire» ! Tu ne voudrais pas témoigner, tu voudrais qu’on se serve de toi comme on le faisait autrefois. Tu ne veux pas rappeler le passé, tu veux l’oublier. Tu frissonnes Tu trembles Tu cries Tu hurles Mais personne ne t’entend, Tu es là, cavité circulaire, seule depuis une éternité… Bouche béante qui hurle pour la fin des temps.

Jules V

Dans un village, une église

Dans un village Une église Une table en bois Deux autels de pierre Une armoire en bois Un mémorial Des ruines Quelques lunettes Quelques vieux vélos Quelques montres Deux seaux en fer Trop de tombes Trop de morts Une voiture rouillée Un peu de rouille Pas assez de portail Peu de meubles Une poutre Et hors de ce village…

à toi, V.

Titre: All The Regrets Auteur: Loik Brédolèse Source: https://soundcloud.com/blurturtle Licence: https://creativecommons.org/licenses/by/4.0/deed.fr Téléchargement (5MB): https://auboutdufil.com/?id=532

Charles baudelaire, jacques prevert, francis ponge, Louis aragon, arthur rimbaud, jose maria de heredia, guillaume apollinaire et jean tardieu qui ont prêté leur métier et leur art à nos élèves pour apprendre a écrire

Avec l'aimable complicité de

fin

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