2025 Gramm 1°- subordonnées CC

Grammaire

Les propositions subordonnées circonstancielles

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Marianne Chomienne. Classe de 1° G 6

INTRODUCTION

Dans ce module, apprenez, révisez et entraînez-vous à la question de grammaire pour l'oral du bac.

La question de grammaire vous sera posée avec le texte à étudier, elle est notée dans la première partie (2 points / 12)

Des vidéos pour réviser

MISSIONS

Revoir la notion

S'entraîner sur les textes du bac

Comme à l'oral

Faire des exercices

Revoir la leçon

LES SUBORDONNÉES ( RAPPELS)

Pas de verbe conjugué : phrase nominale (ou non verbale)

Elles sont séparées uniquement par une virgule, un point virgule ou deux points.

indépendantes juxtaposées

Phrase et propositions

La phrase se définit par sa ponctuation: toute phrase se termine par un point (., ?, !)

1 seul verbe conjugué: phrase simple

Elles sont séparées par une conjonction de coordination (mais, ou, et, ...) ou un adverbe (puis, ensuite, enfin...)

La proposition, elle, est définie par la présence d'un verbe conjugué.

indépendantes coordonnées

Plus d'1 verbe conjugué : phrase complexe

La subordonnée est dépendante de la proposition principale à laquelle elle est attachée (voir 2° partie des révisions)

Chaque verbe est noyau de proposition, il y a donc autant de propositions que de verbes conjugués : 3 cas

proposition principale et proposition(s) subordonnée(s)

Revoir la leçon

LES SUBORDONNÉES ( RAPPELS)

(Voir aussi dans votre manuel page 186)

Elles sont liées à un nom (appelé antécédent)

essentielles : déterminatives

Ce sont les propositions subordonnées relatives

non essentielles: explicatives

Les propositions subordonnées

Elles sont complément essentiel du verbe: COD, COI

Propositions subordonnées complétives

Elles sont liées au verbe

Cas particulier: après un verbe de parole, la subordonnée a une dénomination spécifique si elle correspond à une interrogation.

Ce sont les propositions conjonctives

Proposition interrogative indirecte

Elles ne sont pas essentielles, comme tous les compléments circonstanciels

Propositions subordonnées circonstancielles

Revoir la leçon

lES PROPOSITIONS SUBORDONNÉES CIRCONSTANCIELLES

(Voir aussi dans votre manuel page 236)

LES DIFFÉRENTES CIRCONSTANCES

Autres

Concession

Condition

Conséquence

Cause

But

Elle exprime une opposition entre deux éléments (celui de la subordonnée et celui de la principale) qui sont liés par un lien de cause à effet.

Elle présente l'hypothèse qui permet à ce qui est dit dans la principale de se réaliser.

D'autres circonstances existent, simples à maîtriser:- le temps - l'opposition - la comparaison

Elle dit le but (le résultat voulu) de ce qui est dit dans la principale.

Elle présente le résultat de ce qui est dit dans la principale.

Elle donne l'explication de ce qui est dit dans la principale.

Vers les questions de bac

ANALYSER UNE PHRASE

Une question risque de revenir dans plusieurs de vos oraux: Analysez la phrase : "......." (sur une phrase du texte que vous devez étudier. La méthode est simple. Il faut, dans l'ordre que vous :

- délimitiez les propositions

- identifiez la nature des propositions que vous venez de délimiter : indépendantes (coordonnées, juxtaposées), principale, subordonnée relative ou conjonctive

- précisiez la fonction des subordonnées: complément du nom, COD du verbe (à préciser), Complément circonstanciel de temps, de cause, de conséquence...

