Immunité adaptative 1ère Spé

JDA 1ère Spé

Séquence 2 : le fonctionnement du système immunitaire humain

La 2ème ligne de défense : l'immunité adaptative

Comment l'immunité adaptative permet-elle l'élimination d'un pathogène ?

Intro

L'immunité innée est la 1ère réaction mise en oeuvre par notre corps pour se défendre contre les micro-organismes tels que les bactéries ou les virus. Cependant, dans certains cas, cette réaction ne suffit pas. Par ailleurs, notre organisme doit également se défendre contre certaines de ses cellules qui ont été modifiées. Une deuxième ligne de défense est alors nécessaire. Cette dernière, plus spécifique du pathogène, existe chez tous les vertébrés.

C'est parti

Nathan, 1ère spécialité, 2019 (p394)

L'immunité adaptative

01

03

Les caractéristiques de la reP. Immunitaire adaptative

Informations

médiation cellulaire

04

02

Vidéo

Médiation humorale

Régulations et coopération cellulaire

Informations à lire :

Bonjour à tous ! Vous trouverez dans ce Genially différentes activités à réaliser à votre rythme d'ici vendredi 17 avril, veille des vacances, ce qui vous laisse deux grosses semaines. Les séances de classe virtuelle qui nous restent à faire d'ici là seront consacrées aux révisions et pourront également servir à vous apporter de l'aide dans ce travail si vous en avez besoin. Nous ferons un bilan là-dessus le vendredi 17 avril Le travail terminé sera à déposer dans le Cloud de votre espace de classe dans le dossier "Immunité adaptative". Bon courage !

Première partie

LES CARACTÉRISTIQUES DE LA REPONSE IMMUNITAIRE ADAPTATIVE

SUITE

01 Les caractéristiques de la réponse immunitaire adaptative

01

03

02

04

Partie 1

Partie 2

Partie 3

Partie 4

HOME

LA GRIPPE SAISONNIÈRE, CONSÉQUENCE D'UNE INFECTION VIRALE

Chaque hiver survient une épidémie de grippe suivie en France par le réseau de surveillance Sentinelles-Inserm.En 1918, la grippe espagnole a tué 50 millions de personnes sur la planète : trois fois plus que la Première Guerre mondiale, en seulement quelques mois. Les virus responsables de la grippe se transmettent par les aérosols émis par la toux. La maladie apparaît brutalement après une courte incubation de 1 à 2 jours, avec une fièvre à 40 °C accompagnée de douleurs musculaires diffuses, de céphalées et de symptômes respiratoires (écoulement nasal, toux sèche, mal de gorge).La plupart du temps, la grippe guérit spontanément 3 à 4 jours plus tard. Dans certains cas, des complications graves, voire mortelles, peuvent survenir, notamment chez les personnes immunodéprimées, les nourrissons ou les personnes âgées.

SUITE

Etude de documents

Document 2

Cellules sanguines chez un individu infecté ou non par la grippe

Document 1

La réponse à une infection virale

Questions :

1) Quels sont les acteurs moléculaires et cellulaires de la réponse immunitaire ? 2) Quelles sont les caractéristiques de la réponse immunitaire adaptative ?

Document 4

Document 3

Coopération des lymphocytes

Expériences historiques

Je me teste avant de passer à la suite :

Je me teste avant de passer à la suite :

L'immunité adaptative est assurée par l'action : Des lymphocytes uniquementDes anticorps uniquement Des anticorps ou des lymphocytes Des anticorps et des lymphocytes

L'immunité adaptative : Est délenchée par la réponse immunitaire innéeEst indépendante de l'immunité innéeEst plus rapide à se mettre en place que l'immunité innéeEst une immunité non spécifique

Les acteurs principaux de l'immunité adaptative sont les anticorps (acteurs cellulaires) et les lymphocytes (acteurs moléculaires) VraiFaux

L’expérience historique de von Behring a mis en évidence la spécificité de la défense immunitaire assurée par le sérum : VraiFaux

Validation réponses

Deuxième partie

La réponse immunitaire humorale*

SUITE

* liée à la lymphe ou au sang et à la production d'anticorps.

