Quiz AIR

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Quelle quantité d'air respirons-nous en moyenne en 24h ?

AIR, l'expo qui inspire

1/5

24 mètres cube

16 mètres cube

12 mètres cube

C'est cela, on respire environ 16 mètres cube d'air par jour !

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1/5

Perdu, on respire environ 16 mètres cube d'air par jour !

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1/5

En ville, qui est le plus exposé à la pollution atmosphérique ?

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2/5

le ou la piéton·ne

l'automobiliste

le ou la cycliste

La voiture n’est pas un cocon protecteur. Dans l’automobile, les prises d’air sont proches des pots d’échappement des véhicules voisins. Les facteurs qui augmentent l’exposition à la pollution en voiture sont les périodes de pointe du trafic, une forte température (accentuation de l’évaporation des hydrocarbures dans l’habitacle), les tunnels (confinement) et les camions (le niveau de pollution peut être multiplié par 4 en quelques secondes). Les cyclistes, les piéton·ne·s et même les enfants en poussette sont moins exposé·e·s que les automobilistes.

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2/5

La voiture n’est pas un cocon protecteur. Dans l’automobile, les prises d’air sont proches des pots d’échappement des véhicules voisins. Les facteurs qui augmentent l’exposition à la pollution en voiture sont les périodes de pointe du trafic, une forte température (accentuation de l’évaporation des hydrocarbures dans l’habitacle), les tunnels (confinement) et les camions (le niveau de pollution peut être multiplié par 4 en quelques secondes). Les cyclistes, les piéton·ne·s et même les enfants en poussette sont moins exposé·e·s que les automobilistes.

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2/5

Y a-t-il de l'air dans l'espace ?

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3/5

On ne sait pas

Un petit peu

Pas du tout

L’espace est par définition la zone de l’univers située au-delà de l’atmosphère. Il n’y a donc pas d’air dans l’espace.

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3/5

L’espace est par définition la zone de l’univers située au-delà de l’atmosphère. Il n’y a donc pas d’air dans l’espace.

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3/5

Plus les particules polluantes sont petites, plus elles sont arrêtées par nos défenses naturelles :

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4/5

Faux

Vrai

Effectivement, c'est faux ! Le corps dispose de mécanismes biologiques naturels d’élimination des polluants. Ceux-ci sont piégés dans le mucus (nez, bronches), qui est ensuite évacué par la toux ou la déglutition. Plus les particules sont fines, plus elles pénètrent et se déposent profondément.

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4/5

C’est même l’inverse qui se produit. Le corps dispose de mécanismes biologiques naturels d’élimination des polluants. Ceux-ci sont piégés dans le mucus (nez, bronches), qui est ensuite évacué par la toux ou la déglutition. Plus les particules sont fines, plus elles pénètrent et se déposent profondément.

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4/5

Où et quand a eu lieu le pic de pollution qui a marqué l’Histoire, causant plus de 4 000 morts directes ?

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5/5

Dehli1984

Londres 1952

New York 1870

Le Great Smog (grande fumée) de Londres en 1952 est un épisode de pollution resté tristement célèbre. Il est l’un des plus significatifs de l’Histoire en termes d’impact sur la recherche environnementale, sur la réglementation, ainsi que sur la sensibilisation du public à la relation entre la santé et la qualité de l’air. Le jeudi 4 décembre 1952, un anticyclone s’installe sur la ville de Londres sans un souffle de vent, provoquant une inversion de température, avec de l’air très froid pris au piège sous un « couvercle » d’air chaud. Le brouillard résultant, mêlé à la fumée des cheminées (utilisant un charbon de basse qualité produisant du soufre) et aux particules émises par les voitures et les bus venant de remplacer le tramway, se traduit par l’apparition d’un smog persistant. L’absence de vent empêcha qu’il se disperse et provoqua une concentration d’agents polluants sans précédent pendant 4 jours.

Résultats

AIR, l'expo qui inspire

5/5

Le Great Smog (grande fumée) de Londres en 1952 est un épisode de pollution resté tristement célèbre. Il est l’un des plus significatifs de l’Histoire en termes d’impact sur la recherche environnementale, sur la réglementation, ainsi que sur la sensibilisation du public à la relation entre la santé et la qualité de l’air. Le jeudi 4 décembre 1952, un anticyclone s’installe sur la ville de Londres sans un souffle de vent, provoquant une inversion de température, avec de l’air très froid pris au piège sous un « couvercle » d’air chaud. Le brouillard résultant, mêlé à la fumée des cheminées (utilisant un charbon de basse qualité produisant du soufre) et aux particules émises par les voitures et les bus venant de remplacer le tramway, se traduit par l’apparition d’un smog persistant. L’absence de vent empêcha qu’il se disperse et provoqua une concentration d’agents polluants sans précédent pendant 4 jours.

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5/5

Félicitations, tu es arrivé·e au bout de ce quiz sur AIR, l'expo qui inspire ! On espère que tu as appris des choses intéressantes.Demain, deux de nos médiatrices partageront avec nous des expériences faciles et amusantes sur l'air pour continuer à apprendre. En attendant, tu peux rejouer à ce quiz pour parfaire ton score ou aller voir les autres contenus Sciences à la maison sur notre site : http://www.exploradome.fr/explorez-a-la-maison

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