Revoir la leçon

LES PROPOSITIONS SUBORDONNÉES CIRCONSTANCIELLES

Pour transformer les propositions subordonnées circonstancielles

en propositions d'une autre nature

en groupe prépositionnel

1 proposition principale + 1 proposition participiale

Groupe Nominal

Groupe verbal à l'infinitf

2 propositions indépendantes coordonnées

2 propositions indépendantesjuxtaposées

1 proposition principale + 1 proposition relative

Faire des exercices!

exercice 2quiz sur les subordonnéescirconstan- cielles

exercice 1identifier les propositions

exercice 4identifier la circonstance (2)

exercice 3identifier la circonstance (1)

S'entraîner sur les textes du bac

L'Abbé Prévost Manon Lescaut

Entretiens sur la pluralité des mondes

Grammaire du Français

Rimbaud, Cahiers de Douai

Ruy Blas

QUENEAU, Zazie dans le métro

MOLIÈRE. Dom Juan

MUSSET On ne badine pas avec l'amour

Henri MICHAUX

LA FONTAINE

Flaubert. Madame Bovary

CENDRARS, Sonnets dénaturés

CORNEILLE Le Menteur

FONTENELLE

Question 1

Analysez la proposition subordonnée circonstancielle dans cette phrase.

Et, comme elle vous trouve immensément naïf, Tout en faisant trotter ses petites bottines, Elle se tourne, alerte et d'un mouvement vif (Rimbaud)

"comme elle vous trouve" : c'est une subordonnée de comparaison introduite par "comme"

"comme elle vous trouve immensément naïf": il s'agit d'un subrodonnée de manière.

"comme elle vous trouve immensément naïf" est une subordonnée de cause.

Non, non, non

Il faut vraiment maîtriser les différentes nuances circonstancielles pour être capable de les reconnaître.

Recommence

C'est cela

N'hésitez pas à lire la proposition subordonnée complète et à préciser aussi quelle est la principale.

Question 2

Sans changer le sens de la phrase,réécrivez-les propositions pour que la proposition subordonnée exprime la conséquence

hier, tu as refusé de faire un tour de jardin, parce que tu voyais en moi un mari dont tu ne voulais pas. ( Musset)

"hier, tu voyais en moi un mari dont tu ne voulais pas si bien que tu as refusé de faire un tour de jardin. "

"Comme hier, tu as refusé de faire un tour de jardin, tu voyais en moi un mari dont tu ne voulais pas. ."

"hier, tu as refusé de faire un tour de jardin, en effet tu voyais en moi un mari dont tu ne voulais pas.."

Oui, c'est juste.

Réponse incorrecte

Ce n'est pas la proposition subordonnée circonstancielle demandée: c'est toujours une subordonnée de cause.

Recommence.

Inexact

Ce n'est pas une proposition subordonnée circonstancielles puisque "en effet" est un adverbe, il coordonne les 2 propositions.

Recommence

Question 3

Quelle est la proposition subordonnée dans la phrase ci-contre? S'agit-il d'une subordonnée circonstancielle?

"Je me tournai vers le coin de la chambre où ce jeune homme était assis.." (L'abbé Prévost)

ce jeune homme était assis", c'est une relative de lieu.

"vers le coin de la chambre où ce jeune homme était assis", c'est une proposition subordonnée circonstancielle de lieu.

"où ce jeune homme était assis", ce n'est pas une circonstancielle mais une proposition subordonnée relative.

Réponse incorrecte

Recommence.

Oui, c'est juste.

Question 4

Analysez la phrase ci-contre .

si cela était vrai, on le verrait bien (Musset)

"si cela était vrai" est une circonstancielle de condition, la principal est la proposition suivante: "on le verrait bien".

Il y a 2 verbes conjugués, "était" et "verrait", c'est donc une phrase complexe. La virgule qui sépare les 2 propositions fait qu'elles sont juxtaposées

"si cela était vrai "est une proposition interrogative indirecte, "on le verrait bien" sa principale. .

Oui

Non, non, non

Attention à l'organisation des propositions: - on cherche d'abord les mots subordonnants : toute proposition commençant par un subordonnant est une subordonnée - on vérifie ensuite s'il y a un mot de liaison (coordination ou adverbe : si oui, les propositions sont coordonnées - enfin s'il n'y a qu'une ponctuation - , : ; - elles sont juxtaposées

Non, non, non

Recommence

Question 5

Relevez la proposition subordonnée. De quelle circonstance s'agit-il?