02 La réponse immunitaire humorale

01

02

03

04

Partie 1

Partie 2

Partie 3

Partie 4

HOME

Je me teste avant de passer à la partie 3 :

Mode d'action et spécificité des anticorps

Production et origine de la diversité des anticorps

Mise en situation et recherche à mener

Mise en situation et recherche à mener

Une épidémie frappe le village dont vous êtes médecin. Tout le monde court après les mouchoirs !! Mais personne ne sait quel est ce pathogène... VOUS ALLEZ DEVOIR MENEZ L'ENQUÊTE ET FAIRE VOTRE DIAGNOSTIC !

C'est parti !

L’intrusion d’un antigène dans le milieu intérieur, déclenche la production d’anticorps spécifiques de cet antigène. On dispose d’une solution de sérum d’un malade ayant de la fièvre, des maux de tête et d’une forte toux. (Pour rappel : le sérum est du sang débarrassé des cellules sanguines et des protéines de coagulation). On cherche à savoir de quelle maladie est atteint le patient.

Vous, médecin du vllage

aller au labo

Bonjour Docteur Dans un premier temps, il nous faut concevoir une stratégie afin de déterminer l'antigène à l'origine de cette épidémie dans le village ! Cet antigène peut être porté par le virus A, le virus B, le virus C ou le virus D !! Vous trouverez une explication sur le principe de la méthode d'Ouchterlony en cliquant sur la l'ordinateur et le matériel disponible en cliquant sur l'étoile !!

Votre assistant, M. Bird

J'ai terminé ma stratégie, je passe à la suite

Je sais que le sérum du patient contient des anticorps spécifiques de l’antigène du pathogène et que ces anticorps sont capables de s’y fixer. Nous allons pouvoir déterminer le pathohène qui sévit dans le village en effectuant le test d’0uchterlony.

Réalisation d'un test Ouchterlony

Première étape, j'utilise le gabarit de perçage ci-contre pour creuser à l’aide du tube emporte-pièce les puits nécessaires dans le gel d’agar et j'élimine les disques de gel avec le cure-dent si nécessaire.

Gabarit de perçage

Sérum S d'un patient

Virus Ainactif

Virus Binactif

Virus Cinactif

Virus Dinactif

Réalisation d'un test Ouchterlony

Ensuite, je remplis les différents puits sans déborder : chaque produit devra être prélevé avec un compte-goutte propre, puis être déposé (2 à 3 gouttes) dans les puits sans débordement ni bulles et sans endommager le gel d’agar

S : Sérum du malade ; A : Souche du virus A inactif ; B : Souche du virus B inactif ; C : Souche du virus C inactif ; D : Souche du virus D inactif

Réalisation d'un test Ouchterlony

Voici le résultat :

1) Réalisez un schéma d’interprétation des résultats à l’échelle moléculaire en utilisant des symboles judicieusement choisis pour les anticorps (Ac) et les antigènes Ag.

Anticorps présents dans le sérum

Modèles possibles pour les antigènes :

2) Exploitez les données obtenues afin de déterminer quel est le virus qui touche les habitants du village dont vous êtes médecin.

Voici le travail à effectuer :

Je me teste avant de passer à la partie 3 :

Les récepteurs des Lymphocytes B correspondant à un AG : - Sont produits après contact avec cet AG - Sont synthétisés après réarrangement génique dans le thymus - Reconnaissent l'Ag présenté par une molécule du CMH - Ont la même structure que les AC secrétés après stimulation des LB par cet AG

La reconnaisance de l'AG par l'AC est permise par : - La partie variable de l'AC - La partie constante de l'AC - La chaîne lourde uniquement de l'AC - La chaîne légère uniquement de l'AC

Un anticorps est constitué : - de 2 chaînes légères et 2 chaînes lourdes toutes identiques - en partie de 2 chaînes lourdes identiques entre elles - de 2 chaînes lourdes sans partie constante d'un anticorps à l'autre - en partie de 2 chaînes lourdes identiques d'un anticorps à l'autre

La détection d'un antigène par un lymphocyte B déclenche une sécrétion immédiate d'anticorps spécifique par ce lymphocyte : VraiFaux

Validation réponses

Mode d'action et spécificité des anticorps

SUITE

MODE D'ACTION ET SPÉCIFICITÉ DES ANTICORPS

Ressource 1

Modélisation d'un anticorps

Questions :

1) Justifier l'affirmation ci-dessous en exploitant les ressources 1 et 2. 2) Réaliser un schéma expliquant comment les anticorps peuvent éliminer un agent infectieux (ressource 3).

