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Tutos SVT

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Les tutos de SVT

Logiciels

Manip...

Réaliser

Analyser

Méthodes

Bric à Brac Génétique

Bric à Brac Géologie

Bric à Brac Biologie

Calculs Unités

Notions

Lexique

Des tutos vidéos

Petites et grandes astuces

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Les critères attendus

Lien vers des pages connectées

valerie.rambaud@ac-orleans-tours.fr

Réaliser

Un schéma d'une observation

Légender un schéma

Une observation au microscope

Une observation à la loupe binoculaire

Une coupe géologique

Une observation au microscope polarisant

Un schéma d'une lame mince de roche

Un tableau

Un graphique

Tableau de croisement

Réaliser un diagramme floral

Un schéma fonctionnel

valerie.rambaud@ac-orleans-tours.fr

Manipuler en toute sécurité.

Manipulations

Un prélèvement pour observer au microscope

Une préparation microscopique

Un prélèvement de cellules buccales

Un frottis sanguin

Compter des cellules

Une empreinte de feuille

Observer des poils absorbants

Rincer ou changer de colorant

Double coloration lignine cellulose

Glucotest

Les réactifs des glucides

cellule végétale colorée

Les colorants en SVT

Rouge de Crésol

Test Ouchterlony

Une chromatographie

Une extraction d'ADN

Une électrophorèse 2 fiches

Antibio-gramme

Manipuler en milieu stérile

Une dissection de fleur

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Bric à Brac Biologie ...

Anatomie des cellules

Les niveaux d'organisation du vivant.

La membrane plasmique

Une cellule ?

Des cellules spécialisées

Les vaisseaux conducteurs de sève

Les plastes des cellules végétales

La paroi des cellules végétales

De le fleur au fruit

Les organes de réserves

Les enzymes

Se repérer sur un crâne

Plan d'organisation

Faune du sol

Les drosophiles

Cycle infection virale

Soi non-soi

Les cellules sanguines

Anticorps - Antigène

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Bric à Brac Génétique ...

Génotype - Phénotype

ADN

Méiose

Le matériel génétique au cours de la vie de la cellule

Caryotype

Réplication de l'ADN

Molécules organiques

Mitose

La synthèse des protéines

Régulation de l'expression des gènes

Gènes chromosomes

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Bric à Brac Géologie ...

Le métamorphisme

Se repérer sur la Terre

Histoire de la vie sur Terre

Les continents sur Terre

Qu'est ce qu'une roche ?

Roches sédimentaires

Roches en tout genre

Déterminer des minéraux

Clé de détermination des minéraux

Cycle des roches

Les ondes sismiques

GPS

Sismique réflexion

Structure de la Terre

La croûte terrestre

Marge passive

Chaleur de la Terre

Plaques lithosphériques

Dorsale océanique

Zone de subduction

Datation absolue

Fossiles

Datation relative

L'échelle des temps géologiques

Les déformations

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Calculs - unités ...

Unités et mesure système international

De l'atome à l'Univers

Unités et mesure au labo

Puissance de 10

10

Règle de 3

Périmètres, surfaces, volumes

Carte d'identité de l'eau

Radio-chronologie

Calcul d'une pente

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Logiciels

Tableur graphe

Formater un graphe

Réaliser un diagramme

Formater un graphe niveau expert

Tableur fonctions

Traitement de texte

ABC

ABC

Traitement de texte-expert

Modeliser la vaccination

EXAO REFMYO

Mesures sur un crâne

Modélisation moléculaire

Eduanat...

IRm virtuelle en ligne

Edumodeles

Edumodeles Expert

Acquérir une image Toupview

Traiter une image numérique LO

Tectoglob 3D

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Analyser

Présenter raisonnement

Analyser une expérience

Démarche expérimentale

Concevoir un protocole

Analyser un tableau

Analyser une photo

Analyser un schéma

Analyser un graphe

Analyser un document

Analyser un arbre généalogique

Analyse de croisement.

Electrophorèse

Auto-radiographie

Analyser IRM

Analyser un diagramme PT

Tomographie sismique

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Le vocabulaire de SVT

Réaliser un diagramme floral.

But : Symboliser la position et le nombre des pièces florales.

Plan floral

Sépales

Etamines

Ovaire

Pétales

Bractée

Le diagramme floral est orienté et indique : le nombre de pièces par cycle, la disposition des pièces florales, la structure de l’ovaire.

Symboles de représentation :•Arc de cercle pour les bractées, sépales et pétales•section transversale d’anthère avec les loges pour les étamines•section transversale du ou des ovaires•une croix en lieu et place du ou des pièces manquantes •un trait plein pour marquer les soudures •un trait pointillé pour marquer l’appartenance à un même cycle.

Respect des consignes de représentation

Diagramme conforme à la réalité

Travail propre

Titre explicite

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Réaliser une coupe géologique.

But : Les coupes géologiques permettent de montrer la structure en profondeur. Elles sont réalisées à partir de la carte géologique interprétative, perpendiculairement aux principales structures. S'il y a plusieurs secteurs sur la carte ayant une structure remarquable (faille, chevauchement, plis...) il convient de faire plusieurs coupes.

Repérer les différentes structures de la carte

Carte

Repérer la topographie (altitudes des différents points de la coupe)

Tracer au crayon uniquement le profil topographique.

Reporter sur la coupe les limites des structures géologiques.

Reporter sur la coupe les accidents tectoniques (failles, plis ...)

Reporter sur la coupe les limites des différentes couches géologiques.

Coupe

Tracer les différentes couches géologiques avec leurs relations.

Donner un titre et légender.

Respect des consignes de représentation

Coupe conforme à la réalité

Titre explicite

Travail propre

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Réaliser une observation au microscope optique

But : Un microscope est un outil optique de précision, son maniement demande des gestes précis.

A partir de l'étape Ne plus jamais toucher à la vis macro

Allumer la lampe

Positionner l'objectif rouge (le plus petit objectif)

Positionner la lame sur le chevalet.

Observer et régler la luminosité

Mettre au point avec la vis macro puis la vis micro

Zoomer avec l'objectif jaune puis bleu

Affiner la mise au point avec la vis micro uniquement.

Déplacer la préparation afin d'observer une zone pertinente

Choix pertinent de la zone à observer et de l'objectif utilisé

Lame centrée et correctement placée sur le chevalet

Eclairage correct

Matériel rangé

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Réaliser une observation au microscope polarisant

But : L'identification des minéraux d’une roche en lame mince, observés en Lumière Polarisée et non Analysée (LPNA) et/ou en Lumière Polarisée et Analysée (LPA), permet de déterminer la composition minéralogique de la roche étudiée.

A partir de l'étape Ne plus jamais toucher à la vis macro

Allumer la lampe

Positionner l'objectif rouge (le plus petit objectif)

Régler l'extinction : Tirer pour mettre en place l'analyseur ...

...Observer et tourner le polariseur jusqu'à obtenir l'extinction.

Repousser la tirette pour enlever l'analyseur.

Poser la lame mince sur la platine, observer et régler la luminosité

Mettre au point avec la vis macro puis la vis micro

Zoomer avec l'objectif jaune puis bleu, mise au point vis micro !

Déplacer la préparation afin d'observer une zone pertinente

10

Déterminer les minéraux présents en LPNA puis remettre en place l'analyseur pour affiner la détermination en LPA.

Choix pertinent de la zone à observer et de l'objectif utilisé

Lame centrée et correctement placée sur le chevalet

Eclairage correct

Matériel rangé

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Réaliser le schéma d'une observation microscopique

But : Un schéma est une interprétation d’une observation ou d’une photo, vous devez chercher sur votre préparation la zone la plus pertinente.

Vous pouvez utiliser des couleurs afin de mettre en évidence une zone spécifique de votre schéma.

Prévoir une 1/2 page pour réaliser le schéma

Les seuls outils autorisés au départ.

Les traits doivent être fins, nets et continus ...

Votre schéma doit représenter une zone précise de votre observation

Les caractéristiques des éléments observés doivent être respectées (forme, proportion ...)

Les traits des légendes ne doivent pas se croiser et être tracés à la règle au crayon.

Ne pas oublier le titre avec le mode d'observation et le grossissement.

Traits nets, fins et continus.

Respect des proportions

Traits des légendes à la règle au crayon

Titre et légendes correctes

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Légender un schéma, une photographie ...

But : Il s'agit de vérifier vos connaissances en anatomie, géologie ...

Préparation indispensable : repérer les consignes (colorier différentes zones, ou choisir une couleur de stylo pour les molécules par ex ...), comprendre ce que représente le schéma,

Attention à l'orthographe des mots scientifiques utilisés.

Les seuls outils autorisés au départ.

Préparer vos légendes selon la place autour du schéma.

Les traits des légendes ne doivent pas se croiser.

Les légendes doivent être écrites en dehors du schéma.

Choisir des couleurs si demandé (avec un code couleur judicieux)

Ne pas oublier le titre

Traits des légendes à la règle au crayon

Position des légendes adaptée

Titre et légendes correctes

Respect des consignes (couleurs)

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Réaliser une observation à la loupe binoculaire

But : Une loupe binoculaire est un outil optique de précision, son maniement demande des gestes précis. A la loupe binoculaire, la lumière est réfléchie à la surface de l'objet à observer.

La loupe binoculaire ne permet d'observer que la surface d'un objet en relief.

Allumer la lampe posée à coté de la loupe.

Choisir la couleur du fond selon le type d'objet à observer en retournant le disque, fond blanc ou fond noir.

Positionner la lame ou l'échantillon en se servant des valets de façon à ce que la zone à observer se trouve sous l'objectif

Régler les oculaires à l’écartement de ses yeux: on doit voir avec les 2 yeux.

Régler la hauteur globale avec la vis de potence située à l'arrière.

Mettre au point avec la vis macrométrique de mise au point sur les côtés.

Choix pertinent de la zone à observer et de l'objectif utilisé

Lame centrée et correctement placée sur la platine

Eclairage correct

Matériel rangé

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Réaliser un tableau de croisement

But : Calculer des pourcentages de génotypes de descendants.

Le tableau de croisement se fait sur un test-cross ou back-cross, c'est à dire le croisement d'un individu double hétérozygote (issu du croisement de deux lignées pures) avec un individu double récessif.

Tableau (ou échiquier) de croisement = tableau à double entrée :⇒ Faire figurer les génotypes des gamètes d’un parent dans la première ligne du tableau et ceux des gamètes de l’autre parent dans la première colonne.

a b

A B

a b

A B

Les proportions phénotypiques des descendants obtenus à l’issue de ce croisement-test sont révélatrices des différents gamètes formés par l’individu F1 à la fois en qualité et en quantité.

a b

A B

F1

a b

a b

Gamètes types parentaux - non issus d'un CO

Gamètes types recombinés -issus d'un CO

a b

A B

a B

A b

F1

A B

a B

a b

A b

Lignée pure: lignée constituée d'individus homozygotes pour le (ou les) gène(s) étudié(s).

a b

a b

a b

a b

a b

Savoir écrire un génotype

Connaître le résultat d'une méiose

Titre pertinent

Calculer un %

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Réaliser le schéma d'une lame mince de roche.

But : Le schéma de la lame mince est le résultat de l'observation et de l'analyse de la structure et de la composition minéralogique d'une roche observée au microscope polarisant en LPNA et en LPA.

Prévoir une 1/2 page pour réaliser le schéma

Ne pas oublier les consignes habituelles de réaliser d'un schéma d'observation !

Les seuls outils autorisés !

Ne jamais perdre de vue qu'un minéral est un cristal donc de forme géométrique, vous ne devez pas représenter des formes arrondies.

Votre schéma doit représenter une zone précise de votre observation

Verre

Les caractéristiques de minéraux doivent être représentés : relief (traits plus épais) clivages (traits fins à l'intérieur du minéral).

A : Gabbro

B : Basalte

L'organisation des minéraux sur votre schéma doit être conforme à la structure de la roche.

Mêmes minéraux (1- Pyroxène 2- Feldspath) mais structure différente (A-Grenue B-Microlitique) : Deux roches.

Traits nets, fins et continus.

Respect des proportions

Traits des légendes à la règle au crayon

Titre et légendes correctes

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Réaliser un schéma fonctionnel

But : Il s'agit de montrer par un schéma des phénomènes qui évoluent dans le temps ou dans l'espace.

Préparation indispensable : dresser la liste des acteurs concernés, des lieux ou des moments à représenter, des conditions nécessaires à la réalisation de l'action ...

Relier les différents acteurs par des flèches.

Choisir des couleurs (avec un code couleur judicieux)

Prévoir une page pour réaliser le schéma

Positionner les légendes

Les seuls outils autorisés au départ.

Les traits des légendes ne doivent pas se croiser et être tracés à la règle au crayon.

Placer les différents acteurs en choisissant des figures différentes (carré-organes, rond-cellule...)

10

Ne pas oublier le titre

Les traits doivent être fins, nets et continus ...

Attention au sens des flèches dans les relations entre les acteurs.

Traits nets, fins et continus.