"mais comme les hommes ne se dégoûtent point du vice, il ne faut pas aussi se lasser de leur reprocher " (La Bruyère)

"comme les hommes ne se dégoûtent point du vice". Il s'agit d'une subordonnée de cause.

"comme les hommes". C'est une subordonnée de comparaison.

"il ne faut pas aussi se lasser". C'est un C.C. d'opposition.

Inexact

Recommence

C'est cela

Ce n'est pas ça.

Recommence.

Y a-t-il une ou plusieurs propositions subordonnées dans la phrase ci-contre? Quelle circonstance pouvez-vous identifier?

Question 6

Vous avez trop d’esprit et de raison pour me mettre dans cette nécessité; mais je veux être libre, et j’y suis si résolu que, si mon projet manque par votre faute, c’est fait de vous absolument. (L'Abbé Prévost)

"si mon projet manque par votre faute" est une subordonnée conjonctive, complément circonstanciel d'hypothèse.

"trop d'esprit et de raison pour me mettre dans cette nécessité" et "si résolu que c'est fait de vous absolument"expriment la conséquence

"si... que c'est fait de vous absolument" est une subordonnée conjoctive de conséquence. Il y a aussi une subordonnée de condition "si mon projet manque par votre faute".

Oui

Non, non

Réessaie.

Question 7

Sans changer le sens de la phrase, réécrivez les propositions pour que l'une d'elle soit une subordonnée circonstancielle que vous analyserez

Nature, berce-le chaudement : il a froid.

Nature, berce-le chaudement lui qui a froid.C'est une relative qui exprime la cause

Nature, berce-le chaudement parce qu'il a froid.C'est une surbordonnée conjonctive de cause

Pour exprimer la cause, on peut employer "car"": Nature, berce-le chaudement car il a froid.

Oui, c'est juste.

Réponse incorrecte

Ce n'est pas la proposition subordonnée circonstancielle demandée: c'est une proposition coordonnée .

Recommence.

Réponse incorrecte

Les propositions relatives sont complément de l'antécédent (ici le pronom "lui"), pas des compléments circonstanciels.

Recommence.

Question 8

Remplacez la juxtaposition par une subordination et analysez la subordonnée que vous avez formée.

J’ai un petit ordre à donner ; je viens vous trouver dans un quart d’heure. (Molière)

J’ai un petit ordre à donner , puis je viens vous trouver dans un quart d’heure. C'est une subordonnée de temps

J’ai un petit ordre à donner mais je viens vous trouver dans un quart d’heure.C'est une subordonnée d'opposition.

Comme j’ai un petit ordre à donner,; je viens vous trouver dans un quart d’heure.C'est une subordonnée de cause

Non, non, non

Recommence

C'est cela

N'hésitez pas à lire la proposition subordonnée complète et à préciser aussi quelle est la principale.

Question 4

Transformez en subordonnée circonstancielle le groupe de mots souligné .

Quelques coups de siphon bien appliqués éliminèrent de la compétition quelques personnes au crâne fragile. (Queneau)

"Quelques coups de siphon bien appliqués éliminèrent de la compétition quelques personnes qui avaient le crâne fragile."

"Quelques coups de siphon bien appliqués éliminèrent de la compétition quelques personnes parce que leur crâne était fragile."

"Quelques coups de siphon parce qu'ils furent bien appliqués éliminèrent de la compétition quelques personnes au crâne fragile."

Oui

Non, non, non

Question 10

Transformez le goupe souligné en une proposition subordonnée. De quelle circonstance s'agit-il?

"je n'osais pousser le moindre souffle, dans la crainte de troubler son sommeil." (L'abbé Prévost)

"parce que j'avais peur de troubler son sommeil". C'est un C.C. de cause.

"pour que son sommeil ne soit pas troublé", c'est une subordonnée conjonctive de but

"si bien que son sommeil n'en fut pas troublé". C'est une subordonnée de conséquence.