Ressource 2

Ressource 3

Variabilité et spécificité des anticorps

Mode d'action des anticorps

« Un anticorps est une protéine constituées de 4 chaînes liées entre elles et identiques 2 à 2 : les chaînes légères et les chaînes lourdes. Chacune de ces chaines comporte une partie constante (identique entre anticorps différents) et une partie variable (spécifique à chaque anticorps). Les parties variables des chaines lourdes et légères forment le site de fixation à un antigène spécifique»

Visualisation d'un modèle entier d'anticorps

Dans la librairie de molécules, rechercher "immunoglobuline" puis sélectionner l'un des deux modèles proposés. Dans l'onglet "Commandes", choisir la représentation par rubans et la coloration par chaînes. Survolez les zones de la molécule pour avoir des informations.

Variabilité et spécificité des anticorps

Variabilité des 120 premiers acides aminés entre différents anticorps d'un organsime (0 étant la partie terminale)

Observation de fragments d'anticorps liés à leur antigène spécifique : Rendez-vous sur le site libmol.org. Dans la librairie de molécules, ouvrir les modèles moléculaires suivants : "anticorps anti -protéine 24 du virus du SIDA" et "anticorps anti -virus de la grippe" - Représentation en rubans et coloration par chaîne - Afficher les intéractions entre l'antigène et l'anticorps. - Cliquer sur "Créer une nouvelle représentation"

Les autres acides aminés des chaînes sont peu variables d'un anticorps à l'autre. Les zones repérées sur les graphiques sont positionnées les unes à côté des autres et correspondent aux zones de fixation à l'antigène

Légende : bordeaux = chaîne H (lourde) ; jaune = chaîne L (légère) ; bleu = antigène

Doc2. Des récepteurs de la partie constante des anticorps. Les macrophages à leur surface possèdent des récepteurs qui se fixent sur la partie constante des anticorps. Ces récepteurs augmentent l’efficacité de la phagocytose de l’agent infectieux lors de la réponse adaptative.

Mode d'action des anticorps

Doc3. Étude de l’action d’un anticorps anti-hémagglutinine. En présence de concentrations croissantes d’un anticorps anti-hémagglutinine produit lors d’une infection grippale, on mesure les taux de fixation du virus de la grippe sur des cellules en culture et le taux d’infection de ces cellules. Les résultats sont exprimés en pourcentage du taux de liaison ou d’infection observé en l’absence d’anticorps.

Doc1. Efficacité de la phagocytose avec ou sans anticorps. On mesure la capacité phagocytaire d’une lignée de macrophages humains in vitro en présence d’un champignon (Candida albicans) qui est incubée ou non avec un anticorps spécifique (anticorps dirigés contre ce champignon).

Doc4. Le complexe formé par des anticorps anti-hémagglutinine. L’anticorps est celui qui a été étudié doc. 3. Les portions de l’hémagglutinine représentés en jaune se fixent sur un récepteur présent à la surface de la membrane plasmique des cellules cibles du virus. Cette fixation est indispensable à l’infection de ces cellules par le virus.

L'origine des anticorps

Plasmocytes, MEB

SUITE

L'origine des anticorps

Ressource 1

Ressource 2

Question :

Cellules produisants les anticorps

Quantité et spécificité des anticorps produits

Présenter, sous la forme de communication de votre choix, les mécanismes à l'origine de la diversité des anticorps et l'efficacité de leur production.

Ressource 3

Ressource 4

Mécanisme à l'origine de la diversité des anticorps

Estimation de la diversité des anticorps produits

Troisième partie

La réponse immunitaire cellulaire

Les virus du Sida (en bleu) bourgeonnent à partir de la membrane d'un LT qu'ils viennent d'infecter (MET)

Les anticorps produits par les plasmocytes ne sont efficaces que si le virus est circulant ...