Respect des proportions

Titre et légendes correctes

Traits des légendes à la règle au crayon

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Réaliser un tableau

But : Un tableau est une représentation permettant de classer et de comparer (mettre en évidence des points communs ou des différences) des données (issues d'un texte, d'une expérience, de mesures …) en fonction de deux critères au moins, ligne et colonne.

Respecter les conventions d'écriture du document (nombre de décimales...) et surtout ne pas oublier les unités !

Regarder attentivement les données à classer de manière à choisir ce qui sera « rangé » en colonne et en ligne.

Si besoin mettre en couleur dans le texte ou les documents initiaux les données à classer.

Déterminer le nombre de colonnes et de lignes du tableau.

Tracer les bordures du tableau à la règle, proprement, au crayon de papier

Mettre un titre pour les lignes et pour les colonnes.

Remplir le tableau avec les données.

Variations de la quantité de Dioxygène et de Glucose au cours du temps lors de la photosynthèse.

Mettre un titre au tableau, titre en cohérence avec les données du tableau.

Traits tracés à la règle, propres.

Titres sur les colonnes-lignes et tableau

Unités pour les valeurs chiffrées

Respect des conventions du document

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Réaliser un graphique

But : Un graphe est une représentation mathématique de la variation d'un paramètre en fonction d'un autre.

Repérer ce qui varie en fonction de quoi afin de déterminer les données en abscisses et en ordonnées.Tous les graphes que vous tracerez s'intituleront : variation (ou évolution) de ....(y) en fonction de ... (x)

Repérer les mini et maxi des valeurs afin de préparer l'échelle de vos axes.

Tracer les axes à la règle au crayon

Mettre un titre sur les axes, ne pas oublier les unités !

Graduer vos axes, les deux axes n'ont pas nécessairement la même échelle !

Un petit « truc » pour trouver une graduation raisonnée : vous disposez de 20 cm sur votre page par ex et vos données varient de 5 à 45 soit 40 unités de variation => en divisant vos 40 unités / 20 cm vous obtenez la valeur correspondant à 1 cm, soit 2 unités.

Positionner les points, les relier à la règle ou à main levée.

Si il y a plusieurs données, utiliser des couleurs

Mettre un titre général au graphique.

Traits tracés à la règle, propres.

Respect des conventions du document

Titres sur les colonnes-lignes et tableau

Unités pour les valeurs chiffrées

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Réaliser un arbre phylogénétique

But : Un graphe est une représentation mathématique de la variation d'un paramètre en fonction d'un autre.

Respect des conventions du document

Traits tracés à la règle, propres.

Titres sur les colonnes-lignes et tableau

Unités pour les valeurs chiffrées

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Réaliser un prélèvement pour une observation au microscope

But : Prélever l'objet à observer. Le prélèvement doit être très mince puisque l'observation au microscope optique se fait en regardant « à travers » l'objet.

Epiderme d'une feuille ou d'un pétale de fleur

Epiderme interne feuille d'oignon

Une petite astuce plier la feuille sur votre doigt afin de créer un support pour réaliser le prélèvement.

Avec le sclapel découper un morceau d'épiderme

Avec la pince fine prélever l'échantillon

Avec le sclapel découper un morceau d'épiderme, puis prélever avec la pince.

Epiderme externe feuille oignon rouge

Pulpe de pomme de terre

Gratter la pulpe de pomme de terre avec une aiguille lancéolée. Déposer sur une lame avec une goutte d'eau ou de colorant.

Avec le sclapel découper un morceau d'épiderme, puis prélever avec la pince.

Surface 1 cm

Objet à observer fin - transparent

Pas de plis

Matériel rangé

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Réaliser une préparation microscopique

But : Une préparation microscopique est une coupe fine d'un objet observable au microscope. Cet objet doit être le plus fin possible de façon à être observé par transparence.

Déposer au centre de la lame une goute du liquide de montage (eau ou colorant)

Faire descendre doucement la lamelle en évitant d'emprisonner des bulles d'air.

Si du liquide déborde de la lamelle, l'essuyer délicatement avec du papier absorbant

Déposer le prélèvement à observer sur la goutte en évitant les replis.

Objet à observer fin, pas de replis

Pas de liquide en dehors de la lamelle

Pas de bulles d'air

Matériel rangé

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Réaliser un frottis sanguin

But : Observer les cellules sanguines.

Coloration variante de la coloration de MAY- GRÜNWALD - GIEMSA

Préparation du frottis

Nettoyer 2 lames à l’alcool (faces et tranches), les sécher avec du papier absorbant, les déposer sur papier absorbant.

Déposer une goutte de sang à l’extrémité d’une lame.

Recouvrir le frottis (posé dans une boite de Pétri) de quelques gouttes de fixateur (flacon1) et attendre 5 secondes, égoutter verticalement au contact du papier absorbant.

Appliquer une autre lame inclinée à 45° en avant de la goutte de sang de façon à ce que le sang s’étale sous la lame par capillarité.

Faire de même avec les deux colorants.

Observer au microscope sans lamelle

Essuyer et sécher la lame au sèche cheveux

Faire glisser la lame pour étaler le sang.

Sécher la lame au sèche-cheveux

Respect des consignes de sécurité

Frottis fin

Matériel rangé

Lame sèche

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Manipuler en milieu stérile

But : Mettre en culture des cellules de manière stérile sur un milieu solide (boite de Pétri avec gélose)

Préparation du milieu de culture solide dans une boite de pétri.

Préparation du matériel

Se nettoyer soigneusement les mains au savon. Désinfecter le plan de travail à leau de javel.

Dissoudre 0,4 g d'agar dans 14 ml d'eau dans un bécher. Porter à ébulition.

Positionner le bec électrique au milieu du plan de travail

Pipeter 5 mL de gel d’Agar chaud et fluide et le verser dans une boîte de Pétri. Fermer la boite et la laisser refroidir.

Zone stérile autour du bec éléctrique.

Ensemencer le milieu de culture.

Les outils de prélèvement, flacons ouverts ... ne doivent pas sortir de la zone stérile !

Prélever dans la zone stérile 1 ml de cellules en suspension. Ouvrir la boite de pétri dans la zone stérile. Déposer 1 ml de cellules en suspension. Avec l'étaleur répartir la suspension sur toute la boite de pétri, fermer la boite

Culture sans contamination

Respect des gestes techniques

Respect des consignes de sécurité

Matériel rangé

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Réaliser un prélèvement de cellules buccales

But : Prélever des cellules buccales (de la bouche) afin de les observer au microscope optique.

Racler doucement la face interne de la joue à l’aide d’un coton-tige stérile pendant 1 minute.

Frotter le coton tige sur la lame.

Les cellules de la cavité buccale arrachées par le coton tige (ou écouvillon), forment des éléments groupés, superposés, parfois isolés. Ce sont des cellules épithéliales (un éptihélium est un tissu formé de cellules jointives) qui tapissent la cavité buccale. A la surface de ces cellules on peut observer des bactéries ; des bacilles en forme de bâtonnet et des coques de forme ronde.

Déposer une goutte de colorant puis déposer une lamelle

Pas de débordement de liquide

Colorant choisi avec pertinence

Prélèvement propre

Matériel rangé

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Réaliser une empreinte de feuille

But : Réaliser une empreinte afin d'observer au microscope des structures de surface de la feuille.

Prélever les empreintes

Poser le vernis

Ne prélever les empreintes que lorsque le vernis est sec. Soulever le bord d’une zone du vernis en le grattant légèrement avec la pince fine. Décoller le vernis à l’aide d’une pince fine.

Étaler sur l’épiderme de la feuille une goutte de vernis sur une surface d’environ 0,5 cm de diamètre. Ne pas hésiter à préparer plusieurs empreintes.

Préparer la lame

Déposer l’empreinte sur une lame, dans une goutte d’eau, face décollée vers le dessus, bien à plat, sans la froisser.Recouvrir d’une lamelle

Choix de la face de la feuille pertinent

Pas de débordement de liquide

Prélèvement fin, non replié

Matériel rangé

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Réaliser une double coloration : carmino-vert d'iode.

But : Colorer la cellulose et la lignine des parois cellulaires végétales.

Réaliser une coupe fine dans un organe végétal (tige, racine ...)

Hypochlorite Acide acétique

Attention avec la manipulation de la lame de rasoir !

Fendre la moelle de sureau en 2

Insérer l'échantillon dans la moelle de sureau

Couper des tranches fines avec une lame de rasoir

Réaliser la double coloration en respectant bien les différentes étapes !

Prélèvement propre et fin

Respect des temps de coloration

Respect des consignes de sécurité

Matériel rangé

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Rincer ou changer le colorant d'une préparation microscopique.

But : Dans certains cas, on doit faire une première observation avec un colorant donné ou une solution donnée puis changer de colorant ou rincer la préparation.

Déposer une goutte de colorant, eau ... sur le bord de la lamelle, de l'autre coté positionner un morceau de papier filtre.

Préparer votre lame

Préparer une pipette avec le nouveau colorant ou de l'eau pour rincer

Par capillarité, le liquide va "traverser" sous la lamelle.

Pas de liquide en dehors de la lamelle

Choix du liquide de remplacement

Pas de bulles d'air

Matériel rangé

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Glucotest

But : Tester la présence de glucose dans une solution à l'aide d'une bandelette réactive : glucotest.

Plonger quelques secondes la totalité de l'extrémité réactive dans la solution puis égoutter la bandelette.

Ne jamais toucher la partie réactive de la bandelette avec les doigts !

Lire le résultat après 10 secondes (ne pas tenir compte des changements de coloration se produisant au-delà des 10 sec.)

Compréhension de la manipulation

Lecture correcte du taux de glucose

Respect des consignes

Matériel rangé

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Le rouge de crésol.

But : Le rouge de crésol est un réactif chimique dont la couleur dépend du pH donc indirectement de la quantité de CO en solution. On l'utilise pour mettre en évidence les mécanismes de respiration, de fermentation ou de photosynthèse.

Faire de même avec du matériel vivant, feuille (éclairée -1- ou non -2-) ou racine de carotte -3.

Préparer 3 tubes fermés avec du rouge de crésol.

Le tube A sera le témoin, dans le tube B un air enrichi en CO (en soufflant dans le tube) et dans le tube C un air appauvri en CO (en utilisant de l'hydroxyde de potassium).

Hydroxyde de potassium

Hydroxyde de potassium

Paille

Au bout de quelques minutes

Etat initial

Respect des consignes de sécurité

Compréhension des résultats

Manipulation propre

Matériel rangé

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Réaliser une extraction d'ADN

But : Mettre en évidence la présence d'ADN dans différents tissus d'êtres vivants.

Découper en petits morceaux l'échantillon biologique fourni à l’aide du scalpel

Placer le filtre (gaze ou tissu fin) dans l’entonnoir et poser l’ensemble sur le tube à essai placé dans le portoir en bois.

Verser le mélange dans le filtre puis laisser filtrer jusqu’à ce que le liquide recueilli atteigne 3cm de haut dans le tube à essai

Broyer les morceaux à l’aide du pilon

Ajouter à l’échantillon broyé, une cuillère à soupe de gros sel et de liquide vaisselle (afin de détruire les membranes des cellules).

Ajouter de l’éthanol réfrigéré en versant le long de la paroi du tube en tenant le tube incliné, doucement jusqu’au double du volume initial.

Ajouter 2 gouttes du colorant qui vous permettra de prouver la présence d'ADN contenu dans la méduse qui "flotte" dans votre tube.

Ajouter suffisamment d’eau distillée jusqu’à ce que le mélange ait une consistance liquide.

Morceaux broyés finement

Manipulation réalisée en sécurité

Présence d'une méduse d'ADN dans le tube

Matériel rangé

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Réaliser une dissection de fleur

But : Mettre en évidence l'organisation d'une fleur.

Lorsqu’on ne peut distinguer sépale et pétale, on parle de tépale)

Enlever à l'aide d'une pince les pièces florales externes, sépales.

Puis ôter les pétales.

Observer le pollen des étamines au microscope. Les étamines sont constituées d’un filet sur lequel est fixé l’anthère (= sac pollinique).

Prélever les étamines à leur base.

Puis détacher l'ovaire de la tige.

Couper l’ovaire dans la longueur à l’aide du scalpel et observer les ovules contenus dans les ovaires à la loupe binoculaire.

Coller l’ensemble des pièces florales sur une feuille de papier en respectant l’agencement spatial. Légender les pièces florales.

Réaliser un diagramme floral (voir fiche)

Organes prélevés délicatement

Manipulation réalisée en sécurité

Observation correcte à la loupe

Matériel rangé

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Réaliser une chromatographie.

But : Technique de séparation des substances organiques qui utilise la migration d’un liquide (ici de l’alcool) sur un support solide (papier...). Les molécules sont entraînées plus ou moins loin suivant leurs propriétés physico-chimiques (masse, solubilité...).

Ne jamais toucher le papier avec les doigts !

Au bout de 20 à 25 minutes ...

Mettre 3 cm de solvant dans l'éprouvette. Fermer l'éprouvette. Tracer un trait sur le papier au crayon à 1 cm au dessus du solvant pour marquer l’emplacement du dépôt .