Inexact

Recommence

C'est cela

Il y a parfois plusieurs réponses possibles comme ici

Bravo, c'était le dernier exercice!

Question 1

Analysez la syntaxe de cette phrase.

"hier, tu as refusé de faire un tour de jardin, parce que tu voyais en moi un mari dont tu ne voulais pas." (Musset)

"parce que "introduit une cause, le reste de la phrase est une principale

Il y a deux propositions: la principale puis une subordonnée circonstancielle de cause.

le début de la phrase est la principale, elle est suivie d'une subordonnée de cause introduite par parce que, à l'intérieur de laquelle il y a une relative, "dont tu ne voulais pas"

Non, non, non

Recommence

C'est cela

N'hésitez pas à lire les propositions subordonnées l'une après l'autre et à préciser aussi quelle est la principale.

Question 2

Sans changer le sens général,réécrivez-ces propositions pour que la proposition subordonnée exprime la cause

"Puis tu te sentiras la joue égratignée… Un petit baiser, comme une folle araignée, Te courra par le cou…"

Puis tu te sentiras la joue égratignée parce qu'un petit baiser, comme une folle araignée, te courra par le cou…

Puis tu te sentiras la joue égratignée comme un petit baiser, comme une folle araignée, te courra par le cou…

Puis tu te sentiras la joue égratignée quand un petit baiser, comme une folle araignée te courra par le cou…

Oui, c'est juste.

Réponse incorrecte

Recommence.

Question 3

Quelle est la proposition subordonnée dans la phrase ci-contre? S'agit-il d'une subordonnée circonstancielle?

"Et je les écoutais, assis au bord des routes,Ces bons soirs de septembre où je sentais des gouttes De rosée à mon front, comme un vin de vigueur." (Rimbaud)

"comme un vin de vigueur", c'est une proposition subordonnée circonstancielle de comparaison.

" assis au bord des routes", c'est une proposition participiale complément circonstanciel de manière

"où je sentais des gouttes", ce n'est pas une circonstancielle mais une proposition subordonnée relative.

Réponse incorrecte

Recommence.

Oui, c'est juste.

Inexact

Ce n'est pas une proposition participiale car le sujet de "assis" est aussi sujet de la principale "je"

Recommence

Question 4

voilà ta main et voilà la mienne, et pour qu’elles restent unies ainsi jusqu’au dernier soupir, crois-tu qu’il nous faille un prêtre ? (Musset)

Analysez la proposition subordonnée circonstancielle .

"crois-tu qu'il nous faille un prêtre? " est une subordonnée d'interrogation. "

"que" introduit une proposition subordonnée de concession .

"pour qu'elle restent unies ainsi jusqu'au dernier soupir" est une subordonnée de but.

Oui

Non, non, non

Question 5

Relevez la proposition subordonnée. De quelle circonstance s'agit-il?

"mais comme les hommes ne se dégoûtent point du vice, il ne faut pas aussi se lasser de leur reprocher " (La Bruyère)

"comme les hommes ne se dégoûtent point du vice". Il s'agit d'une subordonnée de cause.

"comme les hommes". C'est une subordonnée de comparaison.

"il ne faut pas aussi se lasser". C'est un C.C. d'opposition.

Inexact

Recommence

C'est cela

Ce n'est pas ça.

Recommence.

Y a-t-il une ou plusieurs propositions subordonnées dans la phrase ci-contre? Quelle circonstance pouvez-vous identifier?

Question 6

je découvris dans ses yeux, dans sa figure et dans tous ses mouvements, un air si fin et si noble que je me sentis porté naturellement à lui vouloir du bien. (L'abbé Prévost)

"si (...) que je me sentis..." est une subordonnée consécutive et "à lui vouloir du bien"exprime le but.

"que je me sentis porté naturellement à lui vouloir du bien" est une subordonnée conjonctive, complément d'objet de l'adjectif noble.

"si (...) que je me sentis porté à lui vouloir du bien" exprime la conséquence.

Oui

Non, non

Réessaie.