SUITE

03 La réponse immunitaire cellulaire

01

02

03

04

Partie 1

Partie 2

Partie 3

Partie 4

HOME

Video ET EXPERIENCE

Après avoir regardé la vidéo ci-contre et l'expérience présentée, rédiger un court texte expliquant comment les cellules infectées ou anormales de l'organisme sont éliminées par les lymphocytes.

Je me teste avant de passer à la suite :

Expérience

Je me teste avant de passer à la suite :

Les lymphocytes T CD8 : 1. Se spécialisent en LT 8 Helper (ou auxiliaires), sécréteurs d'Interleukine 2. Se spécialisent en plasmocytes sécréteurs d'anticorps 3. Se spécialisent en lymphocytes cytotoxiques dans les ganglions lymphatiques 4. Ne sont pas spécialisés

Quelle est la proposition correcte ? 1. Les lymphocytes T cytotoxiques détruisent les cellules infectées par des bactéries 2. Les lymphocytes T cytotoxiques détruisent les virus 3. Un virus peut se reproduire sans cellule 4. Les lymphocytes T cytotoxiques détruisent les cellules infectées par des virus

L'expérience présentée permet de de démontrer que les LT cytotoxiques qui se sont différenciés sont spécifiques et ne peuvent détruire que les cellules infectées par le même virus que celui qui a déclenché la réaction immunitaire adaptative : 1: Faux 2. Vrai

Les lymphocytes T CD8 ne reconnaissent un antigène que s'il est en association avec une molécule du CMH 1: Vrai 2. Faux

Validation réponses

Quatrième partie

RÉGULATIONS ET COOPÉRATION CELLULAIRE

SUITE

04 Régulation et coopération cellulaire

01

02

03

04

Partie 1

Partie 2

Partie 4

Partie 3

HOME

Ressource 1

Ressource 2

Le rôle des lymphocytes LT CD4+

Le rôle de la cytokine Interleukine

Question à préparer

Présenter, sous la forme d'un tableau ou d'un schéma, les différentes coopérations cellulaires mises en évidence au sein de l'immunité ou avec le reste de l'organisme.

Ressource 3

Ressource 4

La coopération cellulaire au sein de l'organisme

La coopération cellulaire avec l'immunité innée

VIDEO

Chapitre

La 2ème ligne de défense : l'immunité adaptative

Comment l'immunité adaptative permet-elle l'élimination d'un pathogène ?

Intro

L'immunité innée est la 1ère réaction mise en oeuvre par notre corps pour se défendre contre les micro-organismes tels que les bactéries ou les virus. Cependant, dans certains cas, cette réaction ne suffit pas. Notre organisme doit également se défendre contre certaines de ses cellules qui ont été modifiées. Une deuxième ligne de défense est alors nécessaire. Cette dernière, plus spécifique du pathogène, existe chez tous les vertébrés.

C'est parti

Nathan, 1ère spécialité, 2019 (p394)

L'immunité adaptative

Chapitre 12

01

03

Les caractéristiques de la reP. Immunitaire adaptative

Informations

médiation cellulaire

02

04

Vidéo

Médiation humorale

Régulations et coopération cellulaire

Informations à lire :

Bonjour à tous ! Vous trouverez dans ce Genially différentes activités à réaliser en autonomie et à votre rythme. Pour compléter ce support, pourront s'ajouter des classes virtuelles, des vidéos envoyeés, des exercices, etc. A noter impérativement dans le cours : Les titres et les problématiques / questionnement Les consignes Les corrections envoyées Traces de recherche Bon courage !