Ecraser un morceau de feuille (ou autre organe) dans un mortier avec 1 ml d’alcool

A l’aide de la micropipette déposer une goutte du liquide sur le trait de dépôt, répéter l’opération 5 fois, sur le même emplacement

Ou écraser un morceau de feuille avec un agitateur en verre directement sur le papier. Répéter 5 fois sur le même emplacement.

Suspendre le papier, fermer le couvercle et mettre le cache.

Respect des consignes de sécurité

Respect des étapes du protocole

Résultats conformes aux attendus

Matériel rangé

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Réaliser une électrophorèse (1/2).

But : Une électrophorèse est une technique utilisée pour séparer des constituants chimiques porteurs de charges électriques. Placées dans un champ électrique, les molécules telles que les protéines migrent en direction de l’anode (pôle +), elles se déplacent d’autant plus vite au sein d’une solution tampon que leur charge électrique est plus importante et/ ou que leur masse moléculaire est faible.

Préparation de la manipulation

1. Remplir la cuve à électrophorèse au 2/3 avec la solution tampon, de chaque côté, en évitant tout débordement.

2. Poser les bandes essuyées sur du papier absorbant, face mate vers le haut, en les calant avec les support en verre.

3. Réaliser un dépôt précis

4. Fermer le couvercle et brancher les cosses sur l'alimentation externe.

5. Régler à 160 V prévoir 30 à 40 min de migration.

Respect des consignes de sécurité

Respect des étapes du protocole

Respect des consignes de dépôt

Matériel rangé

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Réaliser une électrophorèse (2/2).

But : Colorer les molécules après migration.

Verser dans une cuve à dissection du rouge ponceau (1 cm d'épaisseur). Déposer les bandes d'acétate de cellulose à la fin de face de dépôt vers le bas)

Décolorer les bandes en les plongeant successivement dans deux bains d’acide acétique 5 %. Seules les traces laissées par les protéines apparaîtront.

Poser les bandes sur des plaques en verre et laisser sécher à l'air libre ou avec un sèche cheveux.

10 minutes

Respect des étapes du protocole

Respect des consignes de sécurité

Résultats conformes

Matériel rangé

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Manipuler en sécurité.

But : Un protocole consiste en une ou plusieurs manipulations à mettre en œuvre afin de résoudre ou de modéliser un problème biologique ou géologique. De nombreux produits chimiques peuvent être utilisés avec précaution.

Organiser le poste de travail et le maintenir bien rangé pour limiter les risques d'incident.

Porter une blouse non inflammable, couvrante et boutonnée, pour se protéger.

Avoir les cheveux attachés pour limiter les risques d'accident.

Respecter les consignes d'élimination des déchets pour limiter les risques sur l'environnement.

Se laver les mains régulièrement - Ne pas boire, ne pas manger.Pour limiter les risques de contamination

Explosif

Toxique

Utiliser des pipeteurs (ne jamais pipeter à la bouche) pour éviter tout risque d'accidents : brûlure, intoxication, contamination.

Inflammable

Toxique - irritant

Comburant

Cancérogène

Utiliser si nécessaire des E.P.I. (Équipements de Protection Individuelle) pour se protéger en cours de manipulation.

Danger pour l'environnement

Corrosif

Résultats conformes aux attendus

Respect des consignes d'élimination des déchets

Respect des consignes de sécurité

Matériel rangé

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Utiliser un colorant en SVT

But : Un colorant permet de mettre en évidence certaines molécules au sein des cellules ou des tissus.

"L'agent double" Carmino vert de mirande

Le "classique" Eau iodée (ou lugol)

Colore la cellulose en rose et la lignine en vert.

Colore en violet-noir l'amidon dans les cellules végétales.

Colore en brun le glycogène dans les cellules animales.

"L'indispensable" Vert de méthyl acétique

"la version double" Vert de méthyl pyronine

"L'incontournable" Bleu de méthylène

Colore l'ADN en vert et l'ARN en rose

Colore l'ADN en vert (mise en évidence du noyau ...).

Colore en bleu toutes les cellules vivantes

Choix pertinent du colorant ...

Pas de liquide en dehors de la lamelle

... Selon le type de cellule

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Les colorants dans une cellule végétale

Le "chimique" Réactif de biuret

"L'incontournable" Bleu de méthylène

"L'agent double" Carmino vert de mirande

Le "lipophile" Rouge congo

"L'indispensable" Vert de méthyl acétique

Le "classique" Eau iodée (ou lugol)

"la version double" Vert de méthyl pyronine

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Utiliser un réactif afin de mettre en évidence des glucides

But : Utiliser le réactif adéquat selon le type de glucides que l'on souhaite mettre en évidence.

Eau iodée (ou lugol) : mise en évidence des poly-oses, comme l'amidon ou le glycogène.

  • Prélever la solution à tester et la déposer dans un des puits de la plaque de coloration.
  • Ajouter ensuite 1-2 gouttes d'eau iodée
  • Attendre 10 secondes

A B C D

A : témoin, B : test positif en présence d'amidon, C : test positif en présence de glycogène, D : puits vide

Bandelette gluco-test

Liqueur de Fehling : mise en évidence des sucres réducteurs, comme le glucose, le maltose, le lactose, le fructose ...

Bain marie à 70°C

  • Prélever 2 ml de la solution à tester
  • Ajouter 1 ml de liqueur de Fehling
  • Chauffer 3 minutes

A chaud, et en présence de glucides réducteurs, la liqueur de Fehling donne un précipité rouge brique d’oxyde de cuivre Cu O.

A : témoin, B : test positif en présence de glucose

A B

Choix pertinent du colorant ...

Respect des temps de réaction

... Selon le type de glucide à tester.

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Réaliser un test Ouchterlony

But : Le test d'Ouchterlony est basé sur la principe de l'immunodiffusion, et permet de mettre en évidence la formation d'un complexe immun entre des Anticorps et des Antigènes.

Préparation d’un gel d’Agar à couler dans une boîte de Pétri pour test d’Ouchterlony

Faire chauffer jusqu'à ébullition, poser ensuite le bécher sur la paillasse jusqu'à ce que le flacon soit assez froid pour être touché avec les mains.

Dissoudre 0,2 g d'agar dans 14 ml d'eau dans un bécher.

Corrosif

Taper le fond de la boite de pétri sur la paillasse afin d'égaliser le liquide et supprimer les bulles d'air. Laisser 5 min la boite refroidir sans mettre le couvercle !

Pipeter 5 mL de gel d’Agar chaud et fluide et le verser dans une boîte de Pétri.

Préparation du test

Noter sur la boite la position des dépots

Réalisation des dépots.

Creuser à l’aide du tube emporte pièce les puits nécessaires dans le gel d’Agar. Jeter les disques de gélose.

Remplir les puits sans déborder avec les produits fournis (sérums ou solutions d'antigènes). Chaque produit doit être prélevé avec une pipette propre.

Attendre 20 min pour la lecture des résultats.

Respect des consignes de sécurité

Résultats conformes aux attendus

Respect des consignes d'élimination des déchets

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Réaliser un antibiogramme

But : Un antibiogramme permet de comparer la sensibilité d'une souche de bactéries à un ou plusieurs antibiotiques.

Prélèvement et mise en culture.

A l'aide d'un coton tige stérile, on réalise un prélèvement au niveau de la gorge, du nez ... Puis on met en culture les bactéries sur un milieu nutritif afin qu'elles se développent.

Toxique

Réalisation de l'antibiogramme.

Résultats conformes aux attendus

Respect des consignes de sécurité

Respect des consignes d'élimination des déchets

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Observer des poils absorbants

But : Observer les échanges entre les poils absorbants et la solution du sol, ou observer la croissance et la différenciation des cellules au niveau d'une racine

Prélèvement d'une petite portion de la zone des poils absorbants (zone pilifère) de la racine.

Repérer les différentes zones de la racine

Ecraser entre deux lames, puis retirer une des lames, déposer une goutte d'eau et déposer une lamelle.

Observer au microscope

Respect des consignes de manipulation.

Choix de la zone à prélever

Résultats conformes aux attendus

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Comptage avec une lame de Malassez

But : Une lame de Malassez (ou cellule de Malassez ou hématimètre) permet de compter des cellules en solution (vivantes ou non). Il s'agit d'une lame de verre sur laquelle un quadrillage a été gravé de 25 rectangles contenant eux-mêmes 20 petits carrés.

Déposer avec une pipette 10 µl de solution sur une zone quadrillée si la lame en contient deux comme celle sur le schéma.

Description de la lame de Malassez.

Poser une lamelle dessus, puis observer au microscope.

Compter le nombre de cellules dans plusieurs carrés (rouge), sur l'ensemble de la zone bleue.

Pour les cellules "à cheval" sur deux carrés, ne les compter que pour la case où elles dépassent sur le coté droit ou inférieur.

Calculer la concentration

Résultats conformes aux attendus

Respect des consignes d'élimination des déchets

Respect des consignes de sécurité

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10

Exprimer un nombre en puissance de 10

But : Faciliter la comparaison de très grands nombres ou au contraire de tout petits nombres ...

Les échelles de grandeur en puissance de 10 et les outils d'observation ...

Signification en décimales ...

Repérer les outils d'observation nécessaires

Appréhender les tailles réelles

Convertir en décimales

Effectuer des calculs

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Les mesures et unités au labo

But : Connaître les unités de mesure habituelles au laboratoire, unités dérivées des unités internationales.

m.s

-2

m.s

Accéleration, symbole : a, unité :

Vitesse, symbole : v, unité :

Force, symbole : F, unité : Newton (N)

Force = masse × accélération

N = kg.m.s

-2

Superficie - Surface, symbole : S, unité :

Energie, symbole : E, unité : Joule (J)

Energie = force × distance

J = N.m

Pression, symbole : p, unité : Pascal (Pa)

Pression = force / surface

Pa = N. m

Fréquence, symbole : f, unité : Hertz (Hz)

Puissance, symbole P, unité Watt (W)

Puissance = énergie / temps

W= J.s

-1

Hz = s

-1

10

Concentration molaire, symbole : c, unité : mol/m

Volume, symbole : V, unité mètre cube (m )

Volume des liquides en litre (l) 1 dm = 1 l

Température

12

En France on utilise le degré Celsius symbole °C

11

-1

1 K = 1°C + 273.15 (température du zéro absolu)

Débit volumique, unité m .s

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Règle de 3 ou règle de proportionnalité

But : Appliquer la règle de proportionnalité entre plusieurs éléments.

Calculer la taille réelle d'un objet, d'une photographie ...

1,5 cm

1,5 cm

En général.

a = b

c = x

a * x = c * b

Donc

c * b

x =

1,5

5,49

Exprimer le résultat

Calculer la taille réelle d'un objet

Attention à l'unité du résultat

calculer des proportions

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Calculs de périmètre-surfaces-volumes

But : Savoir calculer des périmètre, des surfaces, des volumes ...

Rectangle

Cercle

mesurer correctement les longueurs

Appliquer le calcul aux consignes

Attention à l'unité du résultat

Exprimer le résultat

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Calcul d'une pente d'une droite.

But : Calculer le coefficient de proportionnalité entre les points d'une droite.

Comprendre la signification du coefficient directeur ou pente

En détail.

Exprimer le résultat

choix des points pertinent

confronter le résultat au réel

Calculs corrects

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Maille cubique

Exprimer le résultat

choix des points pertinent

confronter le résultat au réel

Calculs corrects

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La carte d'identité de l'eau

CARTE D'IDENTITE

Nom : Eau Formule brute : H O Formule développée : H-O-H

Propriétés physiques : • Masse molaire : M = 18 g.mol • Masse volumique : r = 1 g.cm à 4 °C • Pf : Point de fusion normal (à la pression atmosphérique) Patm = 1,013 bar et Tf = 0°C • Peb : Point d'ébullition normal Patm = 1,013 bar et Teb = 100°C • Point triple : conditions pour lesquelles l’eau coexiste sous les trois états solide, liquide, et gazeux P = 6,15.10 bar et T = 0,01 °C • Point critique : point à partir duquel on ne peut plus distinguer gaz et liquide P = 221 bar et T = 374 °C • Indice de réfraction : n = 1,33

-3

-1

-3

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D'après le travail Florence Trouillet

Mesures et unités internationales

Interdépendance entre les unités de base du SI.

But : Connaître les unités internationales de mesure.

Longueur - mètre, symbole : m

Outil de mesure : règle, mètre ruban ...

Masse - kilogramme, symbole : kg

Outil de mesure : balance

Temps - seconde, symbole : s

Outil de mesure : chronomètre, montre ...

Courant électrique - Ampère, symbole : A

Outil de mesure : ampèremètre

En sens horaire à partir du haut, on retrouve la seconde (temps), le kilogramme (masse), la mole (quantité de matière), la candela (intensité lumineuse), le kelvin (température), l'ampère (courant électrique) et le mètre (distance).

Température - Kelvin, symbole : K

Outil de mesure : thermomètre

Matière - mole, symbole : mol

Intensité lumineuse - candela, symbole : cd

Voir les unités au labo ...

Outil de mesure : radiomètre

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Datation d'une roche par radiochronologie

But : Comprendre et réaliser le calcul de l'âge d'une roche par radiochronologie.

En pratique.

Comprendre le principe de la datation par radiochronologie

On utilise la plupart du temps le couple Rubidium / Strontium.

Soit un isotope père P, radioactif, qui se désintègre en un isotope fils F, radiogénique, noté F*. Le système est clos, le nombre d’isotopes P diminue en fonction du temps tandis que le nombre d’isotopes fils produits augmente.

a (pente de la droite) = e – 1

λt

Calculs corrects de la pente

Compréhension de la méthode

Détermination de l'élément père/fils

Exprimer le résultat

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Construire un graphe avec un tableur

But : Représenter graphiquement les variations d'un paramètre en fonction d'un autre.

Graphique de type XY en SVT

Selectionner les données.

Menu « insertion » « Type de diagramme » Choisir « Plage de données » : sélectionner la 1° ligne comme étiquette « Eléments du diagramme » : Titres du diagramme, axes X et Y

Sélectionner les cellule contenant les valeurs des colonnes (ou des lignes) concernées puis étendre la sélection à l’ensemble du tableau avec la souris ou au clavier en utilisant les touches du curseur en maintenant la touche shift enfoncée. Ne pas oublier de sélectionner l'intitulé des colonnes ou des lignes pour faire apparaître le nom des courbes dans le cadre «Légende» du diagramme

Attention : Le tableur mettra automatiquement en X les données de la première colonne de gauche et en Y celles des différentes colonnes de droite.

Choix pertinent du type de graphe

Sélection correcte des données

Titres axes et général

Graphique obtenu cohérent

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Réaliser des mesures sur un crâne

But : La mesure de certains caractères crâniens permet une comparaison des différents Homininés.

Mesure de l'angle de prognathisme.

Rapport hauteur Longueur.

La hauteur du crâne est le segment Br Po. B : point de rencontre des sutures fronto-pariétales et sagittale.La longueur du crâne est le segment Na Op. Op : le point postérieur le plus proéminent de l’occiput.

L’inclinaison de la face (angle de prognathisme) est l’angle entre :- la droite O-Po joignant le point le plus bas de l’orbite oculaire (O) et le point le plus haut du trou auditif (Po)- la droite Pr-Na (Pr : point le plus proéminent de l’os maxillaire supérieur entre les alvéoles des deux incisives supérieures centrales ; Na : rencontre de la suture des os nasaux et du frontal).

Choix pertinent des individus

Préparation de la communication des résultats

Repérages corrects

Résultats cohérents

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Acquérir une image numérique : Toupview

But : L'acquisition d'une image numérique d'une observation est essentielle pour communiquer sur les résultats de son observation.

Positionnement de la caméra

• Enlever l’oculaire du microscope et introduire la caméra dans le tube optique.

Acquérir une image.

• Sélectionner le périphérique à l’aide de l’onglet caméra détectée• Selon l'observation dans l’onglet Exposition et Gain cocher ou non la case exposition automatique. • Si besoin réaliser la balance des blancs.• Acquérir l’image en cliquant sur le bouton « capturer » dans l’onglet Capture et Enregistrement• L’image apparaît dans l’onglet supérieur avec un nom de fichier correspondant à un numéro

Acquérir une vidéo.

• Cliquer sur le bouton « filmer » dans l’onglet Capture et Enregistrement

Enregister vos images

• «Fichier/Enregistrer» en renommant au format jpeg ou png

Branchements corrects

Préparation de la communication des résultats

Choix pertinent de la zone à photographier

Image nette

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Traiter une image numérique avec Libre Office

But : L'utilisation du traitement de texte Libreoffice avec l'outil dessin, permet de traiter une image numérique que vous venez d'acquérir ou qui vous a été fournie.

Rogner l'image si besoin afin de ne conserver que la partie intéressante de votre observation.

• Clic droit sur l'image, menu rogner.

Activer la barre d'outil dessin

• La barre d'outil dessin se trouve en bas de l'écran.

Les outils de dessin.

Outil Flèches Sélectionner puis cliquer et faire glisser la souris. Menu contextuel dans barre d'outil en haut

Outil Zone de texte Sélectionner puis cliquer et faire glisser la souris. Menu contextuel dans barre d'outil en haut

Modifier la police, la taille, la couleur ...

Modifier position des flèches, type de traits, largeur de traits, couleur

Légendes réparties de chaque coté

Légendes pertinentes

Titre pertinent

Image centrée

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EXAO Enregistrer un électromyogramme REFMYO

But : Observer l’électromyogramme du muscle soléaire correspondant au réflexe déclenché par l’excitation du tendon d’Achille.

Positionner le sujet à genou sur une chaise. Lancer l’acquisition en appuyant sur la touche F10. Frapper le tendon d’Achille avec le marteau réflexe.Le sujet fournit le réflexe, aussitôt enregistré par le transmetteur électrophysiologie.

Imbiber le coton avec de l’alcool à 70° et nettoyer la peau aux endroits où les électrodes seront placées.

Placer les électrodes sur le muscle soléaire :L’électrode avec le snap noir doit être placée au niveau de la cheville.L’électrode rouge doit être placée à la base du muscleL’électrode verte doit être placée au milieu du muscle

Réaliser plusieurs acquisitions, 2 acquisitions avec la même intensité de stimulation, 1 acquisition en demandant de contracter le pied au bruit du marteau et 1 acquisition en fléchissant le pied.

Paramétrage de l'acquisition

Branchements corrects

Enregistrements superposés

Résultats cohérents

Matériel rangé

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Construire un diagramme avec un tableur

But : Représenter graphiquement les variations d'un paramètre.

Selectionner les données.

Diagramme en bâtons.

Sélectionner les cellule contenant les valeurs des colonnes (ou des lignes) concernées puis étendre la sélection à l’ensemble du tableau avec la souris ou au clavier en utilisant les touches du curseur en maintenant la touche shift enfoncée. Ne pas oublier de sélectionner l'intitulé des colonnes ou des lignes pour faire apparaître le nom des courbes dans le cadre «Légende» du diagramme

Menu « insertion » « Type de diagramme » Choisir Colonnes (attention à bien vérifier l'ordre des colonnes sélectionnées par rapport à l'aperçu fourni) « Plage de données » : sélectionner la 1° ligne comme étiquette « Eléments du diagramme » : Titres du diagramme, axes X et Y

Diagramme circulaire.

Menu « insertion » « Type de diagramme » Choisir Secteurs

Choix pertinent du type de graphe

Graphique obtenu cohérent

Sélection correcte des données

Titres axes et général

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Utiliser un tableur afin de réaliser des calculs.

But : Réaliser des calculs avec un tableur demande de la précision dans l'écriture des fonctions utilisées.

La procédure

Coller une fonction déjà fournie ou déjà sélectionnée

- Sélectionner la cellule destinée à recevoir le résultat- Entrer une fonction

  • Soit utiliser les fonctions intégrées au logiciel pour ouvrir le menu «coller une fonction» et choisir la fonction
  • Soit taper directement la fonction
- Taper = et la fonction - Modifier éventuellement la fonction manuellement en respectant la syntaxe Ex : =SOMME(B2:B12) de B2 à B12ou =SOMME(B4;C5) de B4 + C5

Soit utiliser simplement le copier - coller et automatiquement les références des cellules seront adaptées Soit utiliser la fonction étendre

Etendre en "tirant" sur le coin de la cellule qui contient la fonction

Choix pertinent de la formule

Respect des cellules fixes

Résultats cohérents

Synthaxe correcte

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Formater un graphe avec un tableur

But : Mettre en former différentes parties du graphe, rajouter un axe supplémentaire ...

Construire un 2° axe Y pour séparer deux types de données

Ajouter une courbe de tendance.

  • Double-cliquer sur le diagramme pour le sélectionner intégralement (sa bordure apparaît sous la forme d’un trait gris)
  • Cliquer sur la courbe pour laquelle vous voulez construire une courbe de tendance pour la sélectionner
  • clic droit sur la courbe: « Insérer une courbe de tendance »
  • Cocher «Linéaire »
  • et cocher « Afficher l'équation» OK
  • Paramétrer l'affichage du nombre de décimales clic droit sur la courbe de tendance réalisée
  • Cliquer sur « Formater l'équation de la courbe de tendance »
  • Choisir la catégorie « Nombre » et sélectionner ou taper le nombre de décimales voulu.

Sélectionner les points de la courbe pour laquelle on veut attribuer un 2° axe Double clic.

Dans les paramètres choisir Axe Y secondaire

Attribuer une nouvelle couleur par ex ... puis OK

La mise à l’échelle de la courbe sélectionnée se fera automatiquement indépendamment de l'axe Y principal (selon les données sélectionnées)

Modifier les couleurs ... des courbes

Sélectionner la courbe Double clic, choisir ensuite les paramètres, couleur, épaisseur, symboles ...

Choix pertinent des couleurs ...

Equation de la courbe de tendance

Courbe de tendance tracée

Insertion correcte d'un 2° axe Y

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Formater un graphe avec un tableur - niveau expert

But : Formater les échelles des axes, insérer des étiquettes de données.

Formater les échelles des axes.

Insérer une étiquette de données

Double cliquer sur le diagramme (la bordure apparait en gris).

  • Double-cliquer sur le diagramme pour le sélectionner intégralement
  • Insérer Etiquette de données
  • Choisir afficher la valeur sous forme de nombres (les données chiffrées du tableau de données) ou sous forme de catégories (si les données sont des mots).
  • Choisir la position : au dessus, en dessous, centré par rapport à la position des points sur le graphique.

Menu Format - choisir Format axe Y (par ex).

Onglet échelle modifier si besoin le mini - maxi, les intervalles.

Choisir si besoin échelle logarithmique, chaque échelon sera 10 x plus grand que celui d'avant ...

Modifier le positionnement des axes.

Choisir dans le menu format-axe des Y si les axes X et Y se croisent à 0, pour une certaines valeurs ...

Rajouter un axe Y secondaire

Doucle clic sur la courbe choisie, Option Axe Y secondaire, l'échelle sera modifiée en conséquence.

Echelle cohérente avec les données

Choix du positionnement des axes

Position des étiquettes de données

Etiquettes de données

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Utiliser un logiciel de modélisation moléculaire Libmol

But : Mettre en évidence différentes portions d'une molécule.

Menu commandes : Mettre en forme différentes parties de la molécule (aide contaxtuelle au survol de la commande)

Menu Fichiers Ouvrir la molécule

A partir de la banque en ligne

  • Utiliser les sélections prédéfinies : protéines, ADN, sucres, eau, autres.
  • Représentation de la sélection : rubans, sphères, boules et batonnets.
  • Colorer les atomes, chaines, résidus ...

A partir d'un fichier local

Menu Séquences : Sélectionner des portions précises de la molécule.

Visualiser la molécule

  • Au survol du n° sur la liste, visualisation de la portion sur la molécule.
  • Clic sur un n° de la séquence modification de l'apparence de cette portion ...
  • Clic droit Masquer, masquer le reste de la molécule ...

Clic droit, rotation de la molécule, Clic gauche, translation de la molécule, Molette aggrandir ou rétrécir la molécule Au survol de la souris, nom de l'atome, du résidu, de la chaine et de la molécule.

Capture des observations

Mise en évidence des portions demandées

Choix du fichier de molécule cohérent

Compréhension des manipulations

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Utiliser un traitement de texte

ABC

But : L'utilisation du traitement de texte est quasiment indispensable au lycée, vous devez savoir l'utiliser de manière efficace sans passer des heures à modifier le format des paragraphes, caractères …

Menu Fichiers Ouvrir un fichier Enregistrer Exporter en pdf Imprimer

Menu Insertion Insérer un saut de page Une image Un objet -formule Une forme (flèche ...) Une zone de texte Caractères spéciaux @ ...

Menu Format Formater le texte (sélectionné) Espacement Caractères (exposant, indice) Puces et numéros Image (sélectionnée)

Menu TableauInsérer un tableau

Clic droit sélectionner une image ...

Clic gauche Menu contextuel / sélection

Formatage conforme aux consignes

Fichier correctement enregistré

Fichier correctement ouvert

Eviter les pertes de temps

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Utiliser un traitement de texte - expert

ABC

But : Adapter un texte autour d'une image, recadrer une image ...

Formatage conforme aux consignes

Fichier correctement ouvert

Fichier correctement enregistré

Eviter les pertes de temps

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Utiliser le logiciel Eduanat 2

But : Comprendre l'organisation du cerveau grâce à l'utilisation d'images d'IRM.

IRM anatomique

IRM fonctionnelle

Afficher / masquer le panneau de gauche.

Rechercher le fichier de l’IRM fonctionnelle puis cliquer sur « Ouvrir ».

Rechercher le fichier de l’IRM anatomique, puis Ouvrir

Ouvrir chaque image en cliquant sur « Ouvrir une image anatomique » dans la moitié de l’écran correspondant

L’œil permet de masquer ce calque fonctionnel, la croix permet de le fermer.

Régler le contraste et la luminosité de l’image à l’aide des deux curseurs

Régler le seuil du (des) calque(s) fonctionnel(s) à l’aide du curseur ainsi que l'échelle de couleurs.

Utiliser la molette de la souris pour zoomer sur la vue 3D - Bouger la souris tout en maintenant le bouton gauche enfoncé pour faire pivoter la vue 3D

- Enregistrer une capture d’écran

Réinitialiser l’orientation de la vue 3D

IRM f et IRM anat même sujet !

Choix pertinent des fichiers à comparer ...

Préparation de la communication

Comparaison pertinente

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IRM virtuelle en ligne.

But : Comprendre l'organisation du cerveau grâce à l'utilisation d'images d'IRM.

3 coupes selon 3 axes dans le cerveau

Réglage du seuil

Choix d'une zone à mettre en surbrillance

Echelle d'IRM fonctionnelle selon réglage du seuil

Ascenseur pour se déplacer

Vue en 3D de la position de la souris

Coordonnées de la position de la souris

Cliquer avec la souris sur la zone mise en évidence

Repérage sur le crâne

Préparation de la communication

Choix pertinent des situations à comparer ...

Mise en surbrillance des zones pertinente

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Utiliser Tectoglob 3D

But : Appréhender les manifestations géologiques, zone de subduction, séismes ....

Présentation générale

Afficher des données - menu "Données affichées"

Fenêtre « Résultats » où notamment les coupes réalisées sont tracées, et où la consigne est donnée.

Barre de menus

Afficher des stations GPS

Afficher des foyers sismiques ou des volcans

Afficher le Moho, ou la LVZ sur les coupes

Fenêtre « Réglages » où il possible de changer certains paramètres en lien avec l’action en cours

Afficher des calques de données sur le globe (âge du plancher océanique, carte géologique, anomalies magnétiques etc.)

Fenêtre « Globe virtuel » où il est possible de se déplacer et de zoomer à l’aide de la molette de la souris.

Afficher des sismogrammes

Tracer un profil de tomographie sismique

Tracer une coupe

Charger un ou plusieurs sismogrammes par le menu «Fichier» Dans le menu « Sismogrammes » il possible de pointer le temps d’arrivée des ondes

Menu «Actions», «Tracer une coupe» Cliquer sur le globe virtuel en 2 points, de façon à délimiter la coupe : la coupe apparaît alors dans la fenêtre de résultats.

Sélectionner un modèle de tomographie sismique dans le menu «Données affichées ». Puis tracer une coupe.

Affichages séismes volcans selon besoins

Zone de coupe pertinente

Choix pertinent des zones à comparer.

Préparation de la communication

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Edumodeles

But : Modéliser des phénomènes moléculaires, cellulaires ou à l'échelle des individus.

Choix des agents

Présentation générale

Mode expert : possibilité de créer des zones

Les acteurs du modèle. Choisir les critères - d’apparence (une icône ou choisir une image) - de déplacement, - la probabilité de déplacement, - la demi vie - et le mode de déplacement. Il est toujours possible de modifier ensuite ces critères.

Barre de menus

Agents et comportements

Fenêtre de simulation

1 2 3

Graphique effectifs des agents en fonction du temps

Choix des comportements = relations entre les agents

Liste des agents

2 types de règles :- génération spontanée - réaction entre plusieurs agents.Dans le cas de relations entre les agents, choisir entre quels agents la réaction a lieu (réactifs) et quel est le résultat (produits), la probabilité de réaction.

1. Charger un modèle, enregistrer ... 2. Paramètres d'affichage du graphique 3. Paramètres de la simulation, vitesse, tour de chauffe ...

Réglage des comportements

Confrontation à la réalité.

Logique de la modélisation

Choix pertinent des agents.

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Edumodeles mode expert

But : Construire des zones dans lesquelles certains agents se trouvent ou certaines réactions se déroulent.

Mode expert

Délimiter la zone sélectionnée

Choix des acteurs selon les zones.

Choisir les pixels de la zone

Zones

Ajouter une zone

Choix des comportements selon les zones.

Réglage des comportements

Confrontation à la réalité.

Logique de la modélisation

Choix pertinent des agents.

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Modéliser la vaccination - couvac

But : Modéliser les conséquences de la vaccination sur la propagtion d'une épidémie.

Choix des caractéristiques de l'épidémie

Présentation générale

Menu général

Couverture vaccinale

% transmission

Immunité

Effectifs

Résultats

Fenêtre de modélisation

Choix de l'effectif Peupler

Vacciner

Contaminer en cliquant sur les individus

Lancer la modélisation

Analyse des résultats

Réglage des comportements

Confrontation à la réalité.

Logique de la modélisation

Choix pertinent des caractéristiques.

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De l'atome à l'Univers

But : Appréhender les ordres des grandeur de l'atome au soleil ...

Moyen d'observation

Distance Terre-lune

Distance Terre-soleil

Molécule ADN

Noyau d'un atome

Cellule

Rayon Soleil

Montagne

Univers

Rayon Terre

Organismes

km

µm

nm

pm

mm

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Les plastes des cellules végétales

Un plaste, est un organite présent dans les cellules des eucaryotes chlorophylliens. Un plaste possède une enveloppe composée d'une ou plusieurs membranes. Suivant la cellule, les plastes peuvent se spécialiser pour accomplir certaines fonctions.

Vue schématique d’une cellule végétale

https://commons.wikimedia.org/wiki/File:Plastids_types-fr.svg

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Les drosophiles

La drosophile Drosophila melanogaster est depuis longtemps un outil fascinant très utilisé en génétique. Elle permet d’illustrer simplement les notions de dominance et récessivité des allèles. A l’état sauvage, on la trouve sur les fruits pourris car elle est attirée par la fermentation alcoolique. C’est une petite mouche dont la taille adulte (ailes comprises) n’excède pas 3-4 mm. A l'état sauvage elle possède des yeux rouge brique et un corps gris- jaune. Différence de taille : les femelles sont plus grandes que les mâles. Différence dans la forme et la couleur de l’abdomen. Vu dorsalement, l’abdomen de la femelle est de forme pointue, avec des segments terminaux gris assez clair. L’abdomen du mâle, plus arrondi, a des segments terminaux gris très foncé. Présence de « peignes sexuels » chez le mâle seulement. Il s’agit d’une touffe de poils noirs, au niveau métatarse – 1er article du tarse de la paire de pattes antérieures.

Morgan est le premier à travailler sur les drosophiles en génétique : elle a la capacité de se reproduire rapidement et ne possède que quatre paires de chromosomes, aisément observables au microscope photonique. Morgan découvre, à la suite de croisements entre les individus, qu'une des drosophiles mâles possède des yeux blancs plutôt que les yeux rouges habituels. À la suite de plusieurs générations, il découvre que seuls les mâles peuvent avoir le caractère des yeux blancs. Il tire la conclusion que la couleur des yeux doit être liée d'une certaine manière au sexe de l'individu.

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Les enzymes

Une enzyme est une protéine qui augmente la vitesse de réaction d'une réaction biochimique. L'enzyme n'est pas modifiée au cours de la réaction. Les molécules initiales sont les substrats de l'enzyme, et les molécules formées à partir de ces substrats sont les produits de la réaction. Presque tous les processus métaboliques de la cellule ont besoin d'enzymes pour se dérouler à une vitesse suffisante pour maintenir la vie. Les enzymes catalysent plus de 5 000 réactions chimiques différentes. L'ensemble des enzymes d'une cellule détermine les voies métaboliques possibles dans cette cellule.

Anabolisme : réaction de synthèse "accrochage" de molécules

Catabolisme : réaction de dégradation "découpage" de molécules

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De la fleur au fruit

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La régulation de l'expression des gènes

L'expression des gènes, désigne l'ensemble des processus par lesquels l'information héréditaire stockée dans un gène est « lue » pour aboutir à la fabrication de molécules qui auront un rôle actif dans le fonctionnement cellulaire, comme les protéines. Même si toutes les cellules d'un organisme partagent le même génome, certains gènes ne sont exprimés que dans certaines cellules, à certaines périodes de la vie de l'organisme ou sous certaines conditions. La régulation de l'expression génétique est donc le mécanisme fondamental permettant la différenciation cellulaire, la morphogenèse et l'adaptabilité d'un organisme vivant à son environnement.

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Les organes de réserves

Un organe de réserve est une partie de plante modifiée spécifiquement pour lui permettre de stocker de l'énergie (généralement sous la forme de glucides) ou de l'eau pour passer la mauvaise saison et se développer l’année suivante. Les organes de stockage sont souvent des organes souterrains, qui sont mieux protégés que les parties aériennes des attaques des animaux herbivores.

Attention il ne faut pas confondre ces organes de réserves avec la reproduction sexuée, chacune de ces plantes fleurit et fait des graines …

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La paroi des cellules végétales

La paroi des cellules végétales constitue plusieurs ressources naturelles : le bois et les fibres textiles d'origines végétales : coton, lin... La paroi primaire a une double spécificité, elle doit en même temps :• être rigide pour jouer le rôle de squelette du végétal• assurer une plasticité/élasticité permettant la croissance et la division cellulaire.

Dans le cas de cellules végétales différenciées la paroi primaire s’enrichit en lignine un composé hydrophobe et la paroi secondaire s’épaissit vers l’intérieur de la cellule. C’est cette paroi secondaire qui forme notamment le bois des troncs d’arbre.

La différenciation des parois selon le type de tissu végétal.

  • Epiderme
  • Sclérenchyme
  • Collenchyme
  • Trachéïdes, vaisseaux conducteurs

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Les vaisseaux conducteurs de sève

Chez les végétaux terrestres la circulation des sèves est assurée par un appareil conducteur composé de deux types de tissus : le xylème pour la sève brute et le phloème pour la sève élaborée.

Les positions relatives des vaisseaux du xylème et du phloème sont différentes selon l’organe considéré :- Dans la racine, xylème et phloème sont disposés en alternance sur un cercle central- Dans la tige, xylème et phloème sont superposés sur les bords externes de la tige.- Dans les feuilles, xylème et phloème sont superposés au niveau des nervures.

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L'échelle stratigraphique

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La structure de la Terre

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La structure d'une roche

Toutes les roches sont constituées d’un assemblage ordonné de minéraux. Les minéraux sont définis par leur composition chimique et l’agencement de ses atomes suivant un motif ou maille élémentaire se répétant de façon ordonnée pour former un cristal.

Minéral

Cristal

Maille

Atome

Roche

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Les plaques lithosphériques

Les plaques lithosphériques (ou plaques tectoniques) sont définies en surface par des limites de plaques (zones de subduction, dorsales, zones de collision) et en profondeur par l’isotherme 1300°C qui marque la séparation entre la partie lithosphérique du manteau ayant une structure cassante et la partie asthénosphérique du manteau ayant une structure ductile).

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Le métamorphisme

À la suite de modifications des conditions physico-chimiques, le métamorphisme est un processus interne ou endogène, qui provoque le changement à l'état solide de la texture et de la composition minéralogique d'une roche dont les minéraux étaient stables jusque-là.

La température : il existe un gradient thermique et un gradient de pression croissant avec la profondeur. Ainsi des roches peuvent être soumises à ces gradients lors d'un enfouissement d'une partie de la croûte terrestre (subduction) ou au contraire lors d'une remontée.

La pression augmente en raison de l'augmentation du poids de la colonne de roches sus-jacentes, c'est la pression lithostatique. La pression de contrainte est aussi responsable de métamorphisme ; c'est une pression orientée qui affecte les roches lors de l'orogénèse (naissance des montagnes) à la suite de mouvements tectoniques.

Nouveau minéral formé par une réaction métamosphique en présence d'eau entre les deux minéraux initialement présents.

En présence d’eau et de nouvelles conditions de P et de T, de nouveaux minéraux peuvent se former à partir des minéraux présents dans la roche. La présence de nouveaux minéraux donne une indication sur les conditions de pression et de température subies par la roche après sa formation. On peut alors établir des faciès métamorphiques.

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La chaleur de la Terre

La Terre reçoit de l’énergie du Soleil (de l’ordre de 350 W.m-2) mais est elle-même une source d’énergie (de l'ordre de 80 mW.m-2) ce qui est négligeable pour en terme de chaleur mais primordial au niveau géologique car c'est le moteur de la tectonique des plaques.

Origine de la chaleur de la Terre :

  • Désintégration radioactive d'élements chimiques dans le manteau terrestre.
  • Résidu de la chaleur initiale de la formation dans le Terre dans le noyau.
  • Réactions de cristallisation à la limite entre le manteau et le noyau.

Modalités de transfert de la chaleur.

• La convection est le mode de transfert d’énergie thermique prépondérant dans le manteau terrestre. • Les roches de la lithosphère ne sont pas ductiles, le mode de transfert de chaleur est alors la conduction.

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Les ondes sismiques

Les ondes sismiques, ou ondes élastiques, sont des mouvements vibratoires qui se propagent à travers un matériau. Elles sont générées par un événement initial brutal, l'impulsion de départ déplace les atomes du milieu, qui en poussent d'autres avant de reprendre leur place, ces déplacements oscillatoires se propageant ensuite de proche en proche. Un séisme émet des ondes sismiques dans toutes les directions.

On distingue deux grands types d’ondes sismiques : • Les ondes de volume qui se propagent à l’intérieur du globe. Leur vitesse de propagation dépend du matériau traversé, de sa densité, de sa température. o Les ondes P (ondes de pression). o Les ondes S (ondes de cisaillement Shear wave en anglais).

• Les ondes de surface qui ne se propagent qu’à la surface de la Terre, comme les rides formées à la surface d'un lac. Elles sont moins rapides que les ondes de volume ; leur amplitude en surface est généralement plus forte, mais décroît rapidement avec la distance. o Les ondes L. o Les ondes R.

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La sismique réflexion - réfraction

Les techniques de sismique-réflexion et sismique réfraction.Ces techniques consistent à émettre des vibrations (par camion vibreur ou par explosion de petites charges) en milieu continental ou des explosions (par canon à air) en milieu océanique. Les ondes produites se propagent alors dans l’eau et le sous-sol. Des récepteurs enregistrent les échos des ondes réfléchies et réfractées par les surfaces de discontinuité ; zones de transition entre deux milieux.

À partir des profils sismiques et des résultats de forages qui permettent de déterminer la nature des roches du sous-sol, les géologues évaluent la vitesse des ondes dans les structures. La vitesse des ondes étant estimée, il est possible de déterminer la profondeur des discontinuités et de construire une image des structures en profondeur.

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Les marges passives

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Les dorsales océaniques

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Les zones de subduction

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Comparaison des croûtes terrestres

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Conventions d'écriture en génétique.

But : Savoir écrire correctement le génotype et le phénotype d'un individu.

Le phénotype d’un organisme correspond à l’ensemble des caractères affichés par celui-ci. Par convention, il s’écrit entre crochets. Seuls les allèles dominants sont mentionnés.

[ A B , D]

Un allèle dominant est un allèle dont l’expression confère à la cellule / à l’organisme son phénotype ➜ il est représenté le plus souvent par une lettre MAJUSCULE.Un allèle récessif est un allèle dont l’expression est masquée et non visible dans le phénotype de la cellule / de l’organisme ➜ il est représenté le plus souvent par une lettre minuscule.

1 autre fraction une autre paire chromosomes

Le génotype correspond à l’ensemble des allèles possédés par une cellule ou un organisme. Par convention, il s’écrit entre parenthèses, en utilisant des symboles pour chaque allèle considéré. Attention pour un gène donné conserver la même "lettre" pour noter les 2 allèles.

A B D

a b d

1 fraction 2 barres 2 chromosomes homologues

... Selon les consignes des doc.

Respect des conventions ...

Essayer pour une cellule haploïde.

Travail propre

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Méiose, juste en nombre de chromosomes

2n = 4

Séparation des chromosomes homologues

Séparation des chromatides de chaque chromosome

4 gamètes équiprobables à n = 2

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La mitose, une division conforme

Séparation des chromatides de chaque chromosome

Après réplication

2n = 4

2 cellules filles à 2n = 4

2n = 4

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Les déformations à l'échelle des paysages et des roches

But : Soumises à des contraintes les roches se déforment selon leur texture, leur résistance à la déformation. Ces déformations peuvent être à des niveaux macroscopiques ou microscopiques.

Les plis : Structure courbe due à une déformation ductile (non cassante) des roches.- Un pli anticlinal présente les couches les plus anciennes au cœur du pli.- Un pli synclinal présente les couches les plus récentes en son centre.

Les failles : Structure formée par une déformation non ductile (cassante) des roches. 3 types différents de failles. - Les failles coulissantes ou failles transformantes - Les failles inverses correspondent à un raccourcissement horizontal des couches - Les failles normales correspondent à un allongement horizontal des couches

Les deux structures peuvent aussi êtres associées plis et faille :

Les déformations à l’échelle des roches et des minéraux. : - Schistosité : feuilletage en plans parallèles, plus ou moins serrés de certaines roches. La roche peut se débiter en plaques ou feuillets - Foliation : orientation préférentielle de minéraux visibles à l'œil nu à l’échelle de l’échantillon conséquence de la différence de résistance des différents minéraux constituant une roche.

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La membrane plasmique

La membrane plasmique, est une membrane biologique séparant l'intérieur d'une cellule, appelé cytoplasme, de son environnement extérieur, c'est-à-dire du milieu extracellulaire. Cette membrane joue un rôle biologique fondamental en isolant la cellule de son environnement. Elle est constituée d'une bicouche lipidique comprenant des phospholipides et du cholestérol permettant d'ajuster la fluidité de l'ensemble en fonction de la température, ainsi que des protéines membranaires intégrales ou périphériques, les premières jouant généralement le rôle de transporteurs membranaires tandis que les secondes interviennent souvent dans les processus intercellulaires, l'interaction avec l'environnement, voire les changements de forme de la cellule.

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Gènes - chromosomes

Chez tous les êtres vivants pluricellulaires, issus de la fécondation d’un ovocyte par un spermatozoïde, il existe des paires de chromosomes.Un des chromosomes de la paire provient du spermatozoïde, l’autre chromosome de la paire provient de l’ovocyte.Les gènes sont des portions de chromosomes codant pour la fabrication d’une protéine et ayant une place définie sur une paire donnée de chromosomes.

Gène 1 sur le chromosome 2

Gène 1 sur le chromosome de la paire 2

Gène 1 sur le chromosome 2

Au moment de la fécondation les chromosomes s'assemblent par paire

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Les roches sédimentaires

Les roches sédimentaires proviennent de l'accumulation de sédiments qui se déposent le plus souvent en couches ou lits superposés, appelés strates. Elles résultent de l'accumulation de sédiments divers, c'est-à-dire d'éléments solides (morceaux de roches ou fragments, minéraux, débris coquilliers...) et/ou de précipitations à partir d'éléments en solution dans l'eau. On rassemble sous le nom de diagenèse l'ensemble des processus par lesquels les dépôts issus de l'érosion sont transformés en roches sédimentaires.

Les roches sédimentaires sont dites roches exogènes, c'est-à-dire qu'elles se forment à la surface de l'écorce terrestre. La texture d'une roche sédimentaire est conditionnée par sa taille, la forme et l'orientation de ses clastes. Cette texture est une propriété à petite échelle d'une roche, mais détermine une grande partie de ses propriétés à grande échelle, telles que la densité, la porosité ou la perméabilité.

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Fossiles

Les fossiles sont des restes ou des moulages d’organismes (ou de restes d’organismes) inclus dans des sédiments. Les parties dures des organismes (coquilles, dents, os) ont davantage de chances d’être fossilisées que les partie molles (organes) qui subissent en général une décomposition rapide.La fossilisation est un phénomène exceptionnel qui selon les cas consiste en :• La conservation des organes sans modification ou très peu (recristallisation) : c’est le cas pour les coquilles, os, dents.• La conservation après remplacement de la matière d’origine par une autre : troncs d’arbres pétrifiés (de la silice remplace le bois), ammonites pyriteuses (de la pyrite (minéral) remplace le calcaire dont est constituée la coquille).• La conservation d’un moulage (empreinte) de l’organisme (de la coquille par exemple) ou d’une trace laissée par l’organisme (terrier, empreinte de pas)Les fossiles renseignent sur les caractéristiques du milieu de sédimentation (marin, lacustre … ) et certains renseignent également sur l’époque de dépôt des sédiments : ce sont les fossiles stratigraphiques utilisés pour la datation des roches.

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Le cycle des roches

la croûte terrestre dans son ensemble se compose d'environ 94 % en volume de roches qui proviennent de la cristallisation d'un magma, on appelle ces roches des roches magmatiques. L'étape suivante du cycle consiste dans la remontée, souvent très lente, parfois rapide, de cette roche magmatique vers la surface, où elle se trouve alors exposée à différents processus géologiques qui l'érodent et qui la transportent sous forme de grains de tailles diverses vers des bassins de sédimentation, se sont des sédiments. Sous l'effet de processus physique de compaction et de réactions chimiques lors de la diagenèse, les sédiments se consolident et deviennent des roches compactes appelées roches sédimentaires. Des processus tectoniques peuvent enfouirles roches sédimentaires à des profondeurs appréciables sous la surface, notamment à l'intérieur de chaînes de montagnes. Ces roches sédimentaires sont alors soumises à des pressions et des températures élevées, et subissent à leur tour une transformation importante dans leur forme et leurs propriétés physiques, tout en conservant généralement la même composition chimique globale. Elles deviennent ainsi des roches métamorphiques.

Sédimentation

Roche sédimentaire

Erosion

Roche magmatique

Métamorphisme

Roche métamorphique

Cristallisation

Magma

Fusion

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Une cellule ?

Une cellule est l'unité fonctionnelle du vivant. Une cellule est constitué d'une membrane qui entoure un cytoplasme, dans lequel se trouve une information génétique lui permettant de se reproduire, de se dévelloper. Dans le cytoplasme se déroulent des réactions biochimiques (métabolisme) définissant ainsi deux milieux de composition différente : le milieu intra cellulaire et le milieu extracellulaire. On peut distinguer plusieurs types de cellules selon leur organisation.

Unicellulaires : êtres vivants formés d'une seule cellule assurant toutes les fonctions.

Pluricellulaires : êtres vivants formés de plusieurs cellules spécialisées dans une fonction.

Bactéries

Cône =cellule de la rétine

Cellule végétale

Paramécies

Spermatozoïde

Eucaryotes : cellules avec des compartiments (organites) ayant chacun une fonction au sein de la cellule. Le noyau contient l'information génétique. Les mitochondries assurent l'apport en énergie ...

Procaryotes : cellules non compartimentées, toutes les fonctions sont assurés dans le cytoplasme.

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Caryotype

Le caryotype (ou caryogramme) est l'arrangement standard de l'ensemble des chromosomes d'une cellule, à partir d'une prise de vue microscopique. Les chromosomes sont photographiés et disposés selon un format standard : par paire et classés par taille, et par position du centromère. On réalise des caryotypes dans le but de détecter des aberrations chromosomiques (telles que la trisomie 21) ou d'identifier certains aspects du génome de l'individu, comme le sexe (XX ou XY).

Caryotype d'un rat mâle Source Wikipédia

Caryotype d'une femme Source Wikipédia

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La molécule d'ADN.

But : Comprendre la relation entre la structure universelle et le message unique à à chacun contenu dans la molécule d'ADN.

4 nucléotides diférents, complémentaires 2 à 2

Deux chaines de NUCLEOTIDES COMPLEMENTAIRES enroulées en double hélice. Structure universelle

Nucléotide à Cytosine

Nucléotide à Guanine

Nucléotide à Adénine

Nucléotide à Thymine

Deux chaines de NUCLEOTIDES COMPLEMENTAIRES

Ordre des nucléotides = séquence. Message unique

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La réplication de l'ADN.

Séparation des deux brins de la molécule d'ADN initiale

Copie de chaque brin d'ADN grâce à la complémentarité des nucléotides

2 molécules d'ADN strictement identiques

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La synthèse des protéines

La synthèse des protéines est l'ensemble des processus biochimiques permettant aux cellules de produire leurs protéines à partir de leurs gènes. Elle comprend 4 grandes étapes : la transcription, la maturation de l'ARN messager, la traduction et la maturation des protéines.

La transcription : synthèse d'un ARN m à partir du brin transcrit de l'ADN

La traduction : synthèse de la protéine (séquence d'acides aminés) à partir de la séquence de ribonuclétoides de l'ARN m

La maturation ou épissage de l'ARN m, les morceaux non codants sont éliminés (introns).

La maturation des protéines : assemblage de plusieurs sous unités, ajout d'autres molécules, conformation 3D.

Exportation de l'ARN m dans le cytoplasme

Dans le noyau de la cellule.

Dans le cytoplasme de la cellule.

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Noyau, chromosome, chromatine ?

But : Comprendre les modifications de l'apparence du matériel génétique au cours de la vie de la cellule.

Fil déroulé

Cellule en interphase, la majeure partie de la vie de la cellule

Matériel génétique sous forme de chromatine

Molécule d'ADN

Bobine de fil

Uniquement lors des divisions cellulaires

Matériel génétique sous forme de chromosomes, forme compactée de la chromatine.

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Les molécules organiques

But : Connaître la composition, la structure et la fonction des molécules organiques.

Glucides

Protéines

Acides nucléiques

Lipides

Les protéines sont des macro molécules constituées d'acides aminés (de 50 à 1000). Leur structure et leur fonction dépend de leur séquence en acides aminés et des relations s'établissant entre les acides aminés. Les protéines ont des fonctions très diverses :- protéines de structure : collagène, kératine- protéines motrices : myosine présente dans les fibres musculaires.- protéines réceptrices : récepteur hormonal - enzyme : réalise toutes les réactions chimiques dans les cellules. - protéines signal : hormones par exemple, insuline. - protéines de transport : hémoglobine.

Les glucides sont des hydrates de carbones c'est à dire des molécules formées d'atomes de C , d'H et d'O.Les glucides ont diverses fonctions :- dégradés lors de la respiration cellulaire ils permettent à la cellule de fabriquer de l'énergie.- ils entrent dans la formation des acides nucléiques.- ils jouent un rôle important dans la reconnaissance cellulaire (groupes sanguins).

Molécules formées de C, H et O. Tous les lipides se caractérisent par une partie hydrophobe (qui « fuit l'eau ») et une partie hydrophile (qui « aime l'eau »). Leurs fonctions sont variées :- molécules énergétiques de stockage.- constituant de nombreuses hormones.- constituant de la membrane plasmique.CholestérolDi acyl glycerol

Molécules ayant un rôle prépondérant dans la cellule car porteuse de l'information génétique. Elle sont formées de nucléotides. Un nucléotide est un assemblage de 3 molécules : un sucre (ribose ou désoxyribose), un acide phosphorique et une base azotée (parmi 5 possibles : Uracile, Thymine, Guanine, Cytidine, Adénine). 1 nucléotide On distingue deux molécules principales : ADN et ARN.

Réperage de la composition d'une molécule ...

... Selon le type de cellule

Compréhension de la relation structure - fonction

Distinction des différentes molécules organiques

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Utiliser les données GPS ...

But : Le GPS (Global Positioning System) comporte un ensemble de satellites NAVSTAR dont l’orbite est quasi-circulaire à une altitude de 20 184 km au-dessus de la surface terrestre.

Chaque satellite émet un signal complexe qui comporte une information sur la position du satellite et l’heure exacte lors de l’émission de chaque signal. La détermination de la position du récepteur repose sur la connaissance des distances entre le récepteur et plusieurs satellites. La connaissance précise des distances entre un récepteur et trois émetteurs localisés permettrait la détermination exacte de l’emplacement du récepteur d'un point.

Mode de fonctionnement

Application en SVT

L'enregistrement en un point donné des données GPS au cours du temps permettent ainsi de suivre l'évolution de ce point en longitude, en latitude et en altitude.

Avec un tableur on peut construire l'évolution au cours du temps de ces différents relevés. En calculant ensuite la pente de chacun de ces graphiques on peut déterminer la vitesse de déplacement en longitude et latitude.

latitude

+ Nord

+ Est

- Ouest

longitude

Point à l'intersection des zones de réception des trois satelittes.

Mouvement global de ce point

- Sud

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Se repérer dans un crâne ...

But : Connaître les plans de section sur un crâne pour repérer les différentes images d'IRM.

Les plans de coupe

Les vues du cerveau selon les plans de coupe

Coupe sagittale

Coupe Transversale

Coupe coronale

Coupe sagittale

Coupe coronale

Coupe Transversale

Anatomie du cerveau

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Cycle d'infection d'un virus

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Des roches ...

Erosion : de la roche au sédiment

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Des cellules spécialisées.

Ainsi, au sein des organismes pluricellulaires, les cellules présentent une grande diversité de structure et de fonction. L'organisation pluricellulaire implique la spécialisation des cellules et leur coopération. Les cellules s'associent pour former des tissus, puis des organes spécialisés dans la prise en charge d'une ou plusieurs fonctions de l'organisme. Le fonctionnement coordonné de l'ensemble des cellules, des tissus et des organes permet la vie de l'organisme pluricellulaire. Toutes les cellules d’un organisme sont issues d’une cellule unique à l’origine de cet organisme. Elles possèdent toutes initialement la même information génétique organisée en gènes. Cependant, les cellules spécialisées n’expriment qu’une partie des gènes à leur disposition.

Fonction

Tissu

Structure cellulaire

Protéine spécifique

Rôle

Nutrition

Communication

Protection

Photosynthèse

Conduction

épithélium intestinal

tissu nerveux

épiderme

Parenchyme chlorophyllien

vaisseau conducteur

source

Cellules intestinales

Neurones

source

Cellules épidermiques

source

Cellules de parenchyme

source

source

Cellules du xylème

Enzymes

Neurotransmetteurs

Cutine

Chlorophylle

Lignine

Découper les molécules des aliments.

Transmettre un message nerveux entre deux neurones

Procurer une isolation de l'épiderme face au milieu extérieur.

Réaliser la photosynthèse

Assurer la rigidité des vaisseaux afin de conduire la sève

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Se repérer sur la Terre

But : Connaître les repères de longitude et de latitude.

Méridien

Axe de Latitude

Parallèle

Axe de Longitude

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Les continents sur la Terre ...

De supercontinents en dislocations ...

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Histoire de la vie sur la Terre

Histoire de la vie sur la Terre sur 1 heure

D'après Banque schéma SVT académie Dijon

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Plan d'organisation d'un Vertébré

But : Connaître les plans de section sur un organisme afin de repérer la position des organes.

Les plans de coupe

Les organes selon les plans de coupe

coupe sagittale

coupe coronale

coupe transversale

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Déterminer des minéraux

But : Utiliser une clé de détermination des minéraux

Confirmation en LPA

Détermination en LPNA - lumière naturelle

Couleur

Relief

Clivage

Teinte de polarisation

Pléochroïsme

Forme

Macle

Absence

Changement de couleur du minéral en faisant tourner la platine.

Blanc

Faible

Rectangulaire

Blanc, gris, noir

1 clivage

Vue en macro

Faiblement coloré

Teintes moyennes

Hexagone

Moyen

2 clivages 90°

Teintes vives

Forme allongée

Fort

2 clivages 120°

Vue en coupe

Coloration vive

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Déterminer des minéraux

Couleur LPNA

Forme

Relief

Clivage

Couleur LPA

Minéral

Pléochroïsme

Mâcle

Quartz

Pas de contours visibles

Feldspath

lame de parquet

Muscovite

Disthène

Andalousite

minéral craquelé

Olivine

Fines aiguilles

Sillimanite

Grenat

Toujours éteint

rose

Ortho-pyroxène

beige

Clino-pyroxène

90°

Jadéite

vert

Actinote

120°

bleu

Glaucophane

Bleu-violet

Biotite

Beige-marron

lame de parquet

Marron

Hornblende

Marron -vert

120°

Marron- vert

Chlorite

vert

Aspect déchiqueté

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Les cellules sanguines

Plasma (55%)

Globules rouges (41%)

Plaquettes (0.01%)

Granulocytes eosinophiles

Granulocytes neutrophiles

Lymphocytes

Globules blancs (4%)

Monocytes

Granulocytes basophiles

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Cellule animale et cellule végétale vs bactérie

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La faune du sol

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Le soi et le non soi

Tout organisme doit faire la différence entre les cellules, les molécules qui lui appartiennent le soi, le soi « malade » et ce qui est étranger le non soi, grâce à des marqueurs membranaires, caractéristiques du soi, HLA (marqueurs de l’identité de chaque individu) codés par les gènes du CMH, qui exposent à la surface des cellules des échantillons des protéines synthétisées par ces cellules.

Le non soi est défini comme l’ensemble des molécules différentes du soi, qui lorsqu'elles sont présentes dans l’organisme, vont déclencher des réactions immunitaires. Ces molécules étrangères au soi sont appelées antigènes qui peuvent présenter plusieurs déterminants antigéniques qui seront reconnus spécifiquement par le système immunitaire.

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Anticorps - Antigène

Un anticorps est une protéine constituée de 4 chaines : 2 chaines lourdes (H pour Heavy) et 2 chaines légères (L pour Light). Chaque châine comporte une partie constante et une partie variable voire hypervariable. En effet un anticorps donné ne reconnait q'un déterminant antigénique donné. Les anticorps en se fixant sur les antigènes facilitent leur élimination par les cellules phagocytaires. Les anticorps sont fabriqués par des lymphocytes B activés devenus des plasmocytes. Il existe des anticorps membranaires présents sur la membrane des lymphocytes B, avant leur activation et des anticorps circulants émis dans le sang par les plasmocytes.

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La datation relative

La datation relative regroupe l'ensemble des méthodes de datation permettant d'ordonner chronologiquement des événements géologiques ou biologiques, les uns par rapport aux autres. Cette méthode dans certaines circonstances favorables (grande richesse en fossiles stratigraphiques et taux de sédimentation élevé) peut permettre un repérage d’une grande finesse mais ne donne pas l’âge d’un événement. Il est donc impossible par cette approche de chiffrer (en millions d’années) l’âge d’un phénomène, ou d’aborder directement la durée des phénomènes observés.

Principe de l’actualisme : principe de base de la géologie. les phénomènes qui se sont produits dans le passé lointain se produisent actuellement. Les structures géologiques passées ont été formées par des phénomènes (sédimentaires, tectoniques ou autres) toujours visibles de nos jours.

Principe d'identité paléontologique

Principe de superposition

Principe de recoupement et d'inclusion

Principe de continuité

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Les niveaux d'organisation du vivant

Biosphère = ensemble de tous les êtres vivants sur Terre, animaux, végétaux, bactéries ....

Ecosystème ensemble formé par des êtres vivants (biocénose) en relation avec leur environnement (biotope).

Un organisme pluricellulaire : un être vivant capable de se nourrir, se reproduire, grandir, ...

... est constitué d'organes, ayant une fonction précise au sein de l'organisme (protection, nutrition, reproduction ...) ...

... eux mêmes composés de tissus ...

... formés de cellules spécialisées dans une fonction précise, comportant des ...

... organites, structures intracellulaires ayant une fonction propre constitués de ...

... molécules, structures constituées d'atomes ayant une fonction propre.

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Analyser un arbre généalogique.

But : L'analyse d'un arbre généalogique permet de montrer le mode de transmission de certains caractères héréditaires et ainsi de prédire le phénotype d'enfants à naître.

Numéros des individus (plus pratique que Mamie Paulette ou Tonton René ...)

Numéros des générations

Homme phénotype alternatif

Homme phénotype sain

Enfant à naître phénotype inconnu

Jumeaux

Femme phénotype alternatif

Femme phénotype sain

Repérage correct des générations

Repérage correct des individus

Compréhension des relations au sein de la famille

Prédiction du phénotype de l'enfant à naître

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Analyse de croisement génétique.

But : Déterminer l'origine de la proportion des phénotypes des individus de la 2° génération issue d'un test cross.

Déterminer le nombre de gènes impliqués en fonction des données de l'énoncé, 1 caractère pour 1 gène.

Par définition les individus de la 1° génération sont de lignées pures (donc homozygotes) pour les gènes considérés.

Déterminer le nombre d'allèles différents : voir les variations possibles pour chaque caractère dans l'énoncé.

En osbervant le phénotype de F1 (individu né du 1° croisement) en déduire les allèles dominants et récessifs.

Formuler une hypothèse quant à la répartition des 2 gènes (cas le plus général) :

  • Les 2 gènes sont indépendants (sur deux paires de chromosomes différentes)
  • Les 2 gènes sont liés (sur la même paire de chromosomes)

Ecrire le phénotype des individus parents puis F1 avec les conventions du document (ou en ayant choisi des conventions logiques) Ecrire le génotype des indiviuds parents et F1 selon l'hypothèse choisie.

Etablir la diversité et les proportions des gamètes de F1 (double hétérozygote)

Rédiger un tableau de croisement et comparer les résultats réels (du document) avec ceux prévus par le tableau de croisement. Confirmer ou infirmer l'hypothèse du

Conclusion pertinente

... Selon les consignes des doc.

Respect des conventions d'écriture ...

Méiose de F1 correcte

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Analyser une IRM

But : Comprendre l'intéret de l'utilisation d'images d'IRM.

IRM fonctionnelle

Fonctionnement d'une IRM

L’imagerie par résonance magnétique nucléaire (IRM) est la technique d’imagerie médicale la mieux adaptée à l’observation du cerveau en deux ou trois dimensions. Placés dans un champ magnétique intense, les protons s’orientent. Dès que ce champ magnétique cesse, ils se relaxent en émettant des ondes radio qui sont enregistrées. Cet examen ne nécessite l’injection d’aucun produit et n’irradie pas.

L’imagerie par résonance magnétique fonctionnelle (IRMf) est une application de l’imagerie par résonance magnétique à l’étude du fonctionnement du cerveau. Elle consiste à faire alterner des périodes d’activité (par exemple bouger une main) avec des périodes de repos.

La localisation des zones cérébrales activées est fondée sur une propriété magnétique de l’hémoglobine contenue dans les globules rouges du sang. Dans les zones activées par la tâche effectuée, une petite augmentation de la consommation d’oxygène par les neurones induit une augmentation locale de flux sanguin. Il en résulte une diminution de la concentration de désoxyhémoglobine. Ainsi, le signal IRM augmente légèrement pendant les périodes d’activation.

Pour rendre compte d’un volume, trois sections suivant trois plans différents sont nécessaires. L’avancée des techniques actuelles permet de balayer suivant ces trois plans tout le volume d’un organe comme le cerveau.

IRM anat et fonctionnellee de la vision d'une image en couleur

Comprendre le protocole d'une IRM f

Préparation de la communication

Comprendre la technique de l'IRM

Repérage des zones actives

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Analyser un graphe.

But : Un graphe est une représentation mathématiques de la variation d'un paramètre en fonction d'un autre. Votre analyse doit donc montrer les relations entre les deux paramètres.

Repérer ce qui varie (en ordonnées y) en fonction du paramètre de mesure (en abscisse x).

Essayer de comprendre comment on a pu enregistrer ce graphe (les conditions expérimentales).

Repérer les unités.

Repérer les valeurs caractéristiques (minimum, maximum, pallier..) et les variations.

Éviter les variations anecdotiques.

Ne jamais écrire : la courbe augmente ....Mais : le paramètre (fréquence cardiaque...) augmente en fonction du temps .. lors d'un exercice musculaire.

Rédiger une conclusion générale permettant de répondre au problème posé.

Repérage correct des axes et unités

Compréhension des mesures effectuées

Conclusion globale pertinente

Repérage des variations

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Analyser un document.

But : Il s'agit de sélectionner dans un texte des informations permettant de répondre aux questions posées.

Lire les questions avant de lire le texte de façon à savoir quelles sont les informations recherchées.

Lire attentivement le titre ce qui permet d'indiquer l'objectif général du texte.

Lire une première fois le texte en lecture rapide de façon à situer dans quel paragraphe vous allez trouver des réponses à telle question.

Relire attentivement le texte en le découpant en différentes parties selon les réponses souhaitées. Prendre des notes, surligner les parties essentielles.

Organiser la réponse : TOUJOURS PARTIR DES DONNÉES DU TEXTE et ensuite CONCLURE AVEC L'AIDE DE VOS CONNAISSANCES.

Le document x montre que �,on peut expliquer ces données par � donc on en déduit que�.

Repérage correct des données

Compréhension des mesures effectuées

Conclusion globale pertinente

Repérage des variations, temps ...

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Analyser un schéma.

But : Il s'agit de sélectionner dans un schéma ... des informations permettant de répondre aux questions posées.

Reconnaître les structures : situer le (ou les) niveau (x) représenté(s) : écosystème, organisme, organe, cellule, molécule ..

Repérer les relations indiquées dans le document : sens des flèches, temps … afin de mettre en évidence les relations de cause à effet.

Repérer les valeurs numériques si il y en a, et s'en servir dans l'analyse.

Faire une synthèse des informations sélectionnées en utilisant les connaissances.

Schéma fonctionnel de la phagocytose : processus au cours duquel une cellule immunitaire, reconnaît, ingère (1) et détruit (2-3) une particule étrangère (ici un virus) puis expulse les débris (4).

Repérage correct des données

Compréhension des mesures effectuées

Conclusion globale pertinente

Repérage des variations, temps ...

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Analyser un diagramme P T.

But : Un diagramme Pression (profondeur) Température est une modélisation des conditions de P et T de stabilité de différents minéraux ou d’une roche soit lors d’une fusion partielle – cristallisation soit lors d’une transformation à l’état solide (métamorphisme). Il est très important de connaître les conditions géologiques afin d’analyser correctement un diagramme PT.

Repérage correct des données P et T

Repérage du sens de variations de P

Compréhension des mesures effectuées

Conclusion globale pertinente

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Analyser une photographie.

But : Il s'agit de sélectionner dans une photographie des informations permettant de répondre aux questions posées.

Lire le titre pour comprendre ce que représente cette photo. Repérer l’origine de cette photo, si l’objet a été agrandi et avec quel outil ? (repérer l'échelle ou la présence d'un objet de taille de référence).

Se poser la question : Qu’est ce que cette photographie montre d'important ?

Si plusieurs documents du même type sont présentés (deux moments différents ? ...), il faut les comparer.

Faire une synthèse des informations sélectionnées en utilisant les connaissances.

Observation des cellules de l'épithélium bronchique au MO x 400 Une question pourrait être posée sur les modalités d'évacuation du mucus des bronches ... on pourrait alors comparer avec un indivudu atteint de mucoviscidose.

https://qph.fs.quoracdn.net/main-qimg-d1b1957e8bdbeb0329a031c3e20a4273-c

Repérage correct des données

Compréhension des observation effectuées

Conclusion globale pertinente

Repérage des outils d'observation

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Analyser un tableau.

But : Il s'agit de sélectionner dans le tableau des informations, les comparer afin de répondre aux questions posées.

Essayer de comprendre comment les mesures ont été faites = ce qui a été mesuré en fonction de quoi ? Pour cela lire attentivement le titre général et le titre des colonnes et des lignes.

Repérer les unités utilisées, dans l'analyse rédigée il faudra les utiliser !

Lire les questions et repérer les valeurs caractéristiques qui vont permettre d’y répondre.

Répondre aux questions en donnant quelques valeurs caractéristiques AVEC LES UNITES !!. Ne pas recopier tout le tableau.

Exemple : Variations de la quantité de Dioxygène et de Glucose au cours du temps lors de la photosynthèse.

Repérage correct des données

Compréhension des mesures effectuées

Conclusion globale pertinente

Repérage des variations, temps ...

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Analyser une expérience d'autoradiographie.

But : L’objectif d’une autoradiographie est de suivre l'utilisation et/ou le devenir d’une molécule particulière dans des cellules ou des tissus.

On utilise un précurseur radioactif qui joue le rôle de traceur (on dit marqué). L'élément radioactif se désintègre au cours du temps et émet alors un rayonnement permettant de le suivre dans la cellule ou l'organe dans lequel on l'a injecté.

Ce rayonnement radioactif n'est pas toxique pour la cellule, il ne modifie en rien son fonctionnement normal. C'est comme si l'on mettait un « gyrophare » sur la molécule afin de la suivre.

On prend ensuite des photographies régulièrement des cellules ou des organes mis en culture. Les grains d’argent contenus dans la plaque photographique sont opaques au rayonnement radioactif et révèlent ainsi la présence et la localisation précise des molécules dans la cellule ou le tissu étudié (sous la forme de grains ou tâches noires).

On cherche a mettre en évidence l’utilisation de dioxyde de carbone dans la photosynthèse. On prend une feuille d’érable que l’on place dans une atmosphère dans laquelle on a mis du dioxyde de carbone radioactif. On obtient les résultats suivants : Les zones plus foncées sur l’image de droite correspondent à la présence de dioxyde de carbone radioactif, donc aux zones de la feuille ayant réalisé la photosynthèse avec du CO2 radioactif.

Repérage du phénomène biologique mis en évidence

Repérage du traceur radioactif

Compréhension des mesures effectuées

Conclusion globale pertinente

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Analyser une électrophorèse.

But : Une électrophorèse est une technique utilisée pour séparer des constituants chimiques porteurs de charges électriques. Les protéines se séparent les unes des autres en bandes parallèles que l'on peut ensuite colorer. Cette technique peut aussi s'appliquer aux acides nucléiques (ARN ou ADN).

On réalise une électrophorèse de protéines sanguines de différents individus d'une famille afin de déterminer le risque d'avoir un enfant atteint de drépanocytose.

La mère (6) et le père (7) de ce couple sont porteurs de l'allèle HbS, bien que sains. Ils sont hétérozygotes. Il y a donc 1 risque sur 4 qu'ils aient un enfant qui serait malade comme son oncle (4).

Repérage des résultats obtenus

Repérage de la molécule utilisée

Compréhension des mesures effectuées

Conclusion globale pertinente

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Analyser une expérience.

But : Décrire le protocole d'une expérience, comparer les résultats et donner une conclusion.

Quel est le problème posé ? Que cherche t'on à mettre en évidence avec cette expérience ?

Formuler une ou des hypothèses, c'est à dire des solutions logiques en réponse au problème.

Description des expériences réalisées, en mettant en évidence les différences entre le témoin et le test.

Description des résultats, mettre en évidence les différences de résultats entre le témoin et le test.

Rédiger une conclusion afin d'expliquer en quoi l'expérience réalisée a permis ou non de répondre au problème posé. Proposer si besoin une expérience complémentaire.

Repérage du problème posé

Repérage du phénomène biologique mis en évidence

Compréhension des mesures effectuées

Conclusion globale pertinente

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La démarche expérimentale

Des faits, des observations au départ, mise en situation.

Formuler un problème

Formuler une ou des hypothèses, c'est à dire des solutions logiques en réponse au problème.

Concevoir un protcole et réaliser des expériences afin de confirmer ou d'infirmer l'hypothèse

Confronter les résultats obtenus avec l'hypothèse formulée.

Les résultats confortent l'hypothèse ?

Revenir sur l'hypothèse et formuler une nouvelle hypothèse, refaire une expérience ...

Le pb est résolu.

Formulation du problème pertinente

Compréhension des mesures effectuées

Conclusion globale pertinente

Hypothèse proposée logique

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Concevoir un protocole expérimental

But : Une expérience permet entre autre de vérifier la validité d'une hypothèse.

Proposer une hypothèse et rechercher la conséquence vérifiable : c'est à dire retrouver au cas où l'hypothèse serait vérifiée, ce que l'expérience devra montrer. « si l'hypothèse est vraie, on doit montrer que ... ».

Définir le protocole à réaliser :

- Rechercher le facteur à faire varier. Attention à ne faire varier qu'un seul facteur à la fois

- Rechercher les autres facteurs constants afin de pouvoir comparer deux expériences.

- Prévoir une expérience témoin

- Rechercher la grandeur mesurée afin de prévoir le matériel nécessaire aux mesures.

Schématiser ou décrire le montage expérimental. Prévoir les résultats attendus.

Présenter les résultats obtenus sous forme d'un graphe, d'un tableau de résultats...Noter les conditions initiales précisément et les résultats en fin d'expérience.Comparer par rapport au témoin.

Formulation du problème pertinente

Compréhension des mesures effectuées

Conclusion globale pertinente

Hypothèse proposée logique

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Présenter son raisonnement.

But : Pratiquer un raisonnement est la capacité à extraire dans un document des informations utiles afin de résoudre un problème scientifique, formuler une hypothèse explicative

« Mais ou et donc or ni car »

Analyser : décomposer des informations ou des données en éléments essentiels, afin de déterminer les rapports et les relations qu'entretiennent ces éléments les uns avec les autres.

MAIS : permet d'indiquer une idée d'opposition entre seulement deux éléments. OU : permet d'indiquer une idée de sélection, de choix, entre les éléments. ET : permet d'additionner deux éléments (ou davantage) de même nature. DONC : permet d'indiquer une idée de conséquence entre les deux éléments. OR : permet d'indiquer une opposition entre deux affirmations sous-entendant qu'il manque une donnée. NI : permet d'indiquer une idée d'exclusion entre les éléments CAR : permet d'indiquer une idée de cause entre les deux éléments .

Expliquer : mobiliser des connaissances pour donner un sens au phénomène étudié.

Commenter : donner des remarques et des observations ou des symboles qui facilitent la compréhension d'un document donné.

Définir : formuler de manière brève et précise, le contenu d'un concept ou le sens d'une expression.

Identifier : reconnaître l'objet de l'étude

« car » est le contraire de « donc ».

Justifier : présenter des preuves et des arguments

Compréhension du problème

Explication en rapport avec les documents

Conclusion globale pertinente

Relation logique entre les documents, notions.

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La Tomographie sismique.

But : La tomographie sismique est une méthode pouvant être assimilée à un scanner de temérature pour la Terre.

Si une onde sismique traverse un milieu dont les propriétés physiques (densité, modules élastiques) différent de celles du modèle moyen (PREM), elle arrivera en retard ou en avance par rapport aux prédictions de ce modèle. On en déduit alors des cartes de variations de VP et VS par rapport au modèle (notons que l'établissement de ces cartes nécessite la donnée d'un grand nombre de temps de parcours). sect.1 : secteur où les ondes sont accélérées sect.2 : secteur ou les ondes sont ralenties

■ les zones plus lentes sont interprétées comme étant plus chaudes et donc moins denses,■ les zones plus rapides sont interprétées comme plus froides et donc plus denses

Relation entre vitesse des ondes ...

Compréhension des mesures effectuées

Vision globale des transferts de matière au sein de la Terre

... et température des roches.

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Réaliser une préparation microscopique

But : Une préparation microscopique est une coupe fine d'un objet observable au microscope. Cet objet doit être le plus fin possible de façon à être observé par transparence.

Déposer au centre de la lame une goute du liquide de montage (eau ou colorant)

Faire descendre doucement la lamelle en évitant d'emprisonner des bulles d'air.

Si du liquide déborde de la lamelle, l'essuyer délicatement avec du papier filtre.

Déposer le prélèvement à observer sur la goutte en évitant les replis.

Objet à observer fin, pas de replis

Pas de liquide en dehors de la lamelle

Pas de bulles d'air

Matériel rangé

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ADN = génotype

Organisme = phénotype macro

Cellule = phénotype cellulaire

Protéine = phénotype moléculaire

Mutation

Phénotype moléculaire alternatif

Cellule = phénotype cellulaire

Phénotype macro alternatif

Du génotype au phénotype : expression IG

Du génotype au phénotype

Génotype

dominant

allèle

récessif

Cellule = phénotype cellulaire

Protéine = phénotype moléculaire

Organisme = phénotype macro

Influence de l'environnement sur l'expression du gène

Cellule = phénotype cellulaire

Phénotype macro alternatif

Phénotype moléculaire alternatif

Méiose et fécondation : 1+1=1

Répartition aléatoire des allèles des parents dans les gamètes

n = 23 23 chromosomes simples

n = 23 23 chromosomes simples

2° division séparation des chromatides de chaque chromosome

2n = 46 23 paires de chromosomes

Méiose

Méiose

1° division séparation des chromosomes de chaque paire

2n = 46 23 paires de chromosomes

2n = 46 23 paires de chromosomes

Maintien du caryotype Diversité allélique au cours des générations