Question 7

Sans changer le sens de la phrase, réécrivez les propositions pour que l'une d'elle soit une subordonnée circonstancielle que vous analyserez

"Ton amour m’eût donné la vie, mais ton amitié m’en consolera." (Musset)

"Ton amour m’eût donné la vie, donc ton amitié m’en consolera..' C'est une subordonnée de conséquence

"C'est ton amour qui m’eût donné la vie, mais ton amitié m’en consolera."C'est la cause

Ton amour m’eût donné la vie, alors que ton amitié m’en consolera." C'est une surbordonnée conjonctive d'opposition

Oui, c'est juste.

Réponse incorrecte

Recommence.

Réponse incorrecte

Les propositions relatives sont complément de l'antécédent (ici "l'amour"), pas des compléments circonstanciels.

Recommence.

Question 8

Transformez l'une des deux propositions en subordonnée circonstancielle et analysez-la.

Je l'ai interrogée plusieurs fois sur la route, elle s'obstine à ne me rien répondre. (L'Abbé Prévost)

Je l'ai interrogée plusieurs fois sur la route, mais elle s'obstine à ne me rien répondre. C'est une subordonnée d'opposition

Je l'ai interrogée plusieurs fois sur la route parce qu'elle s'obstine à ne me rien répondre. . C'est une subordonnée de cause

Bien que l'ai interrogée plusieurs fois sur la route, elle s'obstine à ne me rien répondre. C'est une subordonnée de concession.

Non, non, non

Recommence

Non, non, non

La phrase est grammaticalement juste mais vous en avez transformé le sens

Recommence

C'est cela

N'hésitez pas à lire la proposition subordonnée complète et à préciser aussi quelle est la principale.

Question 9

On me croit plus de bien que je n’en possède. (La Bruyère)

Analysez la phrase ci-contre .

"On me croit plus de bien"est la proposition principale, "plus (...) que je n'en possède". est une subordonnée conjonctive CC de comparaison

"que je n'en possède" est une proposition subordonnée relative.

"plus (...) que introduit une subordonnée de comparaison.

Oui

Non, non, non

Question 10

Transformez la phrase soulignée en une proposition subordonnée. De quelle circonstance s'agit-il?

"L'air me semble un peu froid. Faites-moi le plaisir de fermer la croisée." (L'abbé Prévost)

"L'air me semble un peu froid, c'est pourquoi vous me ferez le plaisir de fermer la croisée". C'est un C.C. de conséquence.

"L'air me semble un peu froid,alors faites-moi le plaisir de fermer la croisée.". C'est une subordonnée de conséquence.

"L'air me semble tellement froid que vous me ferez le plaisir de fermer la croisée.", c'est une subordonnée conjonctive de conséquence

Inexact

Recommence

C'est cela

Il y a parfois plusieurs réponses possibles comme ici

Bravo, c'était le dernier exercice!

Comme à l'oral

Quelques exemples de questions pour le bac

Texte d'étude: Cahiers de Douai, texte 3 Question de grammaire: : "Petit Poucet rêveur, j’égrenais dans ma course des rimes." Transformez le groupe de mots souligné en proposition subordonnée circonstancielle et analysez-la.

Texte d'étude: Les Caractères, texte 3 Question de grammaire: : " si l'on en croit sa gravité et l'élévation de sa voix, il les reçoit, leur donne audience, les congédie ." Analysez la construction de cette phrase

Texte d'étude : La Bruyère, Les Caractères, texte 1 Question de grammaire: : "On annonce, au moment qu’il parle, un cavalier, qui de sa seule présence démonte la batterie de l’homme de ville : il se lève déconcerté et chagrin, et va dire ailleurs qu’il veut se remarier." Remplacez les deux points par une conjonction de subordination et précisez quelle subordonnée de circonstance vous avez créée.

Texte d'étude: Michaux, "Intervention" Question de grammaire: "Autrefois, j’avais trop le respect de la nature. Je me mettais devant les choses et les paysages. " Faites de la deuxième phrase la proposition subordonnée de la première et analysez cette subordonnée.

Voila... c'est fini!!

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