Première partie

LES CARACTÉRISTIQUES DE LA REPONSE IMMUNITAIRE ADAPTATIVE

SUITE

01 Les caractéristiques de la réponse immunitaire adaptative

01

03

02

04

Partie 1

Partie 2

Partie 3

Partie 4

HOME

LA GRIPPE SAISONNIÈRE, CONSÉQUENCE D'UNE INFECTION VIRALE

Chaque hiver survient une épidémie de grippe suivie en France par le réseau de surveillance Sentinelles-Inserm.En 1918, la grippe espagnole a tué 50 millions de personnes sur la planète : trois fois plus que la Première Guerre mondiale, en seulement quelques mois. Les virus responsables de la grippe se transmettent par les aérosols émis par la toux. La maladie apparaît brutalement après une courte incubation de 1 à 2 jours, avec une fièvre à 40 °C accompagnée de douleurs musculaires diffuses, de céphalées et de symptômes respiratoires (écoulement nasal, toux sèche, mal de gorge).La plupart du temps, la grippe guérit spontanément 3 à 4 jours plus tard. Dans certains cas, des complications graves, voire mortelles, peuvent survenir, notamment chez les personnes immunodéprimées, les nourrissons ou les personnes âgées.

SUITE

Etude de documents

Document 2

Cellules sanguines chez un individu infecté ou non par la grippe

Document 1

La réponse à une infection virale

Questions à préparer

1) Déterminez quels sont les acteurs moléculaires et cellulaires de la réponse immunitaire. 2) Identifiez des caractéristiques de la réponse adaptative

Document 3

Expériences historiques

Document 4

Coopération des lymphocytes

Je me teste avant de passer à la suite :

Je me teste avant de passer à la suite :

L'immunité adaptative est assurée par l'action : Des lymphocytes uniquementDes anticorps uniquement Des anticorps ou des lymphocytes Des anticorps et des lymphocytes

L'immunité adaptative : Est délenchée par la réponse immunitaire innéeEst indépendante de l'immunité innéeEst plus rapide à se mettre en place que l'immunité innéeEst une immunité non spécifique

Les acteurs principaux de l'immunité adaptative : des anticorps (acteurs cellulaires) et des lymphocytes (acteurs moléculaires) VraiFaux

L’expérience historique de Von Behring a mis en évidence la spécificité de la défense immunitaire assurée par le sérum : VraiFaux

Validation réponses

Deuxième partie

La réponse immunitaire humorale*

SUITE

* liée à la lymphe ou au sang et à la production d'anticorps.

02 La réponse immunitaire humorale

01

02

03

04

Partie 1

Partie 2

Partie 3

Partie 4

HOME

Mode d'action et spécificité des anticorps

Je me teste avant de passer à la suite :

Production et origine de la diversité des anticorps

Mise en situation et recherche à mener

Mise en situation et recherche à mener

Une épidémie frappe le village dont vous êtes médecin. Tout le monde court après les mouchoirs !! Mais personne ne sait quel est ce pathogène... VOUS ALLEZ DEVOIR MENEZ L'ENQUÊTE ET FAIRE VOTRE DIAGNOSTIC !

C'est parti !

L’intrusion d’un antigène dans le milieu intérieur, déclenche la production d’anticorps spécifiques de cet antigène. On dispose d’une solution de sérum d’un malade ayant de la fièvre, des maux de tête et d’une forte toux. (Pour rappel : le sérum est du sang débarrassé des cellules sanguines et des protéines de coagulation). On cherche à savoir de quelle maladie est atteint le patient.

Vous, médecin du vllage

aller au labo

Bonjour Docteur Dans un premier temps, il nous faut concevoir une stratégie afin de déterminer l'antigène à l'origine de cette épidémie dans le village ! Cela peut être le virus A, le virus B, le virus C ou le virus D !! Vous trouverez une explication sur le principe de la méthode d'Ouchterlony en cliquant sur la l'ordinateur et le matériel disponible en cliquant sur l'étoile !!

Votre assistant, Rufus

J'ai terminé ma stratégie, je passe à la suite

Je sais que le sérum du patient contient des anticorps spécifiques de l’antigène du pathogène et que ces anticorps sont capables de s’y fixer. Nous allons pouvoir déterminer le pathohène qui sévit dans le village en effectuant le test d’0uchterlony.

Réalisation d'un test Ouchterlony

Première étape, j'utilise le gabarit de perçage ci-contre pour creuser à l’aide du tube emporte-pièce les puits nécessaires dans le gel d’agar et j'élimine les disques de gel avec le cure-dent si nécessaire.

Gabarit de perçage

Virus Binactif

Virus Ainactif

Virus Cinactif

Virus Dinactif

Sérum S d'un patient

Réalisation d'un test Ouchterlony

Ensuite, je remplis les différents puits sans déborder : chaque produit devra être prélevé avec un compte-goutte propre, puis être déposé (2 à 3 gouttes) dans les puits sans débordement ni bulles et sans endommager le gel d’agar

S : Sérum du malade ; A : Souche du virus A inactif ; B : Souche du virus B inactif ; C : Souche du virus C inactif ; D : Souche du virus D inactif

Réalisation d'un test Ouchterlony

Voici le résultat :

1) Réalisez un schéma d’interprétation des résultats à l’échelle moléculaire en utilisant des symboles judicieusement choisis pour les anticorps (Ac) et les antigènes Ag.

Anticorps présents dans le sérum

Modèles possibles pour les antigènes :

2) Exploitez les données obtenues afin de déterminer quel est le virus qui touche les habitants du village dont vous êtes médecin.

Voici le travail à effectuer :

Je me teste avant de passer à la suite :

Les récepteurs des Lymphocytes B correspondant à un AG : - Sont produits après contact avec cet AG - Sont synthétisés après réarrangement génique dans le thymus - Reconnaissent l'Ag présenté par une molécule du CMH - Ont la même structure que les AC secrétés après stimulation des LB par cet AG

La reconnaisance de l'AG par l'AC est permise par : - La partie variable de l'AC - La partie constante de l'AC - La chaîne lourde uniquement de l'AC - La chaîne légère uniquement de l'AC

Un anticorps est constitué : - de 2 chaînes légères et 2 chaînes lourdes toutes identiques - en partie de 2 chaînes lourdes identiques entre elles - de 2 chaînes lourdes sans partie constante d'un anticorps à l'autre - en partie de 2 chaînes lourdes identiques d'un anticorps à l'autre

La détection d'un antigène par un lymphocyte B déclenche une sécrétion immédiate d'anticorps spécifique par ce lymphocyte : VraiFaux

Validation réponses

Mode d'action et spécificité des anticorps

SUITE

MODE D'ACTION ET SPÉCIFICITÉ DES ANTICORPS

Ressource 1

Ressource 2

Modélisation d'un anticorps

Questions à préparer

Variabilité et spécificité des anticorps

1) Justifier l'affirmation ci-dessous en exploitant les ressources 1 et 2. 2) Réaliser un schéma expliquant comment les anticorps peuvent éliminer un agent infectieux (ressource 3).

Ressource 3

Mode d'action des anticorps

« Un anticorps est une protéine constituées de 4 chaînes liées entre elles et identiques 2 à 2 : les chaînes légères et les chaînes lourdes. Chacune de ces chaines comporte une partie constante (identique entre anticorps différents) et une partie variable (spécifique à chaque anticorps). Les parties variables des chaines lourdes et légères forment le site de fixation à un antigène spécifique»

Visualisation d'un modèle entier d'anticorps

Dans "Sélectionner" cliquer sur "Tout", dans "Représenter" choisir "Rubans" puis dans "Colorer" choisir "Chaîne"

Variabilité et spécificité des anticorps

Variabilité des 120 premiers acides aminés entre différents anticorps d'un organsime (0 étant la partie terminale)

Comparaison entre l'un des bras de deux anticorps différents liés à des molécules antigéniques Depuis la librarie de molécules du logiciel Libmol, ouvrir les modèles moléculaires suivants : "anticorps anti -protéine 24 du virus du SIDA" et "anticorps anti -virus de la grippe" - Représentation en rubans et coloration par chaîne - Afficher les intéractions entre l'antigène (chaîne P) et l'anticorps.

Les autres acides aminés des chaînes sont peu variables d'un anticorps à l'autre. Les zones repérées sur les graphiques sont positionnées les unes à côté des autres et correspondent aux zones de fixation à l'antigène

Légende : bordeaux = chaîne H (lourde) ; jaune = chaîne L (légère) ; bleu = antigène

Doc2. Des récepteurs de la partie constante des anticorps. Les macrophages à leur surface possèdent des récepteurs qui se fixent sur la partie constante des anticorps. Ces récepteurs augmentent l’efficacité de la phagocytose de l’agent infectieux lors de la réponse adaptative.

Mode d'action des anticorps

Doc3. Étude de l’action d’un anticorps anti-hémagglutinine. En présence de concentrations croissantes d’un anticorps anti-hémagglutinine produit lors d’une infection grippale, on mesure les taux de fixation du virus de la grippe sur des cellules en culture et le taux d’infection de ces cellules. Les résultats sont exprimés en pourcentage du taux de liaison ou d’infection observé en l’absence d’anticorps.

Doc1. Efficacité de la phagocytose avec ou sans anticorps. On mesure la capacité phagocytaire d’une lignée de macrophages humains in vitro en présence d’un champignon (Candida albicans) qui est incubée ou non avec un anticorps spécifique (anticorps dirigés contre ce champignon).

Doc4. Le complexe formé par des anticorps anti-hémagglutinine. L’anticorps est celui qui a été étudié doc. 3. Les portions de l’hémagglutinine représentés en jaune se fixent sur un récepteur présent à la surface de la membrane plasmique des cellules cibles du virus. Cette fixation est indispensable à l’infection de ces cellules par le virus.

L'origine des anticorps

Plasmocytes, MEB

SUITE

L'origine des anticorps

Ressource 1

Ressource 2

Questions à préparer

Cellules produisants les anticorps

Quantité et spécificité des anticorps produits

1) Présenter, sous la forme de communication de votre choix, les mécanismes à l'origine de la diversité des anticorps et l'efficacité de leur production. 2) Estimer par le calcul le nombre de combinaisons d'ADN recombiné qu'il est possible de générer dans un lymphocyte B.

Ressource 3

Ressource 4

Mécanisme à l'origine de la diversité des anticorps

Estimation de la diversité des anticorps produits

Troisième partie

La réponse immunitaire cellulaire

Les virus du Sida (en bleu) bourgeonnent à partir de la membrane d'un LT qu'ils viennent d'infecter (MET)

Les anticorps produits par les plasmocytes ne sont efficaces que si le virus est circulant ...

SUITE

Quatrième partie

RÉGULATIONS ET COOPÉRATION CELLULAIRE

SUITE

04 Régulation et coopération cellulaire

01

02

03

04

Partie 1

Partie 2

Partie 3

Partie 4

HOME

Je me teste quand j'ai terminé :

Ressource 1

Ressource 2

Le rôle des lymphocytes LT CD4+

Le rôle de la cytokine Interleukine

Question :

Présenter, sous la forme d'un tableau ou d'un schéma, les différentes coopérations cellulaires mises en évidence au sein de l'immunité ou avec le reste de l'organisme.

Ressource 3

Ressource 4

La coopération cellulaire avec l'immunité innée

La coopération cellulaire au sein de l'organisme

Questionnaire final :

Le récepteur des lymphocytes T CD4 : 1. Est identique d'un LTCD4 à un autre 2. Se fixe aux cellules infectées 3. Est portée par une molécule du CMH 4. Peut établir une liaison à une cellule présentatrice d'antigène

Les lymphocytes T CD4 ont pour rôle : 1. De détruire les cellules infectées par des virus ou les cellules cancéreuses 2. De produire des anticorps spécifiques pour lutter contre l'infection 3. D'activer d'autres cellules de l'immunité dans le cadre d'une infection 4. De phagocyter les bactéries et les virus

Dans l'immunité adaptative, l'élimination des agents pathogènes ou des cellules anormales : 1. Se fait exclusivement par la sécrétion d'AC spécifiques 2. Fait intervenir des plasmocytes provoquant la lyse des cellules infectées 3. Fait intervenir des AC dirigés chacun contre un large spectre de pathogènes 4. Se fait par le biais d'intéractions cellulaires et moléculaires

Les LT auxiliaires : 1. Se différencient en LTCD4 2. Libèrent des interleukines 3. Sont directement responsables de la destruction de cellules infectées ou anormales 4. Sont issus de la différenciation des LB

Validation